Recherche par auteur : San-Antonio
99 résultats. Page 3 sur 5.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 19h. 32min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 34362
Résumé:Odyssée fellinienne à l'humour ravageur, portrait au vitriol de la société colombienne, réflexion magistrale sur le rôle de l'écrivain, Un mal sans remède retrace les aventures d'Ignacio Escobar, poète frustré, dans le Bogotà des années 1960. Porté par une formidable énergie romanesque, un livre-culte salué par Gabriel Garda Marquez et Fernando Vallejo. Fils de bonne famille vivant des rentes de sa mère, résistant obstinément au désir d'enfant de sa compagne, sourd aux appels pressants de ses amis lénino-trotskistes qui l'exhortent à l'engagement, Ignacio n'a d'autre ambition que d'achever la grande oeuvre qu'il porte en lui, si possible sans avoir à se lever de son lit. Un soir, une dispute le force à quitter sa chambre et le précipite dans les rues de la ville. Commence alors une errance qui va l'exposer à toutes les situations qu'il s'était si bien employé à éviter... Ignacio Escobar finira par écrire son grand poème. Mais la réalité, plus forte, le détruira. La vie est un mal sans remède.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 16h. 55min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 34022
Résumé:En 1968, James Earl Ray assassine Martin Luther King à Memphis et prend la fuite. Entre le 8 et le 17 mai de la même année, il se cache à Lisbonne où il tente d'obtenir un visa pour l'Angola. En octobre 2013, sur les traces de James Earl Ray dans la capitale portugaise, Antonio Munoz Molina se remémore son premier voyage dans cette ville, en 1987, quand, mari et père immature, fuyant un travail médiocre, il essayait d'écrire son deuxième roman, une histoire d'amour sur fond de jazz et de roman noir, L'Hiver à Lisbonne. La fascinante reconstruction du séjour de l'assassin croise alors le passé de l'auteur, et les deux récits alternent. L'un, autobiographique, relate, à la première personne et sur un mode très intime, l'apprentissage de la vie et des mécanismes du roman ; l'autre, à la manière d'un thriller, témoigne de ce qu'est l'accomplissement de la fiction, quand, fondée sur le réel, elle va au-delà des faits pour entrer dans la conscience des protagonistes. En prestidigitateur, le grand écrivain espagnol fait entrer le lecteur dans le mystère de l'univers mental du tueur, où se mêlent racisme, misère, admiration pour les livres de science-fiction, et la certitude que l'on peut impunément tuer un Noir militant des droits civiques. Comme l'ombre qui s'en va est un livre important, hypnotique, qui prend le risque de mêler deux genres littéraires et, en dernière instance, expose la théorie du roman de l'auteur.
Lu par : Emmanuel Migraine
Durée : 26h. 55min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 33642
Résumé:De l'enfance au harem aux jardins de l'Alhambra, des batailles de la Reconquête à l'exil à Fez, Boabdil, le dernier sultan d'Andalousie, raconte son chemin de solitude au sein d'un monde voué à disparaître. Un roman historique couronné en Espagne par le Prix Planeta
Lu par : Manon
Durée : 5h. 14min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 33282
Résumé:L'histoire de la femme qui devait tuer Orson Welles... A vingt-cinq ans, avec un passé de guérillera et une carrière de tueuse à gages, Ana a tout vu : décapitations, chutes mortelles, exécutions par balle... Mais elle n'a jamais vu Citizen Kane, considéré comme le plus grand film de tous les temps. Quand son commanditaire habituel lui désigne Orson Welles comme cible, Ana prend conscience de ses lacunes cinématographiques et entreprend, pour préparer cet assassinat, de découvrir la filmographie de sa prochaine victime. De Paris à Los Angeles en passant par Rio, Ana développe une obsession pour le réalisateur, jusqu'à le rencontrer et travailler pour lui. Mais autour d'Orson Welles, fiction et réalité, vérités et mensonges finissent toujours par s'entremêler... Après Avaler du sable, Antônio Xerxenesky confirme son originalité dans le paysage littéraire brésilien et son goût pour la pop-culture. Roman palpitant mené par une héroïne attachante malgré son passé trouble, F est une véritable déclaration d'amour au cinéma - à tous les cinémas.
Lu par : Manon
Durée : 1h. 9min.
Genre littéraire : Sciences/technologie
Numéro du livre : 31669
Résumé:Lu par Manon Un documentaire pour tout savoir sur le comportement des chiens et des chats.
