Turbulences: récit
Résumé
La perte de la mère et le pouvoir salvateur de l'écriture.
Lu par :
Colette Audeoud
Genre littéraire:
Roman : au sens large et aventures
Durée:
5h. 44min.
Édition:
Lausanne, L'Age d'Homme, 1986
Numéro du livre:
4325
Produit par:
Bibliothèque Sonore Romande
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Durée : 4h. 1min.
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Numéro du livre : 20257
Résumé:« Je ne suis parti que depuis ce matin et pourtant, j'ai déjà le mal du pays. Mon pays s'appelle Morgane. Morgane, ma fille, ce pays sans frontières, au coeur de ma surprise. Ce pays déréglé, détraqué, défectueux. Ce pays sans emblème, aussi déboussolant qu'attachant. Ce pays qui me rend fou. Ce pays qui me dépayse éperdument. » Un père qui lutte de toutes ses forces pour empêcher l'internement de sa fille handicapée dans un hôpital psychiatrique de Genève prend la route des Balkans avec un ancien délégué de la Croix-Rouge qui,vingt ans auparavant, a tenté en vain de sauver des patients de l'hôpital de Vukovar pendant la guerre d'ex-Yougoslavie.
Lu par : Claude Fissé
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Tiré du site Internet d'Art & fiction: "Sans titre est un roman, ou plus exactement un récit dans le genre des témoignages dont regorge l'édition contemporaine, du type "ma vie est passionnante" ou "toute la vérité´ sur ce que j'ai vécu" ... Ce sont les souvenirs d'une œuvre d'art, un des chefs-d'œuvre du XXIe siècle. En se découvrant soudainement un don de parole, cet objet, exposé dans l'immense musée du Nouveau Louvre, décide de raconter son histoire à un visiteur, pour corriger les versions officielles qui lui semblent trop éloignées de la réalité. C'est le premier roman d'Hubert Renard, plus habitueé à faire des images qu'à écrire de la littérature. Il tente de décrire la fabrique de l'art, mais surtout d'inventer, à travers la naïveté d'une voix imaginaire, une façon de raconter, de mettre en image les rouages du système culturel, tout en s'éloignant des analyses structurelles qui ont déjà été faites. Il s'agit ici de chercher, à travers la voix fictive d'une œuvre, où se cache le mystère de l'art. Difficile de déterminer - mais est-ce important ? - si ce livre est à ranger du côté de la littérature ou du côté des arts plastiques ... Né en 1965 à Lyon, Hubert Renard vit et travaille à Paris. Il construit sa propre et possible carrière d'artiste, en accumulant une documentation constituée de catalogues d'exposition, d'articles de presse et de monographies."
Lu par : Jean Frey
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Genre littéraire : Biographie/témoignage
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Résumé:En janvier 1997, Marie-Thérèse Heimo appelle «La ligne de cœur». Sur les ondes de «La Première», elle se livre. Elle évoque sa vie tumultueuse. Roselyne Fayard, alors animatrice de l'émission, pense qu'il pourrait se trouver quelqu'un à l'écoute disposé à recueillir son témoignage. Quelques jours plus tard, une auditrice lausannoise, Michèle Raball-Ceresole, propose à «Marité» de l'aider à transcrire ses souvenirs. Pour que ça se sache... " Il arrivait qu'à table mon père me manifestât subitement une haine à laquelle je ne m'attendais pas et que je ne comprendrai jamais. Il me crachait à la figure en criant: «J'aime mieux les cochons! Ils me rapportent plus!». Ou alors: «Sors de table, va dehors!». Je m'en allais alors, si triste et malheureuse. "
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 2h. 49min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19356
Résumé:A l'exemple de Gorki, faut-il avoir subi toutes les misères et senti toutes les beautés du monde, pour oser s'attaquer aux souvenirs de l'enfance, exhumés de la mémoire avec la fulgurance de l'éclair ? Mémoires séquentielles qui expliquent l'amour de la liberté et de la justice mais aussi la violence, la tendresse, la rébellion que pimentent et adoucissent tout à la fois l'humour et la satire de soi-même. « "Ce sont les hommes qui amènent leurs fils à l'école le premier jour " : d'un geste inhabituel, mon père m'empoigne la main qu'il serre très fort à me faire mal. Je le regarde mais lui ne me voit pas. On dirait qu'il a hâte d'arriver ; j'ai de la peine à le suivre. Mon sac d'école ballotte dans mon dos ; on entend qu'il n'y a pas grand-chose dedans : une règle, une plume à bec, une boîte de crayons de couleur Caran d'Ache. Jeudi dernier, je suis allé avec ma mère aux Galeries Vaudoises. Le sac, c'est moi qui l'ai choisi : il est rouge avec des lanières blanches, aux couleurs de la Suisse. »
Lu par : Marie-Françoise Piot
Durée : 4h. 14min.
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Résumé:Après la belle enquête sur la mort de son père au Liban, sur le fil entre fiction et reportage, Marie Gaulis nous livre un nouveau texte au statut troublant. Rêverie, méditation, réflexion ou fiction, il s'agit en tout cas de l'exposé d'une tristesse anthropologique, du constat d'un paradis perdu, du rêve d'un état encore sauvage. Rousseau n'est pas loin, mais la narratrice est bien une femme du XXIe siècle, lucide, curieuse et joueuse, vivant dans le monde hybride d'aujourd'hui. A travers marches, rencontres et lectures, elle évoque les Aborigènes d'Australie, ces Naturels dont le mode de vie millénaire a basculé au moment de leur rencontre.