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À cinq heures, au café

Résumé
Spécialiste en désinfection et entiché d'insectes, Simon est amoureux du vivant et de ces petites joies quotidiennes qui lui plaisent tant. En ce moment pourtant, sa vie est compliquée. Sa femme violoncelliste est le plus souvent en tournée et leur couple est en danger. Ses filles adolescentes sont aux prises avec les mille excès que réserve cet âge et il est par ailleurs le gardien du bonheur de ses parents bien aimés et de leurs très vieux amis, petite tribu de vieillards égoïstes, tendres et chamailleurs, qu’il retrouve tous les jours à cinq heures au café…
Durée: 9h. 43min.
Édition: Vevey, Le Cadratin, 2020
Numéro du livre: 71988
ISBN: 9782940248681

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Lu par:Michel Voïta
Durée:5h. 40min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:72188
Résumé: «A-t-il vraiment cherché autant qu'il le pouvait ? Bruno ne comprend pas bien la manière dont il mène cette affaire personnelle. Obscurément, il sent que quelque chose en lui résiste. Une façon de freiner qui ne lui ressemble pas ...» Quête des origines pour donner un peu de sens en plus à ce qui reste d'avenir ? Ou vieux réflexe d'élucidation, comme une seconde peau, presque une obligation ? Retraité depuis peu, l'ex-inspecteur Bruno Scheider est aux prises avec toutes ces réflexions sur son mystère familial lorsque Sophie, sa jeune collègue d'alors, vient lui parler du meurtre de «l'homme du pont». Un jeune homme abandonné près de l'eau les pieds nus et avec à l'annulaire gauche, un tatouage dont Bruno sent aussitôt qu'il ne lui est pas étranger. Avec Personne ne sait que tu es là, retrouvez l'équipe d'enquêteurs et les intrigues subtilement entrelacées que vous avez aimées dans ...au point 1230.
Lu par:Michel Voïta
Durée:5h. 22min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:74450
Résumé: Dans ce roman tendu et poignant qui dépeint à la fois la bonté et l’emprise dans les relations humaines, tous les personnages ont un traumatisme à surmonter et un rôle crucial à jouer dans le dénouement final. Il y a d’abord Marco. On le croyait mort, mais il est soudain de retour en ville. Sept ans auparavant, il était parti nager dans les eaux du lac et n’avait jamais réapparu, laissant derrière lui un fils de trois ans et une veuve semblait-il inconsolable. Alors pourquoi revient-il aujourd’hui, secrètement ? Il y a aussi José, aveugle depuis une récente maladie, qui tente de réapprivoiser le cadre dans lequel il a grandi à travers les yeux d’une amie. Il a perdu la vue, mais les lieux et certains souvenirs douloureux sont gravés dans sa mémoire. Enfin, l’ex-inspecteur Bruno Schneider entre en scène à son tour. Pourtant très éprouvé par sa dernière enquête, il va devoir intervenir pour aider à résoudre une inquiétante affaire de disparition. Serait-elle liée à l’engrenage que Marco a déclenché en revenant déterrer le passé ?
Lu par:Michel Voïta
Durée:5h. 6min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:76010
Résumé: Dans ce roman chemine une double trame narrative. Il y a d’une part l’histoire de Charles Garain, très jeune soldat joyeux et va-t-en-guerre, enthousiaste et sans peur dont on découvre avec saisissement, lors de sa toilette mortuaire, qu’il était une femme. Il y a d’autre part le récit par l’auteure des coulisses du roman, de sa quête de ce Charles qui sans cesse lui échappe. Et il y a surtout un mystère poignant: qui était vraiment cette toute jeune fille, originaire de Saint-Gingolph, qui a menti sur son identité pour pouvoir s’enrôler, à 16 ans, dans les troupes suisses engagées par le roi d’Espagne contre les Anglais à la fin du XVIIIe siècle. Qu’espérait-elle fuir ou vivre en se travestissant pour devenir soldat?
