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Recherche par genre: Société/économie/politique

1521 résultats. Page 75 sur 77.

Lu par : Jean Frey
Durée : 1h. 49min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 13023
Résumé:"Réfléchir sur la mort, c'est réfléchir sur la vie. C'est viser un autre art de vivre." Pour cela, Bernard Crettaz souhaite "libérer la mort de tous les ghettos où elle se trouve enfermée: médicaux, psychologiques, religieux, sectaires, médiatiques". Cette entreprise, le sociologue valaisan s'y attache depuis de nombreuses années, lui qui a fait partie des fondateurs de la Société d'études thanatologiques de Suisse romande, en 1982. Son dernier livre, Vous parler de la mort, reprend ses thèmes favoris, dans une suite de méditations. Il évoque aussi bien certains rituels que ses propres expériences, comme celle du décès de son épouse.
Durée : 8h. 26min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 14113
Résumé:Le 11 septembre 2001, le monde a basculé dans l'hyperterrorisme. Frappée au coeur, l'Amérique a aussitôt organisé une riposte contre un ennemi sans territoire et sans Etat. François Heisbourg fournit, avec les meilleurs chercheurs et spécialistes de la Fondation pour la Recherche Stratégique, les clés pour comprendre l'origine des attentats et en mesurer les conséquences.
Lu par : Jean Frey
Durée : 1h. 46min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 13042
Résumé:À l'occasion du centenaire des Jeux Olympiques, Albert Jacquard propose ici une réflexion quelque peu iconoclaste sur cette institution généralement incontestée. Les Jeux Olympiques sont-ils des jeux? Est-ce bien de sport qu'il s'agit encore? Telles sont les deux questions principales qui sous-tendent ce bref pamphlet. Par rapport en effet à ce qu'étaient les Jeux dans l'Antiquité, et par rapport aussi à ce qu'ils étaient dans la pensée de leur moderne restaurateur, Pierre de Coubertin, les Jeux Olympiques ont été complètement dévoyés. Au lieu de l'émulation, c'est la compétition implacable qui prévaut ; au lieu de la gratuité propre par définition au jeu, c'est la marchandisation à outrance qui a triomphé. C'est ainsi que le dopage s'est introduit massivement dans le sport de haut niveau, transformant les sportifs en une nouvelle espèce, intermédiaire entre les humains et les monstres. En généticien, Albert Jacquard réfléchit sur cette entreprise de transformation des êtres humains, transformation dont le profit est la seule règle. Enfin, il propose en quelques points une nouvelle charte pour un " olympisme humaniste ".
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 3h. 35min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 13277
Résumé:Quatrième de couverture : Bien que notre société ait déclaré l'égalité entre tous les hommes et les femmes, elle n'est guère appliquée dans tous les domaines. Les droits de nombreux pères sont aujourd'hui trop souvent bafoués et, à travers eux, celui de leurs enfants. Ces derniers n'ont-ils pas, en effet, le droit de bénéficier des deux parents en toute circonstance? Or, l'arbitraire frappant les pères et les enfants est en constante augmentation. Il joue même parfois en défaveur des femmes, les rendant souvent prisonnières d'une ambiguïté. Le désir de réussir une vie professionnelle, tout en refusant à l'homme une place légitime auprès de leurs enfants. Au travers d'une approche historique suivie d'une enquête enrichissante pour tous ceux qui sont confrontés à ce problème, ce livre fait encore un bilan de la situation des pères aujourd'hui. Relevant les points principaux du nouveau droit du divorce, observant le poids des mentalités, la formation des magistrats et les dérapages aussi fréquents que scandaleux, l'auteur encourage les pères à ne pas abdiquer, malgré les pressions sociales, morales ou encore économiques. Complété d'une partie pratique comportant des adresses utiles, il est à souhaiter que cet ouvrage suscite un large débat qui, à ce jour, reste encore trop timide.
Durée : 8h. 7min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 12578
Résumé:L'Etat d'Israël est-il aujourd'hui un modèle de moralité, " une lumière pour les nations " ? Non. Est-ce un Etat immoral qui opprime un autre peuple avec une joie perverse et perd son âme dans un ethnocentrisme religieux et raciste ? Non, pas plus. Israël n'est plus l'Etat des pionniers, du kibboutz et d'un socialisme à visage humain. Mais du rêve humaniste, universaliste et éthique des Prophètes et des fondateurs du sionisme tout n'a pas disparu. Le titre du texte de Ilan Greilsammer, " Comprendre ou juger Israël ", indique la préoccupation qui sous-tend cet ouvrage : en finir avec les jugements à l'emporte-pièce fondés sur des convictions aussi irrationnelles que passionnelles. Ainsi, la parole est donnée à des intellectuels, hommes et femmes politiques israéliens de tendances diverses qui, de l'intérieur, prennent le recul de la réflexion. En effet, quel autre pays suscite des enthousiasmes et des haines aussi tenaces ? De qui le Conseil de Sécurité de l'ONU, la Communauté européenne et l'opinion publique se préoccupent-ils autant. Enfin, y a-t-il un Etat au monde qui soit comme Israël constamment interpellé d'un point de vue moral ? Pour rétablir les conditions d'une réflexion en connaissance de cause sur un sujet qui se prête à tant de dérives et d'excès, les textes ici réunis constituent un outil précieux autant qu'un " garde-fou ".
