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Les couilles sur la table

Résumé
Qu'est-ce que ça veut dire d'être un homme, en France, au XXIe siècle ? Qu'est-ce que ça implique ? Pour dépasser les querelles d'opinion et ne pas laisser la réponse aux masculinistes qui prétendent que "le masculin est en crise", Victoire Tuaillon s'est emparée frontalement de la question, en s'appuyant sur les travaux les plus récents de chercheuses et de chercheurs en sciences sociales Ensemble, au fil des épisodes de son podcast au titre percutant, elles et ils ont interrogé la masculinité et ses effets pourquoi, dans une immense majorité des cas, les harceleurs, les violeurs, les casseurs, sont-ils des hommes ? Pourquoi les petits garçons disent- ils tous que "l'amour c'est nul" ou encore que "l'amour c'est pour les filles" ? Comment la domination masculine affecte-t-elle aussi les hommes ? Réunissant les réponses à ces questions et à bien d'autres, ce livre démontre sans dogmatisme que la masculinité n'a rien de naturel, que c'est une construction sociale et qu'il faut la remettre en question si on veut atteindre une véritable égalité entre les femmes et les hommes. Un livre destiné à toutes celles et ceux qui se posent des questions sur eux-mêmes. Et à celles et ceux qui ne s'en posent pas encore.
Lu par : Audrey
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 7h. 2min.
Édition: Paris, Binge audio éditions, 2019
Numéro du livre: 68189
ISBN: 9782491260002
CDU: 301

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Durée : 1h. 38min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Lu par : Anik Friederich
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:Quatrième de couv. : "Le siège est le meuble humain par excellence", décrète l'auteur, pour avoir un jour regardé d'un oeil neuf une pile de tabourets. A mi-chemin entre l'horizontalité et la verticalité, il explore les multiples dimensions de ces meubles qui contribuent à dresser les écoliers, finissent sur les tables à l'heure où ferment les bistrots et tiennent le devant de la scène chez Ionesco. Du trône célèste aux sanisettes parisiennes, de la chaise haute du bébé au Louis XVIII du centenaire, l'auteur nous promène à travers le temps, l'histoire, les symboles de la vie quotidienne. Ponctué de remarques et de souvenirs personnels, cet essai se lit comme le plus captivant des récits ; il s'empare de nous et nous emmène, dans un fauteuil à travers un véritable état de sièges. Jean-Bernard Vuillème, écrivain et journaliste, vit à la Chaux-de-Fonds. Il s'est fait connaître par des romans, des nouvelles et des écrits pleins d'ironie et proches de l'ethnologie sur la société d'aujourd'hui.
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Résumé:Isabelle Cornaz a vécu longuement à Moscou où elle a travaillé en qualité de journaliste. Se remémorant les détails de sa vie moscovite, elle dresse, dans La nuit au pas, un portrait ambivalent de la ville. S'y dévoile le corps de Moscou, ses cours intérieurs, ses lieux invisibles et les marques de sa gentrification. Le récit s'éloigne ponctuellement de la capitale depuis la proche banlieue jusqu'au cercle polaire, en survolant les villes secrètes de Russie. Entre le songe des souvenirs et la réalité de la guerre qui traverse le récit comme des déflagrations, on avance au pas dans ce paysage désormais inaccessible à l'auteure. "J'ai commencé ce texte en me questionnant sur mon rapport à la ville, sur le désir et la difficulté de la saisir, d'en décrire les pulsions et les motifs - et je l'ai terminé avec le sentiment d'un territoire sombrant, s'autodétruisant au point de se dissoudre". La nuit au pas est un récit sur notre rapport à l'espace, à la mémoire et à la disparition.
Lu par : Lamnot*
Durée : 25min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 20159
Résumé:Fin 1897. L'affaire Dreyfus déchire la France. S'opposent avec violence les défenseurs de la révision du procès et les ligues patriotes ou antisémites. C'est dans ce contexte que Zola écrit sa Lettre à la France - « aux petits, aux humbles, à ceux qu'on empoisonne et qu'on fait délirer » - et sa Lettre à la jeunesse - à l'occasion de l'agression d'un grand dreyfusard par les ligueurs étudiants. « Des jeunes gens antisémites, ça existe donc, cela ? s'interroge Zola. Il y a donc des cerveaux neufs, des âmes neuves que cet imbécile poison a déjà déséquilibrés ? Quelle tristesse, quelle inquiétude, pour le XXe siècle qui va s'ouvrir ! » (litteratureaudio.com)
Lu par : Suzanne Bettens
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Résumé:L'homme occidental passe plus de temps en voiture que dans le lit des dames. Fort de cette constatation et de cette expérience, j'ai décidé d'explorer la place qu'a prise l'automobile dans nos plaisirs, notre travail, nos glorioles, nos pulsions secrètes, nos rêves. Il m'est arrivé, jadis et naguère, d'analyser la présence des animaux familiers dans ma vie, c'était Lettre à mon chien, ou mes propres souvenirs et colères, dans Un petit bourgeois et Le Musée de l'homme. Ce livre-ci n'est pas de nature si différente, qui passe en revue, aussi gaiement que possible, les divers aspects d'un asservissement adorable. Asservissement ? Nul, ou presque, n'y échappe. Tout humain est, a été ou sera bagnolard. (Ne s'agit-il pas aussi d'une espèce (le bagne ?...) Je n'ai rien exclu des flâneries de ce livre. Ni les dream cars, ni la Deuche, ni les malotrus de la vitesse, ni les maniaques de la nénette, ni les drogues de l'accessoire. La boîte automatique, la fameuse manoeuvre pointe-talon (que je confesse n'avoir jamais comprise ni pratiquée...), la suspension molle, le citroënisme, la symbolique virile du levier de vitesse, le vroum-vroum et la conduite coulée, l'auto-strada et l'Autobhan, c'est tout l'univers fantasmatique de l'automobile qu'Autos Graphie évoque - sans oublier, ici et là, l'amour, l'âge et la mort, qu'on ne saurait éloigner longtemps d'un tel sujet, parût-il frivole. Peut-on se réclamer à la fois de Paul Morand et de Roland Barthes, de L'Homme pressé et des Mythologies ? Je le crois, et j'espère prouver ici que la pratique opiniâtre et voluptueuse de la conduite automobile peut tenir lieu de sensualité, de psychanalyse et de recherche du temps perdu.
