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Toutes les familles heureuses

Résumé
Le récit de l'écrivain sur sa famille, qu'il décrit comme étrange. Il raconte son enfance et ce qui l'a poussé à partir le plus tôt possible de chez lui.
Genre littéraire: Biographie/témoignage
Durée: 3h. 14min.
Édition: Paris, Lattès, 2017
Numéro du livre: 35630
ISBN: 9782709660815
CDU: 8

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Durée:1h. 7min.
Genre littéraire:Humour-satire
Numéro du livre:75076
Résumé: Pour féliciter François Mitterrand de son élection deux ans plus tôt, je lui ai écrit une carte postale d'Arcachon, en septembre 1983. François m'a répondu. Il me « remerciait de ma lettre », m'assurait que mes remarques recevraient « toute l'attention qu'elles méritaient » et seraient « prises en considération », « dans les délais les plus brefs ». Et il m'assurait de ses « sentiments les meilleurs ». D'autres auraient pu confondre sa réponse avec une lettre-type. Pas moi. J'ai répondu, et reçu de François une nouvelle réponse, à la teneur assez proche. S'est ainsi établie une correspondance très personnelle entre lui et moi, jusqu'à sa disparition. Je l'ai poursuivie avec tous ceux qui lui ont succédé, de Jacques C. à François H., et tous, sans exception, ont pris mes remarques « en considération » et m'ont assuré de leurs « sentiments les meilleurs ». C est cette correspondance avec nos présidents que j'ai enfin décidé de révéler au public, afin de témoigner devant l'Histoire.
Durée:10h. 49min.
Genre littéraire:Science-fiction
Numéro du livre:68838
Résumé: «Il est une chose admirable qui surpasse toujours la connaissance, l’intelligence, et même le génie, c’est l’incompréhension.» En juin 2021, un événement insensé bouleverse les vies de centaines d’hommes et de femmes, tous passagers d’un vol Paris-New York. Parmi eux : Blake, père de famille respectable et néanmoins tueur à gages ; Slimboy, pop star nigériane, las de vivre dans le mensonge ; Joanna, redoutable avocate rattrapée par ses failles ; ou encore Victor Miesel, écrivain confidentiel soudain devenu culte. Tous croyaient avoir une vie secrète. Nul n’imaginait à quel point c’était vrai. Roman virtuose où la logique rencontre le magique, L’anomalie explore cette part de nous-mêmes qui nous échappe.
Lu par:Michel Méron
Durée:1h. 29min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:23975
Résumé: " Elle parle, dans le désordre, des moutons écossais, de la lande écossaise, des chardons écossais, des mouettes écossaises, il accepte, bon gré mal gré, d'aborder avec elle ce thème nationaliste et agreste. Il l'écoute, la regarde, troublé. Tout en elle l'enchante, et notre héros s'en veut de cet enchantement qu'elle fait naître si aisément en lui, par son simple éclat, sans nul effort, et pire, sans même le souhaiter. Beaucoup sont tombés, tomberont sous son charme. Il ne lui reproche pas cette injustice, mais il en souffre. Il devine aussi que, quels que soient les efforts qu'il déploiera, lui ne l'enchantera pas. Ne jette pas un sort qui veut. " Je m'attache très facilement est le récit clinique de trois jours d'une Bérézina amoureuse. Un homme (" notre héros "), bientôt atteint par la cinquantaine, a décidé, sur un coup de tête, de rejoindre en Écosse sa jeune maîtresse (" notre héroïne "), de vingt ans plus jeune que lui. Sa visite n'est pas véritablement désirée. " Notre héros " s'en doute, mais rien ne l'arrête. La succession drolatique de ses mésaventures et déconvenues raconte, avec une belle énergie et un sens féroce de la dérision, la plus vieille histoire du monde, celle du fantasme d'amour et de son déni.
Durée:55min.