Lu par : Henri Duboule
Durée : 3h. 55min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 13541
Résumé:Mot de l'auteur : Comme chacun, bien sûr, j'ai horreur des travaux forcés. Mais il en est de sournois et l'on vous y condamne à votre insu. Le pauvre quidam, insensiblement, sans en avoir l'entière conscience, finit par s'adonner aux joies de la culture égalitaire. En fait, il ne s'agit pas de la vraie culture, de la connaissance, du savoir appris patiemment à l'aune de ses désirs et de sa volonté d'élévation spirituelle. Il s'agit du gavage des oies. Comme dans un parcours du combattant, il faut lire tant de livres, voir tant d'expos et tant de films, assister à tant de débats culturels. On en sort vidé, déshydraté, car, bien sûr, ce que la pensée correcte, ce Moloch intellectuel, ordonne plus qu'elle ne conseille, est toujours ce qui est à la mode ou ennuyeux. Face à cela, j'adopte la méthode/résistance de Léautaud : je reste chez moi et je fais mes menus moi-même.
Durée : 3h. 12min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 13303
Résumé:Ce livre, bien que basé sur une étude psychosociologique universitaire, ne doit pas être pris pour une thèse scientifique de psychosociologie, comme la pyramide de Maslow dans un même registre. Il s'agit là, tout simplement, d'un livre très drôle avec une théorie vérifiée et appliquée mais malheureusement enrobée par des exemples choisis pour faire rire le lecteur et qui ne donne donc en rien un aperçu fidèle d'un échantillon représentatif. (amazon.fr)
Lu par : Marie Lourizi
Durée : 4h. 15min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 13188
Résumé:L'auteur, Michel Thévoz, s'interroge sur les relations que l'homme moderne entretient avec l'art, la mode, l'amour etc... Avec un oeil désabusé et critique il nous livre quelques pensées qui nous feront à la fois rire et réfléchir. (la BSR 8.06.2004)
Durée : 2h. 5min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 13211
Résumé:Depuis sa création par Georges Clemenceau en 1907, la Police judiciaire fascine autant qu'elle inquiète. Mise à la Une par des documentaires, sujet de romans policiers et de films mythiques, foyer du fait divers, elle est avant tout chargée de seconder l'autorité judiciaire dans toutes les affaires criminelles. Souvent appelée l'" aristocratie de la police ", la PJ coûte cher. Lutter contre le crime organisé nécessite des investigations longues et complexes, qui supposent la mise en oeuvre de tous les moyens dont disposent les services de Police technique et scientifique, fruits des recherches menées depuis le siècle dernier pour circonstancier l'aveu avec des preuves indiscutables du crime. Elle-même lieutenant de Police au 36, quai des Orfèvres, Béatrice Durupt dévoile autant l'histoire que les missions de la PJ, des Brigades du Tigre à la lutte anti-terroriste.
Lu par : Bernard Delannoy
Durée : 8h. 58min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 13307
Résumé:Deux hommes, mais aussi deux figures archétypales de deux Amérique au banc d'essai: pour brosser les enjeux de la présidentielle américaine, Christine Ockrent a choisi logiquement d'entrer par la grande porte, celle des premiers rôles. L'élection américaine est une question de caractère. Très subsidiairement un match entre musclés des neurones. Le gagnant triomphe à l'issue d'un combat de catch. Pas d'un débat d'idées. Et dans cette lutte sans merci où - presque - tous les coups sont permis, la personnalité des candidats, leur équation personnelle et leur aptitude à séduire les médias sont déterminantes. À droite, l'héritier d'une dynastie patricienne de la côte Est, Texan botté de cuir et frotté de pétrole, l'actuel président des États-Unis. À gauche, un sénateur démocrate, vétéran du Vietnam, catholique pratiquant, lui aussi descendant d'une grande famille de la côte Est. Bush versus Kerry. Jamais campagne présidentielle n'a démarré aussi tôt, jamais elle n'a déployé autant de passions, de moyens, d'argent.