Durée:5h. 27min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:70142
Résumé: Quand cette femme aux baskets roses est retrouvée assassinée sur la petite plage du lac Léman, l’inspecteur Bruno Schneider et son équipe doivent dénouer les ficelles du hasard pour comprendre que c’est dans la montagne voisine que se sont croisés les destins. Au point 1230, précisément, là où Jacques, après plusieurs mois tourmentés, a décidé d’abandonner volontairement son billet de loterie, gros lot de plus de 3 millions de francs. Jouer avec la chance pour ensuite la rejeter pourrait donc s’avérer fatal ? [Prix du polar romand 2021]
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Résumé: Nietzsche a quitté sa patrie en 1886. Il vit désormais entre Nice, Sils Maria et Turin, à la recherche d’un climat qui épargnerait ses nerfs, ses yeux, sa tête, son estomac. C’est un exilé ; il abomine l’Allemagne, sa langue, sa religion, sa cuisine. Il s’est débarrassé de Dieu et voilà qu’il veut provoquer la naissance d’un monde nouveau, inspiré par une esthétique nouvelle. Mais qu’est-ce que l’esthétique, quand on n’a que dédain pour l’architecture et la peinture ? C’est évidemment la musique. Il se déclare musicien avant tout, et c’est parce qu’il est musicien qu’il peut être philosophe. C’est donc par la musique qu’il veut dynamiter son époque et la civilisation judéo-chrétienne. Curieuse utopie que celle de ce solitaire intraitable, visionnaire, attaché à pourfendre le nihilisme. La musique salvatrice ne sera pas la grande musique allemande, celle de Bach et de Beethoven qu’il admire ; et encore moins celle de Wagner, qu’il a fini par exécrer. Non, cette musique du monde nouveau sera méditerranéenne ; elle est à retrouver dans les chœurs antiques et dionysiaques de l’Antiquité — dont toute trace est effacée. L’utopie de Nietzsche est extravagante ; lui-même ne pouvait que s’y perdre. À sa vision de la musique est attaché irrémédiablement son destin ô combien tragique.
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Durée:5h. 2min.
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Numéro du livre:76031
Résumé: Fin de l'été 1950, au large des côtes turques. L'île grecque de Saint Spyridon vit au ralenti. Après les quatre années de guerre civile qui ont bouleversé le pays, la misère est partout, les gens ont faim. Odile, photographe à Paris, y possède une maison. Elle a appris le grec, aime profondément l'endroit, photographie ses habitants avec passion. Ils ont développé une affection d'abord méfiante puis sincère pour I Gallida, la Française, comme ils la surnomment. Une jeune fille de l'île, Clio, l'aide au ménage. Se développe entre la Française et la jeune Grecque une amitié complice. Pénélope, la fille d'Odile, la vit douloureusement. Du même âge que Clio, elle lui voue une détestation violente. Arrivée à l'âge où tant de filles de l'île prennent le voile, Clio entre au monastère de l'île. L'higoumène y tient ses ouailles d'une main de fer. L'irruption d'un appareil photographique au sein du monastère bouleversera la vie des moniales dans un sens inattendu.
Durée:3h. 8min.
Genre littéraire:Périodique
Numéro du livre:58006
Résumé: Editorial, Olivier Babel, Secrétaire général LivreSuisse. - Enquête : Le vrai métier des écrivains romands. - Les actus des événements du livre, des prix littéraires suisses, de nos éditeurs, de nos libraires. - Daniel de Roulet : Le livre suisse n'existe pas. - Antoine Viredaz et Alexandre Metzener : Comment devient-on éditeur en Suisse romande ? - La chronique d'Alexandre Grandjean : Ecosystème. Les secouristes du livre. - Plus de 80 nouveautés des éditeurs de LivreSuisse à découvrir. - La chronique des Petites Feuilles - La feuille volante n° 6. - François Vallotton plonge dans les trésors des archives de la RTS. Sixième épisode : des bulles au petit écran. - Cocorico helvetica. - Elisa Shua Dusapin en visite au Chien bleu, librairie jeunesse située au centre de Genève- agenda. - Les livres de la vie d'Eugène. - Interview : "L'écriture est précaire mais il faut la considérer comme une profession" Nicolas Couchepin, président de l'association des autrices et auteurs de Suisse (ADS) et écrivain. - Propos recueillis par Isabelle Falconnier....et bien d'autres sujets!
Durée:7h. 59min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:75448
Résumé: Zakir n’a plus de pieds. On les lui a coupés. L’autorité, pour être précis son représentant local, a ordonné qu’il soit empêché de marcher. On aurait pul’immobiliser entier dans une cage ou une prison, mais c’eût été le laisser dans l’idée qu’il remarcherait un jour et il n’en était pas question. Du même coup, on évitait l’embarras d’avoir à nourrir et loger un criminel tout en minimisant le risque de fuite. La détention présente le double défaut de coûter cher aux pouvoirs publics et de stimuler l’esprit d’évasion du reclus. C’est un bien mauvais calcul. Privé de pieds en revanche, le corps de Zakir devenait un pénitencier qu’il se chargerait lui-même d’entretenir à ses frais et dont il n’aurait aucune chance de sortir vivant. Libre à lui de se débrouiller à sa façon. On aurait aussi pu l’exécuter, mais c’eût été perdre l’occasion d’en faire un exemple durable. Moralité: qui veut ses pieds garder ne tentera pas de passer la frontière. La puissance de l’autorité ne se grandit-elle pas d’obliger le délinquant à faire lui-même la promotion de la loi désormais taillée dans sa chair? Le pourquoi de la frontière, le pourquoi de l’interdiction et l’attrait de la transgression, tout cela mérite réflexion. Le fait est que, depuis une vingtaine d’années, Zakir ne sort plus de chez lui et qu’à moins d’une révolution inimaginable, il n’aura plus jamais la faculté ne serait-ce que d’aller observer cette frontière qui pique toujours autant la curiosité.» Le jeune Gédéon, simple manoeuvre employé à la numérisation des fonds de bibliothèque, découvre toutes sortes de rapports confidentiels sur l’état du monde, désormais divisé entre surface ouvrière et cités connectées souterraines. Il s’instruit à sa façon et, forcément, s’interroge. À quoi désormais servent l’écriture et le papier?
