Contenu

Lamento

Résumé
Lamento est une histoire d'engouement sauvage. Une complainte hypnotique sur le fait de tomber amoureux. Mais pour ne pas rester qu’un feu de paille, comment transformer le coup de foudre en un amour durable, en un amour quotidien ? Vingt ans après la fin de son mariage, une femme écritpour sa fille l’histoire d’amour dont elle est le fruit, et lui adresse son Lamento, la lamentation sublime d’un désir qui refuse la domestication, d’un coup de foudre trop pétri d’absolu pour résister aux déceptions du temps. Nous lisons ce roman dans un état proche de la transe et oublions pendant quelques heures le monde qui nous entoure. La transformation de l'amour a rarement été décrite de manière aussi impitoyablement brutale et en même temps aussi lyriquement belle que dans Lamento
Genre littéraire: Roman d'amour
Durée: 5h. 5min.
Édition: Lausanne, Noir sur blanc, 2023
Numéro du livre: 74844
ISBN: 9782882508638
Collection(s): Notabilia

Documents similaires

Lu par : Vincent Siegrist
Durée : 2h. 40min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 76080
Résumé:Il y a des choses que l'on écrit parce qu'on n'a pas pu les dire. Nora envoie une longue lettre à son père, qui vit dans une autre ville. Cette ville, elle l'a quittée pour apprendre le chant à Bruxelles. Mais aussi pour autre chose. " Ma vie n'est pas exactement comme je te l'ai racontée. " L'enfant que connaît ce père était un " il " . Il se prénommait Raphaël. Tout ce que le père ignore, le voici, depuis l'enfance, la mort de la mère. Les déguisements que portait le petit garçon. Les princesses qu'il dessinait. Les brutalités subies dans la cour du collège. Les mensonges. La douleur. Et puis, un jour, une lumière : le chant. Et le départ. Et ce que Nora est devenue, sa nouvelle vie. Voici un sens inédit ajouté au " Je est un autre " de Rimbaud. Loin d'être une lettre d'amertume, de vengeance ou de règlement de comptes, la lettre de Nora est une lettre d'amour. Lettre d'amour à un père, dans l'espoir qu'il comprendra. Lettre pour s'aimer soi-même, aussi, enfin. Un roman bouleversant, et d'autant plus qu'il évite les excès de la plainte comme de la caricature, sur l'identité, mais aussi sur le passage à l'âge adulte, le perfectionnement d'un art, le renouement avec l'acte d'aimer.
Lu par : Claire Besençon
Durée : 3h. 18min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 67819
Résumé:Dans le nord du Danemark, un homme et une femme courent dans la forêt. Ils se croisent par hasard alors que la nuit les surprend. Ils se perdent, se retrouvent, passent la nuit dans un abri à souffrir du froid et de la soif, à parler beaucoup. Hors de toute couverture réseau, la forêt de conte semble se refermer sur eux. Dans ce nouveau roman, la célèbre romancière danoise Helle Helle dit simplement et avec humour la croisée des chemins, les petits bruits de la forêt et les battements du cœur – mais aussi la fatigue, l’effroi, l’angoisse d’un jogging ordinaire qui vire au cauchemar
Durée : 9h. 47min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 74821
Résumé:"Terminés les moments fugaces, les petites étincelles de bonheur, j'ai embrassé mon identité à bras-le-corps. " A tout juste vingt ans, Elliot Page éblouit le monde entier dans le rôle phare de Juno. Ce film lui vaut une nomination aux Oscars et marque le début d'une carrière internationale au cinéma. Mais, en secret, il souffre d'un mal-être indescriptible qui le ronge et le pousse à réprimer de profondes interrogations sur son identité et sa sexualité. Après avoir passé des années à vivre la vie que l'on attendait de lui, il parvient à poser des mots sur sa dysphorie de genre et entame un parcours de transition. Dans ce texte sincère et bouleversant, Elliot Page nous raconte le cheminement qui l'a mené à faire son coming out trans. Il nous ouvre aussi les portes d'une industrie hollywoodienne en pleine évolution depuis le mouvement #MeToo. A travers des souvenirs sombres ou joyeux, Elliot Page se livre avec sensibilité et justesse dans cet autoportrait lumineux.
Lu par : Sylviane Tastavi
Durée : 4h. 10min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14511
Résumé:Sujet de l'ouvrage : Dieu s'occuperait-il des problèmes de notre existence ?
