Confessions d'un hétérosexuel légèrement dépassé
Résumé
Se demandant si la drogue, la drague et la célébrité mènent au bonheur, l'auteur revient sur sa jeunesse de fêtard et se lance dans des expériences inédites pour faire le point sur sa vie, telles qu'une retraite dans une abbaye ou un stage commando pour redécouvrir les vertus de l'ordre et de la discipline militaire.
Lu par :
Aziz Mouline
Genre littéraire:
Essai/chronique/langage
Mots-clés:
Conflit de génération
Durée:
3h. 34min.
Édition:
Paris, Albin Michel, 2023
Numéro du livre:
75585
Produit par:
Association Valentin Haüy
ISBN:
9782226478382
Documents similaires
Lu par : Danielle Laborde
Durée : 5h.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 71108
Résumé:Une sélection commentée de cinquante chefs-d'oeuvre littéraires que l'auteur juge essentiels à sa survie personnelle, constituée de grands classiques, d'oeuvres contemporaines ou encore d'ouvrages d'écrivains méconnus ou sous-estimés. Un manifeste en faveur de la littérature sous la forme d'une déclaration d'amour à ses oeuvres fétiches.
Lu par : Hervé Guignard
Durée : 10h. 58min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 19089
Résumé:L'apocalypse, serait-ce donc l'édition numérique, ou comme dans Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, la température à laquelle le papier s'enflamme et se consume ? Dans son Dernier inventaire avant liquidation, Frédéric Beigbeder commentait le choix de la FNAC. Désormais, dans cette arche de papier, il sauve au vingtième siècle tous les livres, pour être précis les 100 oeuvres, qu'il souhaite conserver au vingt-et-unième siècle. C'est donc un choix totalement personnel, égotiste, joyeux, inattendu, parfois classique (Fitzgerald, Paul-Jean Toulet, Salinger et d'autres grands), souvent surprenant (Lolita Pille, Simon Libérati, Patrick Besson, Jay Mc Inerney, Bret Easton Ellis, Gabriel Matzneff, d'autres oiseaux de nuit, d'autres perturbateurs). Il est rare d'établir le panorama d'une littérature en train de se faire, de s'améliorer, de s'inventer. Avec ce livre-manifeste, c'est le Beigbeder livresque, joueur, lecteur, que nous découvrons, en même temps qu'une autobiographie en fragments.L'apocalypse, serait-ce donc l'édition numérique, ou comme dans Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, la température à laquelle le papier s'enflamme et se consume ? Dans son Dernier inventaire avant liquidation, Frédéric Beigbeder commentait le choix de la FNAC. Désormais, dans cette arche de papier, il sauve au vingtième siècle tous les livres, pour être précis les 100 oeuvres, qu'il souhaite conserver au vingt-et-unième siècle. C'est donc un choix totalement personnel, égotiste, joyeux, inattendu, parfois classique (Fitzgerald, Paul-Jean Toulet, Salinger et d'autres grands), souvent surprenant (Lolita Pille, Simon Libérati, Patrick Besson, Jay Mc Inerney, Bret Easton Ellis, Gabriel Matzneff, d'autres oiseaux de nuit, d'autres perturbateurs). Il est rare d'établir le panorama d'une littérature en train de se faire, de s'améliorer, de s'inventer. Avec ce livre-manifeste, c'est le Beigbeder livresque, joueur, lecteur, que nous découvrons, en même temps qu'une autobiographie en fragments.
Lu par : Elisabeth Celton
Durée : 7h. 29min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 65544
Résumé:Frédéric Beigbeder n'a cessé de tourner en dérision le monde auquel il appartient. Aujourd'hui, la frivolité devient une forme de militantisme. De la « Fashion Week » à la finale de la Coupe du monde de football, du Festival de Cannes à une attaque à main armée au bar du Ritz, de l'enterrement de Jean d'Ormesson à une visite à Charlie Hebdo : cela fait trente ans que Beigbeder est sur tous les fronts. Et sur tous les sujets, des plus frivoles aux plus graves, il garde le même ton, unique mélange de sarcasme et de tendresse, d'humour noir et de nuits blanches. Ces 99 essais le révèlent au sommet de son art. Dans ces textes, rien n'est vain car tout est lesté d'une discrète gravité : de toutes ses dérives, l'auteur a fait une philosophie. Pourquoi 99 ? Parce que ce chiffre lui a porté chance autrefois. On y voit le monde s'écrouler et au milieu, un type qui ne pense qu'à s'en amuser. Ce qui, quand on n'a pas d'autre choix, reste la plus profonde chose à faire.