Durée:9h. 2min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:35748
Résumé: Il avait compris que c’était au coeur de l’enfance – où se trament nos peurs et nos joies – qu’il devait retourner. C’était là qu’il retrouverait, dans les failles du temps, les souvenirs perdus le long du chemin, et les mots, les phrases qui leur rendraient un peu de leur éclat, réveilleraient en lui l’écho des jours anciens. Il se mit à la tâche, livré d’abord aux errances, aux tâtonnements, traquant des ombres, courant le pays, perdant et retrouvant ses chemins… On lui racontait des histoires qu’il essayait de relier entre elles. Parfois des lueurs perçaient la nuit, puis s’éteignaient : des bribes de vérités qui s’effritaient dans le vent. Il tirait sur le fil fragile des jours passés, espérant qu’il ne casserait pas. Il tentait de donner à sa vie l’allure d’une histoire, quelque chose qu’on pourrait raconter, une espèce de roman… Heureusement, il y avait Les Clairières ! RD
Durée:6h. 22min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:36259
Résumé: Quand le soleil descend doucement sur une des plus belles régions du monde, lui prêtant quelque chose de la somptuosité des forêts tropicales, l’homme en veste de pyjama tente de se souvenir. Il se demande entre autre pourquoi la ?lle au regard de feu, quand l’orage menaçait de s’abattre sur eux, ne cessait de lui parler de l’artiste germano-suisse Meret Oppenheim. Il semblerait que tout ça, l’homme en veste de pyjama l’ait raconté à son ami, un sculpteur qui vend ses œuvres par-delà les frontières.
Lu par:Serge Cantero
Durée:9h. 18min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:35733
Résumé: En vacances sur la côte pacifique du Mexique, correspondances stellaire ou simple hasard, Gaston Recréé retrouve une ancienne connaissance. Karl est un ancien junky rencontré en Allemagne de l’Est à l’époque où le Mur séparait tant physiquement que symboliquement le monde en deux. Ce dernier s’est établi dans un hameau de Cabañas avec des comparses plus insolites les uns que les autres. Cette rencontre improbable remue les souvenirs de Gaston, mêlé il y a quelques années à la fin tragique d’une communauté utopique s’étant constituée autour du professeur Hermann Waldherr et de ses expérimentations aux tréfonds de la forêt de Bavière. En sept jours, les vacances de Gaston s’animeront à la suite des récits étranges des voisins de Karl, tous à la croisée des mondes et des époques, entre chamanismes, ésotérismes occidentaux et les violences marquantes du XXème siècle. Au carrefour entre Le Pendule de Foucault d’Umberto Ecco, Les balades et les songeries du héros fétiche d’Hugo Pratt ainsi que L’Herbe du diable de Carlos Castaneda, Le Dit des Egarés est un roman érudit et d’initiation sensorielle avant tout ; il ouvre des portes, ne les referme pas toujours, et mène le lecteur dans les histoires d’un monde qui se construit comme un inlassable palimpseste.
Durée:5h. 54min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:35334
Résumé: Jérôme est guitariste de rock et jeune journaliste culturel, un peu à la dérive. Lors d'un séjour à la montagne, il fait la connaissance d'un vieux bluesman qui a été son idole. Cette rencontre le lance dans une recherche fantasmatique, puis réelle, de son père, qu'il n'a pas connu. Enquêtant sur la jeunesse de sa mère, une groupie écolo et vagabonde devenue artisane, il découvre les années 70, leurs valeurs alternatives, leurs luttes politiques, leur musique, leur art, leur contestation, leur paranoïa, leur spiritualité. Dans cette entreprise, il se retrouve entre deux femmes, Carole qui fait partie d'une secte et Gloria, une actrice innocente et perverse. Conclusion ? Les réponses sont en ceux qui les cherchent. Encore faut-il les voir. Peut-être concernent-elles toujours l'acceptation de soi et l'adhésion au monde. Plus ou moins.