Contenu

Kaboul beauté

Résumé
En 2002, Deborah Rodriguez arrive à Kaboul avec une petite organisation humanitaire. Cette coiffeuse du Michigan, drôle et énergique, est venue en Afghanistan à la fois par désir d'aider les autres et pour échapper à un mari jaloux et violent. N'ayant pas de formation médicale, elle se sent d'abord inutile, mais découvre vite que son expérience de coiffeuse peut changer la vie des femmes afghanes. Les salons de beauté, autrefois la fierté de Kaboul, ont été détruits par les talibans. Et pour cause : c'est l'un des seuls domaines dont le contrôle échappe totalement aux hommes, qui n'ont pas le droit d'y pénétrer. Sans relations et sans argent, Deborah Rodriguez se bat pour monter une école où les élèves puissent suivre une formation d'esthéticienne et acquérir leur autonomie financière. Cette femme déterminée va soulever des montagnes, obtenir des parrainages prestigieux et... réussir ! En 2003, elle crée son école de beauté. Kaboul Beauté est l'histoire de cette personnalité hors du commun, de son école et de ses élèves qui luttent pour leur liberté.
Genre littéraire: Biographie/témoignage
Durée: 9h. 49min.
Édition: Versailles, Feryane, 2008
Numéro du livre: 29720
ISBN: 9782840118206
CDU: 316.42

Documents similaires

Lu par : Martine Moinat
Durée : 14h. 16min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 35187
Résumé:Kaboul, 2007. Depuis qu'il a été enrôlé dans les forces talibanes, le père de Rahima n'est plus que l'ombre de lui-même. Sans lui, sa mère et ses soeurs n'ont pas le droit de quitter la maison. Leur seul espoir réside dans la tradition des bacha posh, qui autorise sous certaines conditions, à travestir une fille jusqu'à ce qu'elle soit en âge de se marier. Rahima devient alors Rahim, et découvre une liberté qui va faire naître en elle un désir d'émancipation aussi fort que celui qu'éprouva son aïeule, Shekiba, un siècle plus tôt. Les destinées de ces deux femmes se font écho, et permettent une exploration captivante de la condition féminine en Afghanistan.
Lu par : Céline Exquis
Durée : 8h. 34min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 77443
Résumé:En 2011, Solène Chalvon-Fioriti a vingt-quatre ans et découvre le métier de journaliste en Afghanistan. Lors d’un reportage à la faculté de droit de Kaboul, elle tombe sur un avortement qui dérape dans les toilettes de l’université, manœuvré par un groupe de jeunes étudiantes. La scène est irréelle en terre afghane, rigide et conservatrice. Elle va sceller la rencontre avec la Pill Force, réseau clandestin féministe qui distribue des pilules abortives partout dans le pays. Au centre de ce groupe et de ce récit il y a la meneuse, la puissante et caustique Layle, avec qui l’autrice se lie d’amitié et qui sera, sept ans plus tard, assassinée par son frère. À travers l’histoire de ces militantes qui se sont « éveillées », elle fait revivre, jusqu’aux dernières évacuations cet été, dix années d’un Afghanistan démocratique, entre promesses non tenues, désenchantement et violence endémique. Solène Chalvon-Fioriti nous embarque dans un voyage intime autant que politique au cœur d’un pays déchiré. Son écriture sait nous faire voir et comprendre la dureté des vies qu’elle a côtoyées quand son regard, lucidement tendre, parvient, lui, à rendre vivant ce « gang de filles » dont les longs et improbables road-trips tempèrent, par leur cocasserie, la tragédie quotidienne.
