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Recherche par lecteur : Anne-Françoise Merz

3 résultats.

Durée:10h. 46min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:75083
Résumé: Au cours d'une saison d'estive, les attaques répétées d'une ourse ravivent les tensions dans une vallée pyrénéenne. Tentant de s'abstraire des débats, Alma, une éthologue, et Gaspard, un berger, communient avec la montagne, mêlent leur existence à celles des bêtes. Sur ces terres où l'homme et l'animal sont intimement liés, l'histoire d'un jeune montreur d'ours parti faire fortune à New York, un siècle plus tôt, résonne tragiquement avec le présent.
Durée:11h. 10min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:74847
Résumé: Au cœur des années 1930, de nombreuses familles italiennes ont émigré dans le quartier de Red Hook, à Brooklyn. C’est là que vivent les petites Sofi a et Antonia, adorables voisines et amies absolues. Et si elles sont aussi proches, c’est qu’elles ont un point commun singulier : leurs pères font partie de la mafia. Or, en regardant chaque jour leurs mères subir une vie faite d’inquiétude, les fillettes se jurent de ne jamais épouser d’hommes oeuvrant pour la Famille. Quand il arrive malheur au père d’Antonia, le fil de son amitié avec Sofia se fragilise, d’autant que leurs rêves se mettent à diverger : l’une voudrait faire des études quand l’autre préfère les frivolités. Mais quels chemins prendront les deux amies lorsqu’une fois adultes elles devront vraiment choisir qui devenir, et qui aimer ? Un premier roman délicat et puissant qui dévoile la force de deux destinées inoubliables. La Famille est une magnifique histoire d’amitié féminine liée à une exploration fascinante des coulisses de la mafia, vue par des femmes.
Durée:2h. 37min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:74440
Résumé: Cette fois-ci, c'est sa mère et son frère qui s'en sont allés. À six mois d'intervalle, comme si ces deux-là, qui n'avaient jamais vraiment été séparés, n'avaient pu se résoudre à le rester. Un temps de Toussaint. Elle emportée dans son grand âge, lui par le Covid. Elle, femme fragile et forte à la fois, protégée de ses chagrins (la perte d'un fils, puis d'un mari) par sa volonté de saisir le beau jusque dans ses occurrences les plus ténues, par sa foi (partagée souvent en sa paroisse parisienne de Saint-Séverin avec son ami Michael Lonsdale), par sa rigueur morale et finalement par la poésie qu'elle savait faire naître du quotidien. Lui, gentil ogre empêché, par cette maladie génétique dite du « chromosome X » qui le laissa à jamais handicapé, un peu sur les bas-côtés de la vie, de la sienne, et d'une bouleversante innocence. Garcin, à pas de loup, craignant que le moindre mot, la moindre phrase, ne vienne briser l'harmonie délicate de ces caractères, nous les montre dans leur dénuement comme dans leur richesse intérieure. Il faut à cela beaucoup de bienveillance, beaucoup de tact, et finalement, beaucoup d'amour. Pas mal de talent aussi pour éloigner le spectre de la mièvrerie. Ce qui passe là, en ces pages endeuillées, c'est moins la mort qu'un chant mezza voce de vie. Ces funérailles sont d'une dignité exemplaire, d'une hauteur de vue et de style sans pareille. Une leçon, une chanson douce. Qui serre le cœur.