Le garçon qui voyait avec ses doigts
Résumé
Camille est aveugle de naissance. Il n'en est pas moins un enfant comme les autres, avec des idées folles, parfois. Ses parents s'inquiètent pour son avenir, mais Camille est confiant ; il pour projet de devenir le président de la République !
Lu par :
Madiana Roy
Genre littéraire:
Roman : au sens large et aventures
Durée:
1h. 46min.
Édition:
Genève (Suisse), Joie de lire, 2021
Numéro du livre:
70181
Produit par:
Bibliothèque Sonore Romande
ISBN:
9782889085392
Collection(s):
Hibouk
Documents similaires
Lu par : Marie-Christine Chandioux
Durée : 6min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 72842
Résumé:Chez les Bamilékés, vit une petite fille aveugle qui se trouve mise à l'écart de la tribu. Un soir, alors que les enfants jouent loin du village, un violent orage éclate. Les enfants ne parviennent pas à retrouver leur chemin, mais la nouvelle amie de Zékéyé parviendra à les diriger dans le noir et à les ramener sains et saufs au village.
Lu par : Marylène Veillon
Durée : 3h. 48min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 75302
Résumé:La narratrice qui, de naissance, ne voit que d'un oeil, est frappée de cécité à la suite d'un brutal décollement de rétine. Elle fait le récit de son combat quotidien face à cette épreuve radicale, tout en évoquant des moments de son passé. Histoire inspirée de la vie de l'auteure.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 9h. 56min.
Genre littéraire : Littérature fantastique
Numéro du livre : 69095
Résumé:Antan a tout l'air de n'être qu'un paisible village polonais. L'existence y est ponctuée par le temps : le temps d'aimer, de souffrir puis de mourir. Antan est situé au centre de l'univers - coeur du monde, coeur des hommes, coeur de l'histoire. Mais qui préside à son destin ? Dieu, qui du haut des cieux lui envoie les maux et les bonheurs dévolus aux humains, ou le châtelain Popielski, envoûté par le Jeu du labyrinthe que lui a offert le rabbin et qui, d'un coup de dés, renverse peut-être l'ordre des choses ? Un homme se transforme en bête, les âmes des morts errent dans le bourg jusqu'à se croire vivantes, des animaux parlent à une vieille folle... Au cours ordinaire de la vie se substitue brutalement la guerre avec son cortège d'événements diaboliques. Un conte ponctué de purs moments d'émotion, de fragiles instants de vérité saisis au vol par une plume d'une fraîcheur et d'une originalité peu communes [L'auteur est Prixi Nobel de littérature]
Lu par : Thérèse Proust
Durée : 9h. 17min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 30025
Résumé:Guedalia Berman, un riche marchand de diamants, quitte Anvers avec sa famille pendant la Seconde Guerre mondiale pour échapper aux persécutions contre les Juifs. Ils gagnent Londres où ils commencent une nouvelle vie, malgré l'insolence de David, le fils aîné, qui ne cesse de remettre en cause l'autorité paternelle.
Lu par : Josselyne Daul
Durée : 5h. 18min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 21575
Résumé:Il m'a été donné de faire l'expérience personnelle des " idéologies du mal ". C'est une chose qui ne peut s'effacer de ma mémoire. Ce fut tout d'abord le nazisme. Ce que l'on pouvait voir en ces années-là était quelque chose de terrible. A ce moment, pourtant, beaucoup d'aspects du nazisme demeuraient encore cachés. La véritable dimension du mal qui se déchaînait en Europe ne fut pas perçue de tous, ni même de ceux d'entre nous qui étaient au centre de ce tourbillon. Nous vivions plongés dans une grande éruption de mal et ce n'est que peu à peu que nous avons commencé à nous rendre compte de sa réelle importance [...]. Plus tard, en réalité une fois la guerre finie, je pensais en moi-même : " Le Seigneur Dieu a accordé douze années d'existence au nazisme et après douze années, ce système s'est écroulé [...]. Si le communisme a survécu plus longtemps et devant lui une perspective de développement c'est qu'il doit y avoir un sens à tout cela. " Jean-Paul II. Dans cet ouvrage d'une ampleur : exceptionnelle, Jean-Paul II nous lire les fruits d'une vie de méditation politique et spirituelle sur le monde. Pourquoi le mal existe-t-il ? Comment l'homme doit-il exercer sa liberté ? Quels dangers guettent nos démocraties ? Relecture de l'histoire, retour sur le parcours d'un homme hors du commun, ce livre sera pour tous, croyants et non-croyants, une magistrale leçon de sagesse.
Lu par : Jean-Claude Durak
Durée : 5h. 41min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 21941
Résumé:Iran, 1980 : les révolutionnaires ont pris le pouvoir. Dans un hôtel de Téhéran, Ryszard Kapuscinski essaie, à partir de notes, de bandes magnétiques, de photos, de comprendre ce qui a provoqué la chute du Shah. Quelles sont les origines du mouvement shi'ite ? Comment Khomeiny a-t-il réussi à s'imposer ? En disséquant le processus de cette révolution, l'auteur nous dévoile les forces qui maintiennent un pouvoir, et les forces qui le minent. A partir de l'exemple iranien, R. Kapuscinski nous offre une réflexion vivante et pénétrante sur les mécanismes de l'Histoire et du Pouvoir.
Lu par : Martin Lebrin
Durée : 9h. 24min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 23072
Résumé:Varsovie, 1943, l'année terrible. Tourne l'Histoire, et ses folles atrocités. Et tournent les destins croisés de personnes liées par une chaîne mystérieuse. Irma Seidenman a la chance d'avoir des cheveux blonds, des yeux bleus, et de vrais faux-papiers d'état civil... D'autres ne peuvent pas en dire autant. Trente ans plus tard, que sont-ils devenus ?