Durée : 18h. 30min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 16191
Résumé:" Son nom est déjà gravé dans le marbre de l'Histoire. Premier Afro-Américain candidat à la présidence des États-Unis, Barack Obama intrigue et fascine. Qui se cache derrière ce phénomène politique ? Des terres rouges de Nairobi aux paysages ensoleillés de Djakarta, des ghettos de Chicago aux bancs de l'université Columbia, Barack Obama a poursuivi le même rêve : donner au monde les couleurs du métissage "
Lu par : Simon Corthay
Durée : 7h. 25min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 19371
Résumé:Jonathan Franzen se livre à une tentative d'autobiographie où l'on retrouve ses qualités maîtresses. Le romanesque : chaque chapitre s'organise autour d'un motif narratif, qu'il s'agisse de Peanuts, d'ornithologie, de la vente de la maison familiale ou d'une balade littéraire en Allemagne. L'autodérision : Jonathan Franzen a choisi de peindre en antihéros, embarrassé par sa timidité, sa maladresse et sa propension à la culpabilité. Dans 'La Zone d'inconfort', il révèle son identification totale, à l'âge de dix ans, au personnage de Charlie Brown, tout en décrivant les tensions qui agitent sa famille. Il évoque aussi, dans le désordre, sa découverte simultanée de Thomas Mann et des filles, l'ouragan Katrina, sa quête d'un canard siffleur, la politique de Bush, l'écologie, l'échec de son mariage... › Signaler une erreur sur la fiche
Lu par : Alain Burnand
Durée : 8h. 11min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 18979
Résumé:Un jour, Sue Hubbell, biologiste de formation, ayant travaillé comme bibliothécaire, lasse de vivre en marge de la société de consommation de l'Est américain, décide de changer de vie. Avec son mari, elle part à la recherche d'un endroit où ils pourraient vivre loin des villes, suivant l'exemple du poète Thoreau. Après avoir cherché, ils trouvent cette ferme dans les monts Ozark, au sud-est du Missouri, et, ne connaissant rien à l'agriculture ni à l'élevage, ils décident de créer une "ferme d'abeilles ". Alors commence pour Sue Hubbell une aventure dont elle n'imagine pas les conséquences. Les saisons, les années passent, maintenant dans la solitude car son mari l'a quittée, et cette femme qui n'avait de la nature qu'une connaissance théorique découvre lentement l'immensité de l'univers qu'elle s'est choisi : sur ces quelques hectares de collines où, depuis la disparition des Indiens Osages, aucun être humain ne s'est vraiment arrêté, la vie a établi ses lois et ses règles, tissant un réseau de dépendances entre tous les habitants : les plantes, les insectes, les araignées, les serpents, les oiseaux, les mammifères, et même les parasites et les bactéries. L'entrée dans ce monde n'est pas simple. Pour Sue Hubbell, c'est un véritable bouleversement. Elle qui croyait- par son éducation, par ses études- tout savoir de la vie animale découvre sur ces arpents de terre que la vie naturelle est un bien meilleur professeur, parce qu'elle laisse le savoir germer et mûrir comme tout ce qui est vivant et vrai. (J.-M. G. Le Clezio)
Durée : 10h. 31min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 70493
Résumé:Dan Morain, reporter au Los Angeles Times, nous raconte comment cette enfant d'immigrés, née en Californie au temps de la ségrégation, est devenue l'une des actrices majeures du pouvoir américain. Son récit nous plonge au coeur des années que Kamala Harris a passées en tant que procureure générale de Californie, explore son soutien téméraire à un Barack Obama encore peu connu, et montre comme elle a su jouer des coudes pour accéder au Sénat. Il analyse également son échec à devenir candidate pour la présidence, et les coulisses de sa campagne de vice-présidente. Tout au long de son récit, Dan Morain nous dépeint le portrait de sa famille, nous révèle ses valeurs et ses priorités, tout comme ses faux pas, ses prises de risques et l'audace dont elle a fait preuve lors de son ascension.
Durée : 14h. 19min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 70695
Résumé:"Ma vie n'avait rien de reluisant et relevait plutôt de la survie, et de cela je ne pouvais blairer que moi-même et mes acolytes : l'alcool, la cocaïne, et une propension bien ancrée à ce que mon vieux prof de philosophie grecque appellerait l'acrasie — cette faiblesse de caractère qui vous pousse à agir contre votre intérêt. Si le grec n'est pas votre truc, appelons ça Idiot Wind, le vent idiot, comme Bob Dylan." Le 26 janvier 1987, une énorme tempête s'abat sur New York quand Peter Kaldheim fuit la ville et Bobby La Batte, le dealer auquel il doit un paquet d'argent... Commence alors pour lui une vie d'errance. A la rue et sans le sou, il entreprend de traverser le pays en stop. Alors que les kilomètres défilent, c'est aussi un portrait de l'Amérique qui se dessine à travers les vies minuscules des chauffeurs qui lui offrent un répit momentané. Il découvre que le désespoir ne tonnait pas la honte et aussi la fraternité des gens de la route. Et, quand la solitude est trop grande, il trouve réconfort en relisant les grands dipsomanes et autres vagabonds de la littérature. Après avoir parcouru 8 000 Km et traversé les frontières de vingt Etats, il atteint enfin le bout de la route, prêt pour une nouvelle vie.
Lu par : Francine Crettaz
Durée : 12h. 59min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 65168
Résumé:« Les mémoires remarquables d’une jeune femme qui décide d’échapper à son destin. » Barack Obama Tara Westover n’a jamais eu d’acte de naissance. Ni de dossier scolaire, car elle n’a jamais fréquenté une salle de classe. Pas dossier médical non plus, parce que son père ne croyait pas en la médecine, mais à la Fin des temps. Enfant, elle a regardé son père mormon s’enfermer dans ses convictions, et son frère céder à la violence. Et, à seize ans, Tara décide de s’éduquer toute seule. Son combat pour la connaissance la mènera loin des montagnes de l’Idaho, au-delà des océans, d’un continent à l’autre, d’Harvard à Cambridge. C’est à ce moment seulement qu’elle se demande si elle n’est pas allée trop loin. Lui reste-t-il un moyen de renouer avec les siens ? Une éducation est le récit d'une construction de soi, l'histoire d’une fidélité farouche envers la famille, et du chagrin dû à la rupture. Forte de la lucidité qui constitue la marque des grands auteurs, Tara Westover nous livre son expérience singulière : son combat pour entrer dans l’âge adulte grâce à une éducation qui lui a permis de poser un regard neuf sur la vie et donné la volonté de changer.