Lu par : Monica Torrigiani
Durée : 9h. 7min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 31511
Résumé:"J'aimerais plus tard qu'on dise des pages qui suivent : oh c'étaient des gens qui écrivaient des choses mais surtout, c'étaient des personnes qui s'asseyaient à une table pour discuter de littérature. Cela se passait à la fin d'un siècle et au début d'un autre, en un temps où ils étaient parmi les derniers au monde à s'intéresser à ce truc démodé. Ils péroraient sans s'arrêter, en buvant pour se donner du courage, ils aimaient se parler des livres qu'ils n'avaient pas écrits, des livres qu'ils allaient écrire, des livres des autres comme des leurs, et aussi des vies qu'ils n'avaient pas vécues. Ils conversaient car ils n'avaient pas sommeil. Il se faisait tard, parfois ils ne se souvenaient plus très bien ce qu'ils faisaient là, mais ils continuaient à palabrer, et le soleil était couché, et la France était morte, et ils trouvaient toujours des choses à se dire sur l'avenir du monde. Dans une époque où tout était organisé pour isoler les êtres, leurs conversations impliquaient une forme de refus. Ils discutaient donc ils étaient." Entre 1999 et 2014, Frédéric Beigbeder a interviewé ses écrivains favoris pour la télévision et pour la presse écrite. De Michel Houellebecq à James Salter en passant par Bret Easton Ellis, Tom Wolfe ou encore Jean d'Ormesson, il a rencontré les plus grandes figures de la littérature contemporaine. Ou plutôt, il a entretenu avec elles des conversations joyeusement débridées, dialogues sincères et cocasses, attachants, un brin nostalgiques. Il reprend ici le meilleur de ces interviews, en version complète, non coupée, inédite. Des échanges vivants, libres, généreux et passionnants, avec, au cour, l'écriture en train de se faire.
Lu par : Arlette Glairon-Mondet
Durée : 3h. 47min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 22340
Résumé:On a chacun eu droit à la fameuse question de l'île déserte et des ouvrages qui auraient la chance de figurer dans notre besace. Choix impossible et cas de conscience. Frédéric Beigbeder complique l'exercice en emportant sur le sable de "Dernier inventaire avant liquidation", non pas ses livres préférés mais les 50 ouvrages du siècle selon 6 000 Français. Il dresse pour chacun d'eux une fiche de lecture, avec l'humour qu'on lui connaît et l'insolence qu'on espère de lui : "On peut lire "Nadja" comme une ballade autobiographique et un roman d'amour plus poétique que du Madeleine Chapsal". L'auteur de "99 francs" jette donc sa bouteille à la mer: "Le XXe siècle fut riche d'œuvres magistrales, il est temps d'embrasser du regard ce siècle avant que peut-être, la littérature ne s'éteigne. Car je souhaite qu'il y ait encore des écrivains au XXIe siècle." La messe est dite. Beigbeder le critique s'élance pour un tour d'honneur et fait preuve, avec beaucoup de panache, d'une réjouissante pédagogie. Présentant les ouvrages et situant leurs auteurs, il fait renaître l'envie de lire ou de relire des classiques parfois trop vite usés sur les bancs d'écoles ou d'aller chercher dans sa bibliothèque ces livres connus, mais pas ou plus lus : "Lolita", "La Cantatrice chauve", "Pour qui sonne le glas", "Le Lotus bleu"... Alors, oui, bien sûr, il en manque, comme toujours, mais nous étions prévenus, une île littéraire n'est jamais assez grande.
Lu par : Monica Torrigiani
Durée : 4h. 14min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 71905
Résumé:Face à l’Atlantique qui à chaque instant gagne du terrain, il voit remonter le temps. Par vagues, les phrases envahissent d’abord l’espace mental et la page, réflexions sur l’écriture, la solitude, la quête inlassable d’un élan artistique aussi fugace que le désir, un shoot, un paysage maritime. Puis des éclats du passé reviennent, s’imposent, tels « un mur pour se protéger du présent ». A la suite d’Un roman français, l’histoire se reconstitue, empreinte d’un puissant charme nostalgique : l’enfance entre deux parents divorcés, la permissivité des années 70, l’adolescence, la fête et les flirts, la rencontre avec Laura Smet, en 2004… Temps révolu. La fête est finie. Pour faire échec à la solitude, reste l’amour. Celui des siens, celui que Bartherotte porte à son cap Ferret. Et Beigbeder, ex dandy parisien devenu l’ermite de Guétary , converti à cette passion pour un lieu, raconte comment Bartherotte, « Hemingway en calbute », s’est lancé dans une bataille folle contre l’inéluctable montée des eaux, déversant envers et contre tous des millions de tonnes de gravats dans la mer. Survivaliste avant la lettre, fou magnifique construisant une digue contre le réchauffement climatique, il réinvente l’utopie et termine le roman en une peinture sublime et impossible, noyée d’eau et de soleil. La foi en la beauté, seule capable de sauver l’humanité.
Lu par : Jacques Zurlinden
Durée : 6h. 54min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 66968
Résumé:Octave Parango a été concepteur-rédacteur dans les années 1990, model scout dans les années 2.000 . Le voici qui découvre dans les années 2010 un nouveau métier… Après 99 Francs sur la tyrannie de la publicité et Au secours pardon sur le marchandisation de la beauté féminine, ce nouveau roman satirique, hilarant et désespéré clôt la trilogie d’Octave Parango sur les aliénations contemporaines. Tout est malheureusement vrai (et vécu) dans cette satire, hilarante et désespérée, des dérives de notre société de divertissement.
