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Entrées libres

Résumé
Ce recueil rassemble pour la première fois trois nouvelles publiées sous les couleurs des Éditions du Rocher, l'éditeur qui a découvert Philippe Delerm et l'a accompagné pendant les quinze premières années de sa vie littéraire. Les deux premières ont pour cadre le Tarn et Garonne, où il a toutes ses racines. La troisième, Panier de fruits, est une satire de la notoriété d'autant plus savoureuse qu'elle a été rédigée bien avant la publication de La première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules.
Genre littéraire: Nouvelle
Durée: 2h. 1min.
Édition: Monaco, Rocher, 2018
Numéro du livre: 38228
ISBN: 9782268099262

Documents similaires

Lu par:Jane Savigny
Durée:3h. 40min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:8998
Résumé: On dit que la vie n'est pas simple et que le bonheur est rare. Pour Philippe Delerm, il tient en trente-quatre "plaisirs minuscules". Il évoque ici tour à tour, sous forme de petites séquences, la satisfaction immense qu'il tire tantôt de petits gestes insignifiants, tantôt d'une bienheureuse absence de gestes. Toutes les saisons sont évoquées dans ce petit ouvrage délicieux qui s'apparente presque à un manuel du bonheur à l'usage des gens trop pressés. Les plaisirs de la table y ont une place privilégiée et, tout comme les plaisirs d'un autre ordre, font ressurgir avec humour et nostalgie l'univers de l'enfance, chez le narrateur comme chez le lecteur, rendus complices par la merveilleuse banalité des situations décrites. Grâce à ce traité de vie simple, Delerm nous rappelle que prendre le temps, socialement ou à part soi, n'est pas une perte de temps. Certaines séquences sont toutefois ambiguës, comme celle sur Le Dimanche soir. S'ouvrant sur la description d'une joie, elles s'achèvent avec gravité sur une sensation douloureuse, comme pour nous rappeler que le bonheur, s'il n'est pas rare, est tout de même précieux.
Durée:45min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:11556
Résumé: " Les premières fois, Monsieur Spitzweg s'est contenté d'un petit quart d'heure de footing - juste le temps que les poumons lui brûlent. [...] Deux cent cinquante mètres de tour, c'était bien assez pour un effort mal réparti qui ne lui procura d'abord aucun plaisir. Mais, au bout de quelques semaines, il apprit à reculer un premier seuil de fatigue, puis se surprit compter le nombre de tours, à les convertir en mètres. Douze tours en quinze minutes, oui cela faisait bien du douze kilomètres à l'heure - rien d'affolant, mais déjà une allure moins dérisoire. Le virus était pris. Arnold Spitzweg avait entrepris son combat contre le temps. " Dans cette nouvelle inédite, Philippe Delerm retrouve le personnage qui était déjà au cœur d' Il avait plu tout le dimanche.
Durée:1h. 47min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:13730
Résumé: Il y a eu "La première gorgée de bière", "La sieste assassinée", "Enregistrements pirates", et il y a aujourd'hui "Dickens, barbe à papa (et autres nourritures délectables)" ! Le dernier né ! Le cru 2005 ! Toujours dans ce livre il est question de petits textes, d'instantanés de l'existence, centrés essentiellement autour des plaisirs de la nourriture, des sensations du boire, du manger et du plaisir des livres ! Où l'on retrouve avec délice la nostalgie des barres chocolatés Milka, les pots de yaourt en verre, la barbe à papa, l'omelette aux champignons, la purée, les bonbons du passé, ceux qu'a ressuscité Renaud dans sa chanson "Mistral gagnant"... (amazon.fr)
Durée:1h. 44min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:14697
Résumé: ... Après la 'première gorgée de bière', Philippe Delerm se met au sport. Avec la même formule que l'ouvrage qui l'a fait connaître... le livre à picorer - il évoque ses souvenirs sportifs. Football, natation, tennis, athlétisme, tout y passe. Ces moments ancrés dans la mémoire collective ont tous pour point commun l'émotion qu'ils ont suscitée chez les spectateurs, émotion que l'auteur sait retracer comme il avait su le faire pour "les plaisirs minuscules". Mais c'est lorsqu'il passe de l'autre côté, celui du sportif, qu'il se révèle le plus intéressant. Chaque fois, il trouve l'humain dans ses exploits réalisés par des hommes et des femmes souvent perçus comme des robots, des machines préparées à la compétition, programmées pour la victoire. (www.evene.fr)
Lu par:Manon
Durée:1h. 23min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:30512
Résumé: Sans doute, ce nouveau recueil est-il particulièrement "solaire", invités que nous sommes à goûter au plaisir transgressif du mojito, à se faire surprendre par une averse, à tremper nos lèvres dans la perfection transparente de la pastèque... Mais chez Philippe Delerm, le soleil ne va jamais sans pluie, et le bonheur sans mélancolie. Grand lecteur de Jules Renard, l'auteur le cite en exergue : "Le vrai bonheur serait de se souvenir du présent". Ce présent qui ne cesse de s'échapper, bien sûr, et dont nous avons déjà la nostalgie alors même que nous le vivons. Voici quelques exemples de ces textes. "Tendre est la vie cruelle" : sur l'amour fragile de deux personnes qui, à près de 60 ans, ont plus de passé que d'avenir à vivre ensemble, mais qu'un baiser volé va rappeler à leur adolescence. "On