Chronique du Pied de la Côte: les riches heures de l'âge de la roue à cercle, récit poétique
Résumé
Ce livre réunit des textes inspirés par ce coin de pays que l'on appelle le Pied de la Côte, qui regroupe les quatre communes de Villars-Burquin, Vaugondry, Romairon et Fontanezier, aujourd'hui fusionnées sous le nom de Thévenon.
Lu par :
Jean Frey
Genre littéraire:
Essai/chronique/langage
Mots-clés:
Littérature suisse
/
Nouvelle
/
Roman TERROIR
Durée:
4h. 36min.
Édition:
Bercher, La Rebuse, 2017
Numéro du livre:
36754
Produit par:
Bibliothèque Sonore Romande
ISBN:
9782970032144
Documents similaires
Lu par : Jean Frey
Durée : 4h. 34min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 16079
Résumé:... Son attachement au Valais apparaît dans son livre le plus populaire, Portrait des Valaisans en légende et en vérité (1965), suite de croquis où se mêlent tendresse, ironie et critique, que prolonge sur le mode satirique Le match Valais-Judée (1968).
Lu par : Simone Reeve-Gagnebin
Durée : 6h. 49min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17510
Résumé:Une des plus anciennes mélodies d'Europe originaire du Portugal, la Folia, s'est d'abord répandue en Espagne au XVIe siècle puis sur tout le continent. De nombreux musiciens s'en sont inspirés pour des variations célèbres, dont Corelli, Marin Marais et Lully. Dans ces variations en prose, L'Air des hautbois agit comme un souvenir premier. Cette musique peut surgir n'importe où, dans l'église d'un village valaisan, au milieu d'un vignoble lémanique, au Pavillon Vendôme d'Aix-en-Provence ou sur une place de Beaune où le hasard a conduit le narrateur. Y a-t-il une relation entre la Folia et la folie ? L'art de ce livre est de ne pas répondre mais de raconter l'histoire d'une mélodie qui a inspiré des centaines de musiciens tout en faisant vibrer l'univers intime de l'écrivain, comme si celui-ci cheminait avec son ami lecteur, échangeant avec lui ses goûts sur la littérature, la musique, la peinture, la poésie, les villes et la nature.
Lu par : Jacqueline Duperret
Durée : 4h. 27min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 68053
Résumé:Treize histoires de fantômes, d’amour et d’amitié, d’admiration et de stupeur. Treize portraits subjectifs, mais vrais, rigoureux, qui ressuscitent des êtres que j’ai rencontrés et aimés, quelquefois malgré eux. Des peintres Marc Jurt, René Feurer, des éditeurs Simone Gallimard, Vladimir Dimitrijevic, Bernard de Fallois, des écrivains Michel Butor, Nicolas Bréhal, Jacques Chessex, Aragon, un philosophe, Jacques Derrida, des gens célèbres ou inconnus, Roger Dragonetti, André Dalmas, Juste Olivier, disparus dans les couloirs du temps. Ne pourchassons pas ces fantômes qui nous hantent, ne les trahissons pas et aimons-les : ce sont les seuls à savoir qui nous sommes.
Lu par : Fernande Guex
Durée : 1h. 16min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 2825
Résumé:
Lu par : Lucienne Villoz
Durée : 12h. 54min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 3975
Résumé:"L'Ami secret et l'Enfant mystérieux" regroupe des essais majeurs sur l'art, la musique et la civilisation, dans une triple perspectve esthétique, éthique et spirituelle.
Lu par : Bernard Delachaux
Durée : 3h. 30min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 72038
Résumé:Le pain de coucou est cette plante des sous-bois aux petites fleurs blanches et aux feuilles d'un trèfle à la fois savoureux et acide, dont les enfants se régalent. Une croyance populaire, en outre, veut qu'aux endroits où il pousse, de l'or se trouve enfoui.