Durée : 2h. 32min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 13478
Résumé:Quatrième de couverture : Pour les ouvriers dont le travail est exploité, " saboter ", c'est enrayer la machine de production. Syndicaliste militant et cofondateur de la Confédération générale du travail, Émile Pouget (1860-1931), publie vers 1911-1912 un véritable manuel de résistance. Subversif, méthodique, il expose avec humour la théorie et la pratique du sabotage, du " vas-y mollo " à la grève du zèle, en passant par toutes les manières de ruiner l'image d'un patron... Car saboter n'implique pas forcément détruire. Étymologiquement, c'est " travailler comme à coup de sabot ", faire du mauvais travail. Si, comme on nous le dit, le travail est une marchandise, alors pour avoir du travail de qualité, il faut que les patrons y mettent le prix : " À mauvaise paye, mauvais travail ! "
Durée : 7h. 58min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 13377
Résumé:
Lu par : Georges Grosjean
Durée : 7h. 39min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 13639
Résumé:Quatrième de couverture : Nous assistons aujourd'hui à un formidable mouvement de reféodalisation du monde. C'est que le 11 septembre n'a pas seulement été l'occasion pour George W. Bush d'étendre l'emprise des Etats-Unis sur le monde, l'événement a frappé les trois coups de la mise en coupe réglée des peuples de l'hémisphère Sud par les grandes sociétés transcontinentales. Pour parvenir à imposer ce régime inédit de soumission des peuples aux intérêts des grandes compagnies privées, il est deux armes de destruction massive dont les maîtres de l'empire de la honte savent admirablement jouer : la dette et la faim. Par l'endettement, les Etats abdiquent leur souveraineté ; par la faim qui en découle, les peuples agonisent et renoncent à la liberté.
Durée : 3h. 13min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 13411
Résumé:Il existe un pays, la Suisse, qui au prétexte d'assurer le bien-être de ces concitoyens dans la plus parfaite équité, développe, de manière désormais proliférante, une volonté de maîtrise des processus publics jusque dans le détail, la manie, le délire, la folie.
Lu par : Michel Joyet
Durée : 10h. 4min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 12735
Résumé:Présentation de l'éditeur : L'Amérique a toujours été considérée, par tous les pays du monde et plus spécialement par les pays européens, à la fois avec envie et mépris. Elle l'est davantage encore depuis qu'elle est devenue, au XXe siècle, une grande puissance, et surtout depuis qu'elle est, à la suite de l'effondrement des empires communistes, la seule superpuissance planétaire. Qu'est-ce qui, dans cet antiaméricanisme général, est fondé sur une connaissance des réalités, sur une analyse des faits, et qu'est-ce qui s'explique par les survivances d'idéologies fossiles, par un ressentiment irrationnel, générateur d'informations fausses et de phobies, imputables aux échecs des pays mêmes qui critiquent sans cesse les Etats-Unis en leur attribuant des défauts souvent imaginaires ? Jean-François Revel avait déjà traité cette question dans Ni Marx ni Jésus, livre paru en 1970 avec un grand succès international. Mais depuis lors la situation a bien entendu évolué, du fait de l'émergence des Etats-Unis comme unique " hyperpuissance ", à la fois économique, stratégique et, jusqu'à un certain point, culturelle. L'animosité à l'égard de l'Amérique a décuplé. On l'attaque à la fois comme modèle de société et comme force prépondérante dans les relations internationales. Cette diabolisation a même poussé certains courants islamistes jusqu'à l'hyperterrorisme religieux qui a surgi en 2001. Mais bien d'autres pays, sans aller jusqu'à ces extrêmes, partagent les sentiments qui les inspirent. Il y a donc lieu d'actualiser la question de l'antiaméricanisme et de réexaminer ce phénomène politico-culturel à la lumière des transformations survenues depuis une trentaine d'années. C'est ce que fait Jean-François Revel dans L'Obsession anti-américaine. Comment l'Amérique est-elle vue par les autres et comment est-elle en elle-même ? Mesurer et expliquer l'écart entre la vision et la réalité, tel est l'objet de ce livre.
Durée : 4h. 58min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 12732
Résumé:Pourquoi le discours économique, qui est devenu la référence obligée lorsqu'il s'agit de faire des choix individuels ou collectifs, ignore-t-il la souffrance et la perte d'espérance de nos sociétés? Parce que le monde oublie que le savoir économique n'est qu'un produit culturel "inventé" dans un contexte historique bien précis. L'omniprésence de son vocabulaire est telle que nous avons tous fini par croire que l'enrichissement était désormais le seul but à poursuivre dans l'existence. Pour sortir de l'impasse, il faut aujourd'hui rappeler que le moteur et la clé de toute activité productive et marchande sont d'abord des projets humains, des idées et des convictions.