Lu par : Denise von Arx
Durée : 6h. 43min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14469
Résumé:Dans la paisible vallée de Baliem, en Nouvelle-Guinée, débarque un jour un homme seul, Louis Schultz. Cet aventurier au passé mystérieux s'intéresse passionnément aux Dani, les habitants de la vallée, et rêve de rejoindre les tribus les plus reculées des hauts plateaux de l'Irian Jaya. Alors que tous tentent de l'en dissuader : ces tribus guerrières sont parmi les plus dangereuses, Schultz parvient par la ruse à gagner le territoire papou. Envers et contre tous, l' homme s'enfonce dans les hauts plateaux de l'Irian Jaya, en Nouvelle-Guinée. Et il disparaît. Ce n'est que vingt ans plus tard , alors que tous le donnent pour mort depuis longtemps, que l'ombre de Schultz refera surface, en la personne d'une jeune métisse, Lalu, sa fille. le roman, pour l'essentiel, s'attache aux difficultés de Lula à faire le pont entre les deux civilisations auxquelles elle appartient. La faille est à la fois celle, réelle, qu'elle enjambe chaque fois qu'elle fuit d'un monde à l'autre, et le symbole de sa déchirure entre la civilisation des Blancs de la vallée de Baliem.
Durée : 7h. 13min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 22144
Résumé:A l'approche de sa mort, Hans Christian Andersen, l'auteur des contes universellement connus, cherche le pardon pour sa vanité et pour avoir laissé sa mère et sa demi-sœur dans leur misère. Lui qui s'est largement mis en scène comme le vilain petit canard devenu cygne n'aimait pas qu'on lui rappelle ses origines modestes. Pour se faire une place dans un milieu qui lui était complètement fermé au départ, et où il voulait être acteur, il essuya d'innombrables humiliations et échecs avant d'écrire ses contes enfin appréciés de la critique. Au fur et à mesure que son état s'aggrave, Andersen est hanté par les personnes-clés de son existence, revoit les lieux qu'il a visités, de Paris à Constantinople, de Londres à Rome. Il fait le bilan de ses regrets et semble peu à peu accepter l'échéance qui vient. Malgré la renommée internationale dont il a joui de son vivant, malgré les louanges de plusieurs familles royales, de divers mécènes aristocrates et de grands artistes internationaux tels Hugo, Dumas, Balzac, Heine et Dickens, Andersen doutait terriblement de lui-même et de son œuvre. Abonné à l'amour impossible, il fut l'éternel insatisfait, vivant par procuration, se réfugiant dans son imaginaire avec un désir presque permanent d'être ailleurs ou d'être quelqu'un d'autre.
Lu par : Martine Moinat
Durée : 7h.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18124
Résumé:Alors qu'il regarde un reportage sur la guerre en Irak, Allan apprend la mort de son père, qu'il n'a pas revu depuis des années. Et pour cause. Dans ses romans et ses pièces à succès, l'écrivain qu'il est devenu n'a cessé d'instruire contre ce père honni un procès à charge. Feignant d'abord l'indifférence, il se décide à envoyer une couronne pour l'enterrement : touchée par son sommaire Sincères condoléances, sa mère l'appelle et obtient de lui qu'il revienne enfin la voir. Il convainc sa soeur Sanne, restée traumatisée par le cauchemar familial, de l'accompagner. Les voici en route vers le village du Sud Jütland, théâtre des secrets et des turpitudes de leur enfance. Il n'est pas certain, avec ce retour au pays natal, qu'Allan parvienne à tirer un trait sur son passé...
Lu par : Annick Portmann
Durée : 10h. 5min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18688
Résumé:Un historien de l'art parvient à un tournant de son existence quand Astrid, son épouse, part soudain, après dix-huit ans de vie commune. Cet événement déclenche alors un flot de souvenirs et de réflexions. Un amour de jeunesse sans issue, la rencontre d'Astrid, le mariage et les enfants, la vie mondaine dans la bourgeoisie intellectuelle de Copenhague, les voyages à Paris, Lisbonne et New York. Comment cette vie s'est-elle dessinée ? "Je dois tout réinventer, tout en sachant bien que je risque ainsi de recouvrir le peu que j'aurais peut-être mis au jour pendant ce temps. Tout en brodant mon histoire, je me rends compte à quel point une vie reste pleine d'ombres et de silences. Comment prend-elle forme ? Pourquoi a-t-elle pris cette direction-là, cette direction décisive ?".
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 2h. 3min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15163
Résumé:Nous sommes en 1943, et les bruits de la guerre n'épargnent pas même cette grande demeure bourgeoise, construite a l'écart de ce hameau au bord de la mer du Nord. Ses propriétaires, un couple sans enfants, accueillent leur jeune neveu de quatorze ans, mais aussi la fille adolescente de la couturière de Madame, pour la mettre a l'abri des bombardements qui menacent Copenhague. Lorsqu'un avion britannique s'écrase non loin de la dans les dunes, un drame silencieux va se nouer entre les deux adolescents et un pilote britannique... Ce récit dépouillé et émouvant, sur le thème de l'innocence perdue, marque sans doute un tournant dans l'écriture de Jens Grøndahl, dont le talent s'affirme de livre en livre.