Lu par : Jean Frey
Durée : 51min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18073
Résumé:C'est une lettre personnelle à une amie japonaise, en souvenir d'une soirée passée à Tokyo il y a un an, jour pour jour, avant le tsunami et la catastrophe nucléaire de Fukushima. Cette lettre évoque aussi d'autres malheurs qui ont secoué le Japon et le souvenir heureux d'un séjour sur les plages de Sendai - fascination extrême pour l'élégance inquiète de cette culture raffinée. Il est aussi question du rapport entre les nucléocrates et la littérature, des difficultés de se comprendre entre l'Europe et le Japon. L'auteur, qui a lui-même travaillé dans une centrale nucléaire, écrit ces pages d'une lucidité bienfaisante comme un écho à Hiroshima, mon amour - dans lequel l'héroïne s'entendait reprocher : Tu n'as rien vu à Hiroshima.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 4h. 40min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17199
Résumé:Les lettres d'Annemarie Schwarzenbach (1908-1942) à son ami Claude Bourdet - futur grand Résistant et journaliste politique qui deviendra en 1950 l'un des fondateurs de l'ancêtre du Nouvel Observateur - permettent de suivre l'évolution de cette femme écrivain, journaliste et photographe depuis ses premiers pas en littérature jusqu'à la veille de son fameux voyage Genève-Kaboul en voiture avec Ella Maillart. Certes, la voix de Claude Bourdet manque cruellement - ses lettres ont été détruites par la mère d'Annemarie après sa mort -, mais elle n'est pas totalement absente, car on en trouve des échos passionnants dans ses lettres à sa mère, la poétesse Catherine Pozzi, dont se nourrissent les notes du présent ouvrage, et dans un texte émouvant qu'il écrivit en son souvenir et qui est publié ici pour la première fois dans son intégralité.
Lu par : Madiana Roy
Durée : 18h. 30min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 34526
Résumé:La Suisse, cette belle inconnue... Qui suis-je pour écrire un tel dictionnaire ? Un Suisse à quatre sous, comme on dit ici. L'expression vient du fait que tout naturalisé doit payer sa dîme. Je suis né en Turquie. J'ai grandi au bord du lac Léman, à Paudex, petite, très petite commune vaudoise ou mes parents m'ont placé en internat à l'âge de 7 ans. J'y suis resté jusqu'à la maturité (comme on appelle le baccalauréat suisse). Après mes études et quelques stages, je me suis installé à Genève, ville superbe que j'aime tant. Dire que ce pays m'a beaucoup donné serait dire peu. Il m'a comblé. Comment le remercier ? Un mot de Saint Augustin nous est souvent servi pour nous donner bonne conscience. Ama et quod vis fac. Aime et fais ce qu'il te plaît, dit Augustin. Si tu aimes, tu feras juste. La citation mérite qu'on s'y arrête. En réalité, il s'agit d'une retro-traduction du français au latin, la langue dans laquelle Saint Augustin a écrit. Car l'un des termes n'est pas de lui. Pour le mot "aimer", il utilise le verbe diligere. La citation exacte est : Dilige et quod vis fac. Dilige, c'est à dire : aime, mais avec distance. Aime sans accaparer. C'est ainsi que je veux, que je dois aimer la Suisse si je veux m'acquitter de ma dette. Avec distance. En étranger. C'est donc en étranger que je veux aimer ma Suisse, décrire quelques aspects de mon pays qui n'est pas le mien. En étranger que j'espère faire découvrir au lecteur une Suisse paradoxale, tantôt d'une pièce tantôt de mille, souvent inattendue, toujours attachante. Certaines de ses facettes sont d'une simplicité absolue, d'autres insaisissables de complexité. Ensemble elles constituent un pays vibrant et beau, souvent secret, quelques fois imparfait. On l'aime alors encore plus, de la même manière qu'un homme s'attache aux défauts d'une femme presque parfaite, car ce sont eux qui lui donnent son humanité.
Durée : 11h. 49min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 33628
Résumé:Des fragments poétiques, des réflexions en prose, une par minute...
Lu par : Geneviève Roy
Durée : 20min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 70716
Résumé:Poète et prosatrice, Anne Fontaine a cherché ses sources d'inspiration dans la grande tradition lyrique française. Son œuvre, raffinée et existentielle, célèbre la beauté du monde et les métamorphoses de la vie et du cœur. Elle a beaucoup publié dans des revues et des quotidiens vaudois.
Lu par : Marie-Christine Mével
Durée : 2h. 58min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 70476
Résumé:Avec Jacob, personnage biblique de la Genèse et compagnon d’insoumission, Laurence Verrey a engagé sa lutte: déjouer les pièges du silence et le poids du passé pour accéder au droit à l’existence, à la terre vierge de l’écriture. La quête de sa voix singulière, sa part de sel, a lieu de nuit. Cette traversée évoque les tourments de l’enfance, l’affrontement avec l’homme, le lien entre l’écriture et la mère, et se vit avec l’ange, allié et révélateur invisible. Le récit retrace l’histoire de Jacob lorsqu’il revient au pays de sa naissance pour retrouver son frère et combat avec le mystérieux adversaire qui le blesse et le bénit. Si le manuscrit a mis une trentaine d’années pour voir le jour, il garde le même caractère d’urgence.