Lu par : Colette Audeoud
Durée : 8h. 23min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13316
Résumé:Ce roman s'appuie sur un sujet qui a marqué et marque encore l'imaginaire, mais aussi la réalité, des Américains, comme des Européens ou des Arabes du monde musulman. Une onde de choc qui a ébranlé l'Occident mais qui aussi déferlé rappidement sur l'Orient. Beigbeder se promènera entre son Windows on the World, ce restaurant des tours du World Trade Center, et un autre restaurant, le Ciel de Paris, celui-là à la Tour Montparnasse. Dans les deux cas, protagoniste et écrivain verront défiler leur vie et leurs jours. Un parallèle osé.
Lu par : Pierre-Bernard Elsig
Durée : 5h. 1min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15140
Résumé:"'Au secours pardon" raconte l'histoire d'un homme qui se croit libre comme la Russie, et qui va s'apercevoir que la liberté n'existe pas. "C'est l'année de mes quarante ans que je suis devenu complètement fou." A Moscou, Octave Parango est chargé par une marque de cosmétiques de trouver la plus jolie femme du monde. Lena a la détermination boudeuse des jeunes filles et la beauté d'un ange démoniaque. On se damnerait pour la sauver ou se perdre avec elle. A Moscou, puis à Saint-Pétersbourg, Octave fera les deux. Dans la cathédrale récemment reconstruite, il confesse ses turpitudes à un pope qui hoche la tête avec compassion. Lequel des deux sauvera l'autre ? Lequel des deux périra le premier ?
Lu par : Francine Chappuis
Durée : 6h. 17min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16566
Résumé:L'auteur de 99 francs insère dans un seul volume plusieurs histoires, toutes celles ayant fait de lui l'homme qu'il est aujourd'hui. Quand il s'agit de résumer l'ouvrage, Frédéric Beigbeder préfère en énumérer les différentes intrigues : "C'est l'histoire d'un homme devenu jouisseur pour se venger d'être quitté, d'un père cynique parce que son coeur était brisé." C'est aussi "l'histoire d'un grand frère qui a tout fait pour ne pas ressembler à ses parents, et d'un cadet qui a tout fait pour ne pas ressembler à son grand frère". C'est enfin "l'histoire d'une humanité nouvelle, ou comment les catholiques monarchistes sont devenus des capitalistes mondialisés".
Lu par : Claudine Hennevin
Durée : 6h. 54min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 29651
Résumé:«Ce qui m'intéresse le plus chez Capote et Salinger, c'est Oona, son premier amour. Je pense qu'elle a été leur principale Muse. C'était la fille d'Eugene O'Neill, le grand dramaturge américain, prix Nobel de littérature en 1936. Les biographes s'affrontent sur la cause de la disparition de Salinger en 1953 : il aurait été traumatisé par la guerre, il serait devenu membre de la secte Krishna, moine bouddhiste zen, il aurait choisi le New Hampshire pour payer moins d'impôts, il aurait été déçu par le milieu littéraire, son orgueil aurait été blessé par une mauvaise critique de John Updike, ou par la méchanceté de Norman Mailer le qualifiant de «plus grand esprit qui soit resté au niveau de l'école secondaire». Mais personne n'a envisagé l'hypothèse sentimentale : il ne s'est jamais remis de sa rupture avec Oona O'Neill. Ils sortaient ensemble quand les Japonais ont attaqué Pearl Harbor. Salinger est parti à la guerre. Il a combattu dans des conditions atroces. De l'armée, il a écrit à Oona des dizaines de lettres enflammées. Il n'était pas encore célèbre, ce n'était qu'un pauvre amoureux, un grand dadais aux cheveux noirs qui rêvait de d'entrer en littérature. Oona est partie tenter sa chance dans le cinéma, à Hollywood. Et le pauvre J.D. s'obstinait, il l'a aimée à distance, il est tombé amoureux d'une absente. Oona incarnait la vie, le retour à la terre natale, le doux visage lointain qui te sert de Graal, quand tu rampes dans la boue d'une forêt allemande, sous les obus.» F.B.
Lu par : Daniel Schreiber
Durée : 5h. 49min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 22269
Résumé:Octave est le maître du monde. Octave exerce en effet la profession lucrative de rédacteur publicitaire : il décide aujourd'hui ce que vous allez vouloir demain. Octave est un mort-vivant, couvert d'argent, de filles et de cocaïne. Un jour, il se rebelle. Le doué Octave déjante. La cliente idéale ? " Une mongolienne de moins de cinquante ans. " Les nababs de la publicité ? " Ils mènent la troisième guerre mondiale. " De l'île de la Jatte où négocient les patrons d'agence à Miami où l'on tourne un spot sous amphétamines, d'un séminaire en Afrique à Saint-Germain-des-Prés, de l'enfer du sexe à la pureté perdue, Frédéric Beigbeder, entre fiction et pamphlet, écrit la confession d'un enfant du millénaire. En riant il dénonce le mercantilisme universel. En quelque sorte, un livre moral. Pour 99 francs, seulement.