ne peut pas être plus près, plus chauds, plus confondus. Et pourtant c'est le fragile qu'on sent." Le bonheur de "Danser sans savoir danser" : on n'a jamais été de ceux qui fréquentent les boîtes de nuit. On admirait ceux qui, sur les pistes de danse, évoluaient si facilement. Mais un jour, à un mariage, "on choisit de danser. Danser, c'est un grand mot. On bouge comme un ours. Mais ce n'est pas grave. On a passé l'âge des susceptibilités. Chance, ça commence par un twist. On peut jouer son insuffisance au deuxième degré, en pliant les genoux, avec un mouvement de bras qui ne donne pas le change, mais semble se moquer de toute une époque - la nôtre." "Le mensonge de la pastèque" : "Elle est trop belle. Etrange. Est-ce qu'on la boit, est-ce qu'on la mange ? Elle est comme une fausse piste du désir. (...) La mangue et la goyave ont goût de mangue et de goyave. La pastèque n'a goût de rien et c'est donc elle qu'on désire en vain. Elle est la perfection de son mensonge (...) Elle n'est qu'un mirage de la chaleur et de l'été."
Durée:3h. 33min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:73102
Résumé: Un recueil de textes courts dédiés à New York, une ville dans laquelle l'auteur n'est jamais allé.
Durée:3h. 52min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:70585
Résumé: « Je n’ai pas l’impression d’avoir été enfant, adolescent, homme d’âge mur, puis vieux. Je suis à la fois enfant, adolescent, homme d’âge mûr, et vieux. C’est sans doute un peu idiot. Mais ça change tout. » Être riche, à chaque époque de notre existence, de tous les moments qu’on a vécus, qu’on vit, qu’on vivra encore : c’est cela, la vie en relief. Voir ses souvenirs et ses sensations non pas additionnés les uns aux autres, mais comme démultipliés, à l’infini. Vivre comme si c’était la première fois. Trouver de la beauté dans l’ordinaire des choses. Aimer vieillir, écouter le bruit du temps qui passe. Ce livre est un aboutissement : celui d’une carrière, celui d’une vie d’homme. Certainement un des plus grands livres de Philippe Delerm.
Durée:3h. 24min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:10772
Résumé: 'Je suis heureux. Est-ce que ça va durer ? Voilà le sujet de ce livre. Ce sera un thriller, le plus authentique du siècle. Je suis cerné de toutes parts, et jusqu'au fond de mon terrier. Sur chaque page va planer une menace de mort ou de cancer, d'accident de voiture, de mal de vivre, simplement. Mais je suis fort,j'ai plein de munitions, je vous en parlerai. Si la menace se précise, vous la vivrez au coeur de mon sang, de mon encre. Sij'en réchappe, nous partagerons le butin. Peut-être ...'
Durée:1h. 32min.
Genre littéraire:Contes et légendes
Numéro du livre:71093
Résumé: Savoureuse comme une tourte aux mûres tiède et un verre de bière rousse, confortable comme un fauteuil au coin du feu, mais aussi tiraillée de questions essentielles, la vie de Mister Mouse hésite entre l'âtre et le néant. Lui qui a tout pour être heureux dans le Buisson-aux-mûres où il niche avec Emily et leurs deux souriceaux, écrit pourtant, attend le facteur, guette fébrilement son reflet dans les glaces et accorde beaucoup d'importance aux jugements que portent sur lui les autres souris de Brambly Town. Mister Mouse rêverait-il d'autre chose ?
Durée:2h. 18min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:26883
Résumé: Publié pour la première fois en 1983, ce roman marque l'entrée en littérature de Philippe Delerm, et de son talent pour la peinture pudique des sentiments et des sensations fugaces. " Un jour tu t'es laissée glisser vers un ailleurs qui te guettait de sa force tranquille et blanche... Pour une raison inexpliquée la 2 CV... a quitté... et percuté... est décédée dans la soirée... Je n'ai pas lu dans un journal ces mots qui ont dû y figurer, qui sont si secs et rassurants pour parler d'une mort bien propre à effacer. Tu ne liras jamais ces pages que j'écris dans une école sage au vent mouillé d'automne. "
Durée:1h. 47min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:18029
Résumé: Monsieur Spitzweg vit à Paris depuis trente ans, employé à la poste, il vit seul. Il aime Paris et surtout son quartier, il aime lire les premières pages des romans de Maigret, l'ambiance du marché de St Ouen, dépouiller les artichauts de leurs feuilles. Il redoute les salles d'attente des médecins, il n'aime pas les vacances d'été qui vident son quartier de ses habitants...
Durée:1h. 41min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:67915
Résumé: Il y a les gestes qui disent l’embarras, d’autres la satisfaction de soi, certains encore le simple plaisir d’exister, là maintenant, sur cette terre. Mais tous nous révèlent, dans nos gloires comme nos petitesses, nos amours comme nos détestations : le selfie, geste roi de nos vies modernes ; le « vapotage », qui relègue l’art de fumer à un plaisir furtif, presque honteux ; les hommes de pouvoir qui se grattent le dessous de leur chaussette ; cette façon qu’on a parfois de tourner le volant avec la paume de la main bien à plat ; un verre qu’on tient à la main sans le boire… À lire Philippe Delerm, on se dit souvent : « Mais oui, bien sûr, c’est exactement cela ! » Mais lui seul aura su décrire ces gestes du quotidien avec tant de finesse et de vérité – tant de profonde analyse de la nature humaine.