Lu par : Yves Cuendet
Durée : 10h. 21min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 65026
Résumé:De San Francisco au Canada, de trains de marchandises en fumeries d’opium, d’arnaques en perçages de coffres, du désespoir à l’euphorie, Jack Black est un voleur: parfois derrière les barreaux, toujours en cavale. Avec ironie, sagesse et compassion, il nous entraîne sur la route au tournant du vingtième siècle. Personne ne gagne est un hymne à une existence affranchie des conventions. Qu’il soit hors-la-loi, opiomane ou source d’inspiration pour Kerouac et Burroughs, qu’importe, qu’il vole au devant de la déchéance ou qu’il flambe comme un roi, qu’importe, Jack Black n’est guidé que par son amour de la liberté. C’est dur, c’est brut, c’est profondément américain. Black est peut-être un vaurien, il est surtout un conteur qui, sans jugement, joue avec son passé afin de nous remuer et de nous remettre sur le droit chemin. [Source : éditeur]
Lu par : Martine Forgeot
Durée : 16h. 19min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 33402
Résumé:Consuelo Vanderbilt, l'une des plus grandes héritières des Etats-Unis, grandit à New York au sein d'une célèbre famille sûre des privilèges que lui octroie son immense fortune. Mariée contre sa volonté au duc de Marlborough, propriétaire du fastueux Blenheim Palace, elle devient membre d'une aristocratie dont les codes de conduite lui sont imposés. Dans cette Angleterre victorienne finissante où le cosmopolitisme apparaît déjà, elle rencontre au cours d'une vie mondaine décrite avec humour la reine Victoria, Edouard VII, la reine Alexandra, la famille impériale russe et Winston Churchill dont elle devient la cousine et confidente ... Elle mène alors la vie de la café society, future jet set, qui de châteaux en hôtels de luxe, de cours européennes en stations à la mode, suit les événements mondains. Cependant, fidèle à elle-même, Consuelo quitte son mari et trouve l'amour auprès de Jacques Balsan, aviateur français qui à l'inverse de son premier époux ne la considérera pas comme un trophée décoratif, mais avec un respect et un amour véritables. C'est l'occasion de nouvelles rencontres avec les acteurs principaux de la vie parisienne, Sacha Guitry, par exemple. Investie dans le monde qui l'entoure, elle s'engage dans des actions sociales, crée des centres d'accueil pour filles mères, soutient les indigents, sans cependant se départir de l'esprit de caste qui est aussi une part importante de sa nature et de son éducation. C'est cette succession de mondes : New York, Londres, Paris et de deux époques qui fait de ce récit la chronique d'une période charnière passionnante. La Seconde Guerre mondiale qui va déferler sur la France la verra s'occuper de réfugiés Elle rejoindra ensuite l'Espagne puis le Portugal, avant de regagner les Etats-Unis, laissant derrière elle son monde en train de s'effondrer.
Lu par : Madiana Roy
Durée : 11h. 31min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 33970
Résumé:Dans ce récit, considéré aujourd'hui comme un classique de la littérature américaine, Maya Angelou relate son parcours hors du commun, ses débuts d'écrivain et de militante dans l'Amérique des années 1960 marquée par le racisme anti-Noir, ses combats, ses amours. Son témoignage, dénué de la moindre complaisance, révèle une personnalité exemplaire. A la lire, on mesure - mieux encore - le chemin parcouru par la société américaine en moins d'un demi-siècle...
Lu par : Jean Frey
Durée : 12h. 15min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 66239
Résumé:Bukowski n'a rien oublié : ni la violence, ni la douleur des premières années de sa vie. Il parle vrai et dur. Les coups reçus et donnés, les désespoirs d'un jeune homme laid qui n'a jamais la bonne "attitude", les mesquineries des petits débrouillards, la bouteille, la guerre qui se prépare et n'engloutira pas indistinctement tout le monde, tout cela est dit sans détour. Le constat est effrayant, mais drôle : on sait rire aussi, que diable ! La machine à durer en verra bien d'autres, c'est évident. Les outrances, ici, ne sont, après tout, que celles de la vie elle-même. Et puis l'émerveillement n'est jamais loin, même derrière le souvenir de jeunesse le plus cruel. Chez Bukowski, le cœur est tendre, mais bien accroché.