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 5h. 20min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 32863
Résumé:Cela aurait pu être un simple mariage blanc permettant à Elena de fuir la Roumanie de Ceausescu. Mais Scott, un photographe de presse d'origine américaine, s'attache beaucoup plus que prévu à cette jeune femme secrète, et lorsqu'elle le quitte, après quelques mois de vie commune au Danemark, il est désemparé. Cette séparation brutale ne lui permet pas de comprendre ce qui s'est réellement passé depuis leur rencontre, à la faveur d'un reportage de Scott à Bucarest. Quelque temps après, alors que Scott s'apprête à rentrer aux Etst-Unis, le fils de sa première épouse lui apporte une lettre provenant de Roumanie et destinée à Elena. A la demande de Scott, il va partir à la recherche d'Elena et devenir, presque malgré lui, la première personne à qui elle fera le douloureux récit de sa vie
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 12h. 10min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 32034
Résumé:C'est au seuil de la vieillesse que le narrateur décide de nous raconter son histoire, trois moments de vie qui sont autant d'étapes décisives dans la construction de sa personnalité et de sa sensibilité. Il dépeint tout d'abord ses jeunes années et le tournant qu'a représenté le cancer de sa mère. A l'époque, le narrateur avait décidé d'approfondir sa connaissance de l'allemand afin de pouvoir lire Karl Marx et finalement découvrir une littérature germanique qui bouleverse son adolescence, de Thomas Mann à Rainer Maria Rilke. C'est aussi l'époque des premières amours et de la rencontre avec la fille de son professeur d'allemand, qui lui permet de découvrir Berlin d'avant la chute du mur. Puis vient l'âge de raison, le mariage, la naissance de sa fille Julie, et le divorce. Le narrateur a une quarantaine d'années, il est à présent enseignant et accueille un garçon d'origine serbe dans sa classe. Stanko le fascine, sa discrétion comme cette maturité arrogante qui rejaillit parfois. Mais c'est la rencontre avec la mère du jeune homme qui le trouble encore davantage, notamment lorsqu'elle lui montre une vidéo d'elle et son mari, depuis disparu, lors d'une croisière sur le Danube au moment de passer les Portes de Fer, entre la Serbie et la Roumanie. Passion à nouveau éphémère qui le renvoie en fin de compte à sa condition d'homme solitaire et de père en alternance. A la veille de ses soixante ans enfin, c'est à Rome que nous le retrouvons. Grand-père depuis peu, le narrateur fait une nouvelle rencontre inopinée avec une photographe. Elle l'invite chez elle pour lui montrer son travail avant d'accepter de partir avec lui à Paestum, photographier ces ruines encore vivantes... Jens Christian Grøndahl brosse le portrait de cet homme et de son histoire avec une grande justesse, il s'immisce dans ses remords, ses obsessions, ses envies profondes. Les Portes de Fer parle d'amour et de solitude mais également du désenchantement de l'individu occidental, de ce drame bourgeois que le grand auteur danois réussit à croquer avec une lucidité et une élégance toutes singulières
Durée : 10h. 20min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 25534
Résumé:Les meilleures années appartiennent-elles toujours au passé ? En est-on responsable ? Ces questions viennent hanter Ingrid Dreyer, architecte et mère divorcée, au cours de quatre jours dramatiques, où plus rien ne se révèle être comme elle le croit. Lorsque son fils adolescent est arrêté pour des actes de violences, lorsque sa relation à un homme plus âgé et marié prend un tour inattendu, Ingrid Dreyer replonge dans les souvenirs de sa jeunesse solitaire et de son mariage raté, afin de tenter de comprendre pourquoi sa vie commence à ressembler à une impasse. Est-elle condamnée à reproduire les comportements, les lubies et les erreurs de sa mère, femme de lettres, qui a connu jadis son heure de gloire ? Les histoires de ces femmes ne sont-elles que les variations díun même thème et díun même drame ? Après Sous un autre jour et Les mains rouges, Jens Christian Grondahl propose ici un nouveau portrait de femme de notre temps, avec cette profondeur psychologique et cette subtilité stylistique qui sont sa marque. Les trajectoires díun certain nombre de personnages reliés entre eux par le sang, les rencontres ou les circonstances síinterpénètrent, se racontent par épisodes alternés, faits en grande partie de discours intérieurs, de va-et-vient entre présent et passé, de souvenirs, de drames muets et intimesÖ Classique dans sa construction, le récit est pourtant plus exigeant quíil níy paraît : les péripéties sont toujours celles de líâme plus que celle de líhistoire ou des corps. Díoù cette impression de minutage précis des journées, de mélange de suspens, de fluidité, díactes anodins et de pensées vertigineuses. Il faut, à líévidence, être maître de son art pour garder líintensité du récit díensemble, ce que Grondahl réussit une fois de plus.