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La terreur féministe: petit éloge du féminisme extrémiste

Résumé
"Le féminisme n'a jamais tué personne." Cette phrase est brandie depuis des décennies par le discours féministe majoritaire. Comme si les féministes cherchaient à rassurer un patriarcat pétri d'angoisse, ou à appuyer l'idée - déjà bien répandue - qu'une femme ne peut pas faire peur, qu'une femme ne peut pas être dangereuse. Mais est-il vrai que le féminisme n'a jamais tué personne ? Elles s'appellent Maria, Noura, Judith, Diana, Christabel. Elles ont fait usage de la violence contre le patriarcat. Elles ont touché au grand tabou. Pour nourrir une réflexion sur la place de la violence dans la lutte contre le patriarcat, Irene nous raconte l'histoire de ces femmes violentes.
Durée: 1h. 42min.
Édition: Paris, Editions Divergences, 2021
Numéro du livre: 70820
ISBN: 9791097088385
CDU: 301

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Durée:6h. 24min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:15326
Résumé: On a longtemps pris la parole de l'homme pour la vérité universelle et la plus haute expression de l'intelligence, comme l'organe viril constituait la plus noble expression de la sexualité. Il faut que les femmes crient aujourd'hui.- Et que les autres femmes - et les hommes - aient envie d'entendre ce cri. Qui n'est pas un cri de haine, à peine un cri de colère, car alors il devrait se retourner contre elles-mêmes. Mais un cri de vie. Il faut enfin guérir d'être femme. Non pas d'être née femme mais d'avoir été élevée femme dans un univers d'hommes, d'avoir vécu chaque étape et chaque acte de notre vie avec les yeux des hommes et les critères des hommes. Et ce n'est pas en continuant à écouter ce qu'ils disent, eux, en notre nom ou pour notre bien, que nous pourrons guérir. B. G.
Durée:6h. 3min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:70892
Résumé: Les femmes ont une histoire, une histoire de luttes pour leurs droits, conquis, arrachés, défendus, une histoire de colère contre les discriminations, les inégalités, une "Rage against the machisme". L'historienne Mathilde Larrère retrace les combats féministes de la Révolution française jusqu'au mouvement #MeToo d'aujourd'hui, sur les pas de Louise Michel, de Gisèle Halimi, mais aussi de tant d'autres invisibilisées, comme Pauline Léon, Malika El Fassi, les colleuses contre les féminicides... A l'histoire, le livre mêle des récits, des documents d'époque, des chansons et des slogans, reflétant l'ardeur et la détermination de celles qui n'acceptent pas l'inégalité des sexes, montrant combien elles se tiennent la main au-delà des siècles. Luttes pour l'égalité, pour les droits de voter, s'instruire, se défendre, gouverner leurs propres corps, mais aussi pour l'émancipation des femmes des colonies : autant de domaines où la liberté des femmes a été bafouée, autant de droits à conquérir et à défendre, encore, aujourd'hui et demain.
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Durée:12h. 27min.
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Résumé: Après l'affaire Verplanck, le sergent Lloyd Hopkins du LAPD voit sa carrière mise à l'arrêt. Sa femme a demandé le divorce et il ne voit plus ses filles. Peltz l'envoie enquêter discrètement sur la disparition d'un autre policier, Jack Herzog. Ses investigations le poussent à faire le lien avec le braquage d'un magasin d'alcools au cours duquel trois personnes ont été assassinées.
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Durée:3h. 16min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: "Jeff, vendeur de voitures d'occasion, marié à Janet, père de Bea, Elvis, et Anne, est enlevé par un psychopathe qui le séquestre et le torture durant plusieurs semaines avant d'être pris in extremis. Quelques années plus tard Elvis travaille pour l'armée américaine et vit dans une cave, Anne est à l'asile, Bea est mariée à un prédicateur passablement dérangé, et Jeff vit au sommet d'un terril en interdisant à quiconque d'approcher. Cette « famille modèle » se réunit pour les obsèques de Janet morte en Inde après avoir fui bien des années auparavant mari et enfants. A partir de là et de nouveau : folie pure, déchaînement des pulsions, et recherche désespérée de la petit maison dans la prairie...Tableau apocalyptique mais réjouissant d'une société moribonde et d'une construction familiale pathologique" (Source : Editeur)