Genre littéraire:Humour-satire
Numéro du livre:15221
Résumé: Présentation de l'éditeur : Disons-le tout net: nous ne sommes pas d'accord. La Joconde n'a rien fait à Hervé Le Tellier qui l'autorise à la traiter ainsi. A-t-on le droit, en donnant la parole à une coiffeuse hystérique, un amant indélicat ou une mère abusive, en se livrant à des pastiches faciles, de Madame Marguerite D. à Prévert, voire en projetant Mona Lisa dans des problèmes de robinet, de se moquer de l'oeuvre impérissable de l'immense Léonard de Vinci ? Queneau et ses Exercices de style, que l'oulipien Le Tellier appelle à la rescousse, eût-il toléré un tel irrespect, lui qui fut le gardien zélé des traditions et du bon goût ? Que penser d'une société où les nains se hissent impunément sur les épaules des géants afin d'y tirer la langue au bon peuple ? Suffit-il aujourd'hui, pour faire oublier sa bassesse, de mettre les rieurs de son côté ? Elle est belle notre époque, tiens! Joconde jusqu'à 100, c'est 99 + 1 points de vue jocondoclastes sur une pauvre fille qui n'a pas mérité ça, c'est sûr ! Joconde jusqu'à 100 possède une suite, dont le titre est un jeu de mots plus lamentable encore :Joconde sur votre indulgence.
Lu par:Eric Besnard
Durée:3h. 16min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:73913
Résumé: Le corps de Philippe Perek est retrouvé carbonisé sur un terrain vague de banlieue. Gabriel Lecouvreur, surnommé le Poulpe, tente d'en savoir davantage sur la victime et part à la recherche de ses meurtriers.
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Numéro du livre:65490
Résumé: Il aura fallu trente ans pour que Clémentine Autain écrive sur sa mère, la comédienne Dominique Laffin, morte en 1985. Clémentine en avait 12 et déjà un long et douloureux chemin avec cette mère en souffrance, égarée, incapable de prendre soin de sa fille. Clémentine Autain s’est construite en fermant la porte aux souvenirs, en opposition avec cette mère dont, petite fille, elle avait parfois dû s’occuper comme d’un enfant. Aujourd’hui, elle n’occulte rien, dit avec justesse le parcours tragique d’une femme radieuse et brûlée, passionnée de vie, actrice magistrale, féministe engagée mais dévorée par ses angoisses et prise au piège d’une liberté dangereuse. Dites-lui que je l’aime : dans ce récit poignant dont le titre rappelle le film éponyme, Clémentine Autain rend justice à une figure oubliée des uns, culte pour les autres. Elle retrouve ce qu’elle lui doit, son féminisme, sa propre maternité peut-être. Et malgré l’âpreté des souvenirs, elle écrit un récit d’une grande douceur, une lumineuse lettre d’amour.
Durée:2h. 14min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:38106
Résumé: Dans Un voile de coton, Amélie Plume obéit à un irrésistible appel vers la terre de ses origines. Elle décide de s’en aller le plus souvent possible loin de sa grise capitale, avec le train, le car, la voiture. Rendre visite à ces petits villages et ces vastes campagnes jurassiennes où elle n’a plus mis les pieds depuis longtemps lui procure une joie profonde et inattendue. Alors son alerte monologue en basse continue se teinte de commentaires de voyage dont la palette va du grand bon sens à l’autoironie la plus cocasse. Son entrain l’amène pourtant à déterrer des souvenirs enfouis « dans une purée de pois », qui, finalement, la conduisent à se mettre en chambre et regarder en face son enfance et sa mère. La seconde partie de ce livre leur est consacrée, avec une honnêteté qui émeut. Du cocon fusionnel « comme dans une poche de kangourou » avec cette mère si douce et sévère à la déchirure d’avec cette femme à l’ancienne, voici le retour d’une féministe à l’enfance, là où l’amour maternel, lorsqu’il est trop fort, peut être source d’une sourde violence.
