Ma soeur se lance dans la chanson
Résumé
Jamais là où on l’attend, Thomas Sandoz nous surprend une nouvelle fois avec une comédie à l’humour féroce, aux allégories puissantes, faussement légère. Voici, racontée du point de vue de son frère emporté malgré lui dans cette aventure, l’histoire de Soline qui tente une carrière musicale en dépit du bon sens. Un roman riche en quiproquos et rebondissements.
Lu par :
Karine Gremaud Mettraux
Genre littéraire:
Humour-satire
Mots-clés:
Roman HUMORISTIQUE
Durée:
8h. 12min.
Édition:
Charmey, Les Ed. de l'Hèbe, 2024
Numéro du livre:
77806
Produit par:
Bibliothèque Sonore Romande
ISBN:
9782889061440
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Résumé:« Même en terre, ne jamais abandonner un enfant . » Cet impératif de fidélité régit le protagoniste du fascinant récit de Thomas Sandoz. L'homme, vieilli avant l'âge, travaille comme jardinier dans un cimetière de février à décembre. Il désherbe les tombes, les habille de fleurs qu'il soigne de toutes ses forces. Il s'évertue à entretenir le souvenir de ceux que les vivants abandonnent trop vite - « cette lâcheté qui se fait passer pour de l'oubli » - pressés qu'ils sont de reprendre leur quotidien. Le cimetière devient paradoxalement le lieu de vie du jardinier, en particulier le quartier où reposent les enfants. Ce lot de tombes, « petit monde avec ses règles propres, plus facile à maîtriser que les cyprès qui ornent le cimetière et dont la taille mobilise tant d'énergie », fait écho aux dimensions modestes du texte de Thomas Sandoz, terre à sa mesure qu'il peut d'autant mieux cultiver. (Marion Rosselet, culturactif.ch)
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Lu par : Jean Frisch
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Lu par : Pierre Luisoni
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Genre littéraire : Humour-satire
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Résumé:«La vieillesse ne sert à rien. Si j'avais créé le monde, j'aurais mis l'amour à la fin de la vie. Les êtres auraient été soutenus, jusqu'au bout, par une espérance confuse et prodigieuse. » Henri Roorda van Eysinga est né à Bruxelles en 1870. D'origine hollandaise, il vécut la plus grande partie de son existence dans le canton de Vaud, à Clarens et à Lausanne, où il se suicida à l'âge de 55 ans. Ses écrits et ses chroniques, des essais philosophiques s'inscrivant dans la lignée d'Alphonse Allais et de Desproges, - Le roseau pensotant, Le débourrage des crânes est-il possible? ou encore Le pédagogue n'aime pas les enfants - portent un regard amusé, caustique et sévère sur la société. A sa mort, en 1925, il laisse un ouvrage intitulé dans un premier temps Le pessimisme joyeux qui deviendra Mon suicide, le public ayant, selon lui, un goût plus prononcé pour le mélodrame.