Durée : 2h.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 12601
Résumé:"Alexandre Arribas a du embrasser beaucoup et fort bien pour nous parler aussi délicieusement du baiser. Sous le geste instinctif, derrière l'élan sensuel, il découvre une richesse insoupçonnée. Prenant le lecteur par la main, il l'invite à découvrir le baiser dans tous ses états : amoureux, mystique, d'allégeance, le baiser du poète, le baiser de judas, le baiser de pénitence et tant d'autres... D'émerveillements en découvertes, de digressions en clins d'oeils, il explore les mille et une façons et raisons d'embrasser. Saviez-vous que tout commence alors que le foetus est à peine une ébauche ? Ce qui n'est pas encore une bouche se colle obstinément à la paroi utérine et apprend à reconnaître le corps de l'autre en le goûtant. L'enfant naît, les mois passent, le bébé glisse sa langue entre ses dents et découvre la saveur salée de sa mère. Ainsi advient le baiser savoureux, ainsi naît le plaisir. Et puisque plaisir et tendresse se confondent, nous voilà au seuil du baiser aimant. Lorsque les lèvres ne chercheront plus seulement à se nourrir, lorsque le plaisir sera désiré pour lui seul, alors viendra l'érotisme..."
Lu par : Sylvie Marsac
Durée : 4h. 23min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 12808
Résumé:Un pas en avant, deux pas en arrière. Constat peu glorieux ? "Fausse route" d'Élisabeth Badinter dresse un état des lieux des luttes féministes. Rappelant que la différence des sexes est un fait qui ne doit pas prédestiner aux rôles et aux fonctions, Élisabeth Badinter pointe, dénonce parfois, les contradictions d'un féminisme "obsédé par la problématique identitaire". Et l'auteur de poser la question : quels sont les réels progrès réalisés depuis quinze ans ? À étudier de près les phénomènes sociaux et comportementaux durant les deux dernières décennies, aussi bien dans le monde oriental que dans le monde occidental, on prend conscience de la pérennité d'une guerre des sexes, doublée d'une renaissance des stéréotypes sexuels. Au-delà de ce constat, Élisabeth Badinter décrypte la tendance insidieuse d'un nouveau féminisme qui a retrouvé les accents moralisateurs du judéo-christianisme, voire la naissance d'une "bien-pensance féminine" ou - pire - une dérive d'un féminisme guerrier. Qu'on ne se trompe pas : la guerre des sexes a toujours lieu. Élisabeth Badinter rappelle que "l'indifférenciation des sexes n'est pas celle des identités. C'est au contraire la condition de leur multiplicité et de notre liberté".
Durée : 5h. 45min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 12304
Résumé:Depuis son accession aux fonctions politiques suprêmes en 1998, Pascal Couchepin a introduit un certain franc-parler dans le style feutré du gouvernement suisse. Jean Romain, philosophe et écrivain, auteur d'essais marquants sur les dilemmes sociaux et spirituels de notre époque, était l'interlocuteur idéal pour saisir à bras le corps les réalités suisses et mondiales du moment. Ces entretiens vifs et intenses font alterner vues d'ensemble et confidences circonstanciées. Tout en livrant son manifeste politique, Pascal Couchepin y révèle le fond de sa pensée. En prévision de sa présidence, en 2003, qu'il refuse de voir comme une tâche purement administrative et honorifique, il esquisse les projets de réformes importantes qui lui tiennent à coeur. Et révèle aussi la vocation foncière qui, dès sa jeunesse, l'a poussé dans les eaux de la politique. S'il s'attache à préciser ses idées directrices, Pascal Couchepin n'élude pas, néanmoins, les thèmes que développe Jean Romain, et qui préoccupent l'opinion suisse. Sans détour, il répond à des questions que tout citoyen helvétique aimerait poser à celui qui, en 2003, a été le premier représentant de son gouvernement.
Durée : 6h. 31min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 12061
Résumé:Michel Field a rencontré Julie Cléau le jour où elle se mariait et c'est ce jour-là qu'ils sont tombés amoureux. Cette aventure étrange les a poussé à s'intéresser aux rencontres des autres. A toute occasion, ils ont demandé à leurs amis et aux amis de leurs amis : "comment vous êtes-vous rencontrés ?" Ce sont ces histoires qu'ils ont réunis dans ce livre. Qu'il s'agisse de personnages anonymes ou de célébrités, leurs rencontres sont toujours surprenantes, émouvantes et magnifiques. D'abord affaires de sentiment, la rencontre est aussi un passionnant objet de pensée. D'où une "petite philosophie de la rencontre" qui conclut cet ouvrage, où ceux qui le voudront pourront trouver matière à réflexion après avoir trouvé matière à s'émouvoir et à rêver.