Lu par : Christian Plantureux
Durée : 3h. 13min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 23020
Résumé:Prendre le bon Dieu de vitesse est un livre dérangeant aussi bien par sa forme que par son sujet. Il s'agit d'un texte authentiquement littéraire, mais qui conserve les traces de ce qui fut son point de départ : un dialogue entre Hanna Krall et Marek Edelman, le seul survivant parmi les cinq commandants de l'insurrection du ghetto de Varsovie. Hanna Krall ne cherche pas à saisir le fait historique dans sa globalité, mais s'interroge sur la manière dont Marek Edelman a vécu l'insurrection. Cet ouvrage pose la question insoluble du choix des vies à sauver, de ce qu'est la valeur d'une vie, et engage la réflexion sur le sens de cette résistance armée vouée à l'échec. Les faits sont rapportés dans leur expression la plus brute, et Hanna Krall prend le risque de choquer dans sa volonté de traquer au plus près la vérité humaine de cette insurrection, tout en la reliant à des questions intemporelles d'ordre éthique. Elle éclaire ainsi d'une perspective nouvelle un des épisodes les plus marquants de la Shoah et de la Seconde Guerre mondiale.
Lu par : Serge Cantero
Durée : 7h. 31min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20736
Résumé:« Encore une remarque, même si elle me fait soupçonner de mégalomanie. Et si La pornographie était une tentative pour renouveler l'érotisme polonais ?... Une tentative pour retrouver un érotisme qui correspondrait davantage à notre sort et à notre histoire récente - faite de viols, d'esclavage, de luttes de chiots -, une descente vers les obscurs confins de la conscience et du corps ? Je suis de plus en plus porté à présenter les thèmes qui me paraissent les plus complexes sous une forme simple, naïve même. La pornographie est écrite un peu à la manière d'un "roman de province" polonais ; c'est comme si je véhiculais sur un char à banc vieillot du venin "dernier cri" (cri de douleur, pas à la mode, cela va de soi). Ai-je raison de penser que plus la littérature est téméraire et d'un accès difficile, plus elle devrait retourner vers des formes anciennes, faciles, auxquelles les lecteurs se sont habitués ? » Witold Gombrowicz (1962).
Lu par : Marie Meylan
Durée : 17h. 37min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20943
Résumé:« Un jour, les Allemands étaient venus en Pologne sans y être priés et pendant six ans on n'avait pu s'en débarrasser ; aujourd'hui on priait pour qu'ils reviennent, ne serait-ce que quelques heures, le temps de prendre Kasia, Madzia ou Bozena pour épouse. » Au Mont-de-Sable, un quartier de la banlieue de Walbrzych, ce sont les femmes qui décident de tout. Au début des années 1970, la jeune Jadzia quitte la campagne pour commencer une vie meilleure à l'ouest du pays ; à son arrivée dans cette ville industrielle, elle tombe dans l'escalier et dans les bras de Stefan Chmura, qui deviendra son mari. Tous deux s'installent au Mont-de-Sable, une cité de béton flambant neuve, et donnent naissance à une fille, Dominika. Le roman raconte la vie de ces trois personnages, ainsi que celle des deux grands-mères, Halina et Zofia. C'est à la fois une saga familiale et un panorama de l'histoire sociale de la République populaire de Pologne que propose Joanna Bator : la narratrice suit les désirs, les peurs et les regrets de ces trois générations de femmes, avec humour, moquerie ou tendresse. Alors que leur vision du bonheur ne cesse de se heurter à la réalité quotidienne, les habitants du Mont-de-Sable lorgnent de plus en plus vers la RFA et ses merveilles, qui vont des bouteilles de shampoing d'un litre aux voitures gris métallisé. Dominika, toutefois, a d'autres projets pour son avenir qu'un mari vivant dans une obscure ville allemande...
Lu par : Serge Vulliens
Durée : 14h. 26min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16515
Résumé:Le roman de Gombrowicz se déroule dans une Pologne à la fois contemporaine où l'on suit des joueurs de tennis, un millionnaire agonisant, une jeunesse aristocrate désoeuvrée qui se promène en décapotable - et une Pologne reculée où les relents de féodalisme s'échappent encore des marais bordant le château de Myslotch, ténébreux ombilic à l'oeuvre.
Lu par : Jean Frey
Durée : 8h. 50min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15887
Résumé:" Trébuchant dans la paille et dans les détritus, je continuais à errer de wagon en wagon. Les portes ouvertes des compartiments oscillaient sans arrêt. Pas un seul voyageur. Enfin, je rencontrai un contrôleur dans son uniforme noir. Il s'enroulait un gros foulard autour du cou et emballait ses affaires, sa lanterne, son registre. "On arrive, monsieur !" dit-il après m'avoir regardé de ses yeux complètement décolorés. Le train ralentit peu à peu sans faire de bruit, comme si la vie le quittait lentement avec le dernier souffle de vapeur. Il s'arrêta ; l'endroit était vide et silencieux, sans le moindre édifice. En descendant, l'employé m'indiqua la direction du Sanatorium. " Publiés trois ans après Les boutiques de cannelle, les récits du Sanatorium au croque-mort convoquent à nouveau, dans une ambiance de sourde étrangeté, la figure emblématique du père, le thème obsessionnel des mannequins, le contraste, si spécifique à Bruno Schulz, entre beauté et pacotille.