Lu par : Serge Cantero
Durée : 13h. 26min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 31336
Résumé:À Lisbonne, un policier a reçu pour mission de neutraliser les « actes anti-sociaux » d'une bande d'adolescents dont la base de repli se situe dans le quartier du Premier Mai. Dans le rapport destiné à sa hiérarchie, il mêle des appréciations personnelles et politiques, des confidences plus intimes. Au fil des chapitres, une vingtaine de voix se succèdent et plongent le lecteur dans cette cité du Premier Mai délabrée, ravagée par les problèmes sociaux.
Lu par : Clélia Strambo
Durée : 4h. 1min.
Genre littéraire : Roman d'amour
Numéro du livre : 30730
Résumé:Le récit commence, se construit, et s'achève comme une fable : un vieux clochard, arrivé au plus bas de la déchéance sociale et physique, entre cartons souillés et sacs en plastique, dont le seul ami est un fidèle pigeon, fait la rencontre de la "jeune fille merveilleuse" qui le sauve par amour. Comme dans une fable, il instaure avec le lecteur un échange qui ressemble à celui du conteur et de son public et, loin de se complaire dans l'analyse psychologique des personnages, il s'appuie sur les passions fondamentales, moteurs muets des belles actions. Mais dans cette fable, rien de mièvre ni d'enfantin, rien de gratuit ni de mécanique. Rien de prévisible non plus, mais une ouverture qui surprend et suscite stupeur et émerveillement. Dans une scène qui a la pureté des grands récits fondateurs, la jeune fille merveilleuse sort ce personnage, comme venu des poubelles de Beckett, de ses cartons, prend un soin infini à le laver, à l'épouiller, à le remettre sur pied. Mais l'amour le plus pur et le plus mystérieux peut-il être plus fort que la vie ? a-t-il vocation à durer ? Si l'amour est sans pourquoi, doit-on chercher plus d'explications à ce qui le tue qu'à ce qui le fait naître ?
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 15h. 17min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 30386
Résumé:Dans une petite ville du sud de l'Andalousie battue par la pluie et le vent, une fillette est retrouvée morte sur le talus d'un parc. Couverte de terre, elle ne porte que ses socquettes, et sa culotte a été enfoncée dans sa bouche pour l'asphyxier. L'hiver et la peur tombent sur la ville tandis que se font entendre, comme une trame en continuelle expansion, les voix des personnages liés entre eux par des bribes de passé et l'horreur d'une cruauté gratuite. L'inspecteur, un homme muté du pays Basque, miné de l'intérieur par la violence terroriste, obsédé par la recherche de l'assassin comme si d'elle dépendait son propre salut. Susana Grey, l'institutrice, dont la sensibilité, l'ouverture sur le monde et les autres vont bouleverser la vie de l'inspecteur. Le père Orduna, ancien prêtre ouvrier, persuadé que les yeux sont le reflet de l'âme et que ceux de l'assassin sont vides. Paula, la seconde victime, elle aussi retrouvée sur le talus, mais vivante à force de courage et de ténacité, protégée par la tendresse de son père. Le médecin légiste, dissimulant sa solitude et son désenchantement sous sa conscience professionnelle et sa tendresse pour l'enfance. L'assassin enfin, personnage névrosé et énigmatique, ordinaire et ignoble, qui ne sait vivre que dans la haine et la soumission du plus faible. Témoin symbolique de cet entrelacs d'horreur et d'humanité, la clarté lunaire tantôt illumine l'amour rédempteur de l'institutrice et de l'inspecteur, tantôt pousse l'assassin au plus noir de lui-même. On ne sort pas indemne de ce livre dense, qui s'appuie sur une prose précise et une construction sans faille, animé d'un souffle poétique admirable et qui s'enfonce, entre passé et présent, dans l'obscure et lumineuse matière humaine. Pleine Lune révèle la profonde cohérence du monde narratif d'Antonio Munoz Molina, l'un des plus grands écrivains de notre temps.
Lu par : Jacques Pichevin
Durée : 14h. 43min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 30128
Résumé:Un dimanche de Pâques. Il pleut sans discontinuer sur Lisbonne. Une femme se meurt, veillée par ses enfants qui s'entre-déchirent. Tour à tour, ils se remémorent les heures fastes de leur histoire, lorsque l'élevage de taureaux de combat faisait la fierté et la prospérité de la famille des Marques. Mais ils sondent aussi les recoins les plus sombres de leurs existences. Francisco, Joao, Ana, Beatriz et Mercilia, la vieille servante : tous font entendre leurs craintes, leurs regrets et leurs rancoeurs au fil d'un récit bâti sur le rythme d'une corrida, dans l'attente de l'infaillible coup de grâce.