Lu par : Bertrand Baumann
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17795
Résumé:... Petit bijou longtemps oublié au fond de la malle à trésors de Robert Louis Stevenson. On y retrouve le vieil adage selon lequel la paresse serait le commencement de la sagesse, avec tout le charme et la liberté d'esprit du père de L'Ile au trésor. Voici une fantaisiste invitation à la rêverie, à l'indépendance d'esprit, assortie d'aphorismes, tel: «C'est chose amère que d'avoir peiné à gravir des pentes ardues, pour découvrir en définitive que l'humanité est indifférente à votre réussite.»
Durée : 10h. 4min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17789
Résumé:De même que l'artiste ne crée pas de façon continue, mais lors de rares moments d'inspiration, l'Histoire, selon Zweig, procède par bonds: une succession de faits banals est interrompue de loin en loin par des événements clés. Ce sont ces moments " d'une grande concentration dramatique, porteurs de destin, où une décision capitale se condense en un seul jour, une seule heure et souvent une seule minute°", que Zweig a voulu illustrer à travers ces douze récits. Il y narre, et commente à sa manière, des événements aussi divers que la prise de Byzance, la quête de l'Eldorado, la bataille de Waterloo, l'expédition du capitaine Scott au pôle Sud, la pose de la première ligne télégraphique sous l'océan Atlantique, les derniers mois de la vie de Haendel et la genèse du Messie, ou la composition de La Marseillaise par Rouget de Lisle. En 1939 avait paru, sous le titre Les Heures étoilées de l'humanité, une première édition du recueil de Stefan Zweig. Aux neuf textes traduits à l'époque viennent aujourd'hui s'ajouter trois textes inédits en français, ainsi que la préface originale de l'auteur. Les Très Riches Heures de l'humanité constituent la première édition française intégrale de Sternstunden der Menschheit
Lu par : Pierre Biner
Durée : 2h. 8min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17288
Résumé:" Laissez-vous aller, allongez-vous, ne résistez pas à l'appel de la sieste, à ce plongeon voluptueux dans le sommeil diurne ! Dormez, rêvez, rompez les amarres avec la rive du quotidien chronométré ! Décidez de votre temps, siestez ! " Ce n'est pas un ordre, mais un conseil pour résister à la dictature du temps contraint, pour disposer enfin, selon ses désirs, de ce bien si précieux : le temps. Ce court essai de Thierry Paquot est un plaidoyer pour une maîtrise de l'emploi du temps de chacun par chacun, pour la reconnaissance d'un temps pour rien, mais un rien d'une valeur inestimable : la sieste.
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 67339
Résumé:Le jeu est simple. Demandez à un traducteur automatique de traduire en cinquante langues différentes la première page de la Recherche du temps perdu. Cela fait, demandez-lui de rétablir la version française. Résultat : "Longtemps, je me suis couché de bonne heure" devient "Pendant longtemps, je me suis couché le matin" ou encore "Il y a longtemps, j'ai dormi dans mon lit". Cette écriture post-dadaïste vous fera rire. Elle peut aussi vous plonger dans une méditation inquiète sur l'intelligence artificielle et ses outils numériques qui envahissent notre quotidien, transformant peu à peu notre langue.
Durée : 5h. 35min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 15086
Résumé:Présentation de l'éditeur : Célébrer le sommeil en une époque qui se veut efficace et vigilante est une entreprise inattendue. Jusqu'ici, cet empire de beauté et d'amour est demeuré peu exploré sauf des ours, des sages taoïstes et des amants courtois. Tout homme qui dort profondément se sent entier, heureux, presque dieu. En témoignent Endymion, la Belle au bois dormant, Ulysse et le roi Arthur, Booz et Jessé, les sept jeunes gens d'Ephèse, les Gisants médiévaux, le Bouddha couché. Mais aussi des artistes, des écrivains singuliers tels que Novalis et Kierkegaard, Courbet et Bergson, Giono et Pessoa... C'est un livre passionné et caressant, rêveur et véhément. Comment pourrait-il en être autrement puisque, loin d'être un repos, un état indifférent, une demi-mort, le sommeil se révèle lieu de l'excès et de l'insondable ?