Durée:3h. 20min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:35807
Résumé: « J’ai aimé ma mère, follement. Je l’ai cajolée, protégée. Je lui chantais des comptines de couleur, bleue, ou rose selon l’humeur, pour la rassurer. Je l’épaulais lors de ses chagrins d’amour, j’assistais, déboussolée, à ses crises de manque. J’étais parfois la mère de ma mère… Pourtant, je l’admirais plus que quiconque, je ne l’aurais à aucun moment échangé contre une autre. Maman, elle n’avait pas peur de se bagarrer avec ses pieds et ses mains, ni de claquer la porte aux nez de ses amants. Maman, elle partait en pleine nuit faire la fête, elle m’emmenait dans des dîners de grands en plein Saint-Germain des Prés, à la Coupole ou au Flore, alors que nous vivions dans de petits appartements faits de bric et de broc. Ma mère était bohème. Elle était mon ciel et ma terre. Elle était mon Ode. Tout un poème. » La comédienne retrace la vie bohème de sa mère, entre les chagrins d'amour et les grands dîners du côté de Saint-Germain-des-Prés. Premier roman. ©Electre 2017
Durée:5h. 27min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:33891
Résumé: Elle est la seule personne qui ne l'a jamais quittée, de Sofia à Paris, de Paris à Los Angeles. Tout tenait par elle. Grâce à elle. Parce qu'elle était là. Toujours. Sylvie Vartan a retrouvé le journal intime de sa mère, Ilona. Elle a rassemblé toutes les notes qu'elle avait prises après chacune de leurs conversations. Puis elle a composé cet hommage bouleversant à cette femme qui aura été tout pour elle : le pilier, l'alliée, le secours. Lorsqu'en 1952 ils ont décidé de fuir l'enfer du communisme et de vivre à Paris, les Vartan ont logé dans une petite chambre d'hôtel du quartier des Halles. Pendant trois ans, le père a dormi avec son fils, et Sylvie a partagé le lit de sa mère. C'est là, sans doute, dans ces années où Sylvie Vartan a vu sa mère tomber de fatigue sans jamais se plaindre, que ce lien unique s'est formé. Aujourd'hui, dans son livre, tout lui revient. Et on se laisse submerger par la puissance de cet amour maternel.
Lu par:Myriam Dibot
Durée:5h. 13min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:36500
Résumé: "Quand je t'ai retrouvée, morte, j'aurais dû te cracher à la figue", écrit l'auteur en parlant à sa mère. Comme l'a écrit Elisabeth Badinter, l'amour maternel n'est en rien naturel. Pour Edith Reffet, l'auteur de Ma mère, il n'est pas au rendez-vous. Dans ce récit, elle raconte son enfance et ses relations avec une mère, institutrice, qui commence par l'abandonner alors qu'elle n'a qu'un jour. C'est en ayant le courage de la fuir dès qu'elle a 20 ans qu'elle évitera d'être détruite par la diabolique énergie négative d'une mère qui finira par la déshériter après l'avoir déclarée morte à l'hôpital.
Durée:3h. 9min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:39335
Résumé: « On écrit pour comprendre ce que l’on ne comprend pas. Quand j’écrivais Vie de ma voisine, mon héroïne me parlait de sa mère. Elle me racontait ses mots, elle évoquait ses gestes. L’amour d’une mère. Je mesurais mon ignorance dans ce domaine. Ma mère n'en savait ni les mots ni les gestes. Je suis donc partie sur les traces d'une petite fille grecque et arménienne et de sa mère, danseuse orientale et apatride, à Paris dans les années 20. Ma mère ne voulait rien savoir de son passé. Il a fallu que j’enquête et que je l’invente. Que je trouve les mots pour la retrouver. C’est ce livre, Le chagrin d’aimer. Je suis passée par la cour du roi de Grèce et par les collines de Fiesole. Par un atelier d’écriture, une maison de retraite, plusieurs voitures, un supermarché, des quantités de paquets de gauloises, une machine à écrire. Autant de circonstances, par-delà les guerres, les destructions, les irrémédiables pertes, où ma mère se battait avec ce qui fait la vie ordinaire : la nourriture, l’argent, le travail, l’amour. J’ai tenté d’en savoir un peu plus sur elle, sur moi. Chemin faisant, j’ai compris que ce n’était qu’un début. »
Durée:8h. 55min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:34979
Résumé: Julie est allongée sur la table d'examen d'un médecin. Elle n'a pas douze ans, elle est maigre, elle est faible. Il est 4 heures de l'après-midi et elle n'a toujours pas été autorisée à manger quoi que ce soit. À côté d'elle, sa mère semble étrangement excitée. Elle est sur le point de suggérer une opération à coeur ouvert pour sa fille...Depuis son plus jeune âge, Julie est une enfant fragile qui passe plus de temps en consultations que sur les bancs de l'école. Pourtant, ce mal étrange dont elle souffre, et que seule sa mère sait décrire, ne trouve pas de remède, en dépit des médicaments ingurgités, des traitements infligés et des innombrables spécialistes interrogés...Tout simplement, parce que Julie n'est pas malade... Elle est victime du syndrome de Münchhausen par procuration. Ma mère, mon bourreau est le récit de son enfance, volée par une mère souffrant d'un besoin maladif d'attention. Un récit sans fard. Un témoignage poignant.