Lu par : Francine Cahen-Fouque
Durée : 2h. 57min.
Genre littéraire : Roman d'amour
Numéro du livre : 21243
Résumé:Mario, fonctionnaire dans une petite ville de province, partage sa vie entre son travail et sa passion pour sa femme, Blanca. C'est un jeune homme simple, attaché aux valeurs traditionnelles du travail et du foyer, et si Blanca le fascine à ce point c'est qu'elle représente le côté exquis de la vie, l'insouciance bourgeoise, la fantaisie. Mais, peu à peu, Mario sent une menace inquiétante peser sur son couple. Blanca, qu'il a sauvée de la déchéance où s'enfoncent parfois les jeunes filles en quête de sensations fortes, s'évade, échafaude des projets qu'il ne comprend pas, lui échappe, et entre ces deux êtres que tout oppose l'incompréhension et la souffrance s'installent. L'amour peut-il survivre à sa propre disparition ? La réponse désespérée d'Antonio Munoz Molina dans ce court roman circulaire est une véritable leçon de stratégie littéraire et de maîtrise absolue du style, un bref et magnifique hommage à Flaubert.
Durée : 3h. 30min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 23475
Résumé:«En contrepoint de ses œuvres de fiction, António Lobo Antunes, dans Livre de chroniques, ne cesse de laisser penser ses sens. Il bouscule une fois encore nos idées reçues sur l'écriture, fouille les labyrinthes de la mémoire, architecture ses obsessions : la guerre - celle des sexes, celle des Etats, celle des groupes sociaux, toutes celles qui donnent envie de "regarder, avec une émotion croissante, une gravure poussiéreuse dans le grenier qui montre une jubilante multitude de pauvres autour de la guillotine où l'on coupe la tête de rois" -, la cruauté, la désespérance. "Peut-être qu'il fait toujours nuit quand on a grandi ?" Le Livre de chroniques refermé, comme chaque page écrite par António Lobo Antunes depuis Le Cul de Judas, incite le lecteur à pénétrer dans cette nuit afin de mieux entendre la sienne.» Claire Juliet, Le Passe-Muraille Des scènes de l'enfance de A. Lobo Antunes ressuscitées dans leurs moments de grâce ou de terreur. Des fables sur des couples abîmés, fracturés, en mal d'amour, des évocations poignantes de tête-à-tête avec des patients qu'il soignait dans un hôpital psychiatrique. Des monologues de veuve, d'assassin, de colonel à la retraite, de collectionneur de papillons, de boxeur, de bègue...
Lu par : Roche
Durée : 2h. 20min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 21801
Résumé:Parce qu'une toute petite fille semble le reconnaître à sa casquette, et qu'elle le désigne publiquement comme son père, un chef de gare se retrouve prisonnier de paysans vindicatifs.
Lu par : Philippe Diserens
Durée : 6h. 6min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 29880
Résumé:Un homme est hospitalisé à Lisbonne : dans ses viscères, une bogue ne cesse de grossir en silence, que le médecin appelle cancer. La douleur, l'opération, les traitements le plongent dans un état second. Remontent alors à la surface des souvenirs enfouis depuis toujours, qui se bousculent et s'entremêlent. Furieux contre cette mort « terrible et comique » qui se moque de lui dans l'obscurité, humilié par sa déchéance physique, « monsieur Antunes du lit numéro onze » divague dans les méandres de sa mémoire. Et c'est alors tout le monde de son enfance qui se rappelle à lui, avec ses sons, ses odeurs, ses visages. Tandis que médecins et infirmières défilent à son chevet, passé et présent se télescopent, et le voilà emporté, en compagnie de défunts décidément pleins de vie. Alors que le mal « aboie dans son ventre », ce passé ravivé agit comme un garde-corps, le seul peut-être à pouvoir l'empêcher de tomber dans « le ravin » qui s'ouvre au bord de son lit d'hôpital.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 4h. 29min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 29888
Résumé:Comme les mammouths la classe ouvrière s'est éteinte, tel est le constat de Benassa, ouvrier de l'usine Supercavi et homme rustre au syndicalisme chevillé au corps. Partant de ce constat, une décision radicale sera prise. Cette dernière est prétexte pour Antonio Pennacchi à l'évocation de ses années de lutte syndicale, de grèves, de manifestations et d'occupation d'usine...
Lu par : Dominique Forcher
Durée : 12h. 29min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 22867
Résumé:Ces lettres furent écrites par un homme de 28 ans, le jeune Antonio Lobo Antunes, tout juste diplômé de médecine, envoyé en Angola entre 1971 et 1973. Isolé de tout et de tous durant deux ans de guerre coloniale, c'est dans le cadre privé de sa relation avec sa femme qu'il les rédigea, sans penser qu'un jour elles seraient publiées. Elles se présentent à la fois comme le journal de bord d'un médecin hanté par le désir de construire une oeuvre littéraire et un document sur le quotidien d'une guerre aussi instable et violente qu'un ciel d'orage tropical. Elles foisonnent d'évocations de paysages africains, de portraits psychologiques des militaires et des indigènes, de poèmes et de confidences passionnées où l'auteur, met son coeur à nu. Enfin, et naturellement, ces lettres sont l'histoire d'un amour déchiré par la séparation, le journal de l'amour absent. " Ce sont les lettres d'un écrivain qui croit en sa valeur et qui ne renonce pas à le devenir. (...) Ce sont des lettres, donc. Mais classer ce livre dans le genre épistolaire serait réducteur. Car on y trouve le fil conducteur d'une narration romanesque. " (Sara Belo Luis, Jornal de Letras/Courrier International)
Lu par : Bétrice Vingère
Durée : 5h. 47min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 22271
Résumé:Connaissez-vous Stinginess Castle ? Au fin fond des Highlands, en Ecosse, ce château se dresse sur une colline dans les brumes britanniques. Un nouveau fantôme le hante depuis quelque temps. Et un fantôme de poids. Il a pour nom : BERURIER ! , Et si vous saviez ce que le Gros et votre valeureux San-Antonio maquillent dans ce château de cauchemar, vous en auriez la chair de poule. Un renseignement: si vous entendez un craquement dans la pièce d'à-côté pendant que vous lisez ce chef-d'œuvre, ne cherchez pas, c'est le fantôme de quelque Mac !
Lu par : Catherine Jauréguy
Durée : 3h. 51min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 21108
Résumé:Au lieu de passer au centre des chèques postaux, aujourd'hui, j'aurais mieux fait de me consacrer à des amours ancillaires (celles que je préfère). Au guichet, j'avise un vieux type blême et pâle des crayons qui retire de l'artiche. Où ça se complique, c'est quand je retrouve le pépère, assis dans sa bagnole, bien sagement, mais un peu mort! Alors je me mets en piste, courant de surprise en surprise au long de la rue des Macchabées.
Ca baigne dans le béton: ou L'infernale tragédie: roman tout ce qu'il y a de policier et je dirais même policier
San-Antonio
Lu par : Michèle Plançon
Durée : 6h. 5min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 21143
Résumé:M. Blanc m'avait pourtant prévenu : « Quand on entre dans le grosso modo du Lion, rien ne va plus ! Une période de haute merde commence. » Tout foire : les femmes les plus choucardes deviennent tartes comme un plat de furoncles et les mecs les plus virils se mettent à goder comme des cravates ! Voilà pourquoi, ayant à charge de protéger un couple de vieux kroums gâtochards, nous nous retrouvons mes potes et moi, avec quatre cadavres sur les brandillons. Moi, tu me connais ? Au début, je ne voulais pas y croire, cartésien comme il est, ton Sana. Seulement, j'ai vite pigé ma douleur ! On vit une époque épique, je te jure !
Lu par : Sejourné
Durée : 4h. 30min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 21146
Résumé:Le gars qui pourrait me prouver par A+B qu'il a, au cours de son existence, exécuté une besogne plus débectante que celle à laquelle je me livre depuis une huitaine de jours aurait droit, selon moi, au salut militaire, au salut étemel et à une place assise dans les chemins de fer. Faut vraiment avoir le palpitant arrimé avec du gros filin pour tenir le choc. Et je le tiens, moi, le choc, parce que mon job c'est justement de ne pas faire la fine bouche. Voilà une semaine que je visite les morgues de France à la recherche d'un cadavre...
Lu par : Michèle Plançon
Durée : 4h. 52min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 21539
Résumé:L'histoire qui est racontée ici est rigoureusement vraie. Je n'y ai pas changé une virgule. J'ai seulement modifié les événements, déformé les faits, interverti les situations, débaptisé les personnages et déplacé l'action. J'ai également pris des libertés avec le lecteur, le vocabulaire de l'affabulation. Oui, j'ai fait tout cela. Mais, parole d'homme, je n'ai pas changé une virgule à l'histoire. J'aurais peut-être dû... ça aurait évité à Béru et au beau San-Antonio de se trouver dans la situation la plus effarante de leur brillante carrière. Et comme dit ce grand intellectuel de Bérurier : " Ménage tes méninges ", gars, et prépare tes mécaniques....