Contenu

Ecrire à l'élastique

Résumé
Un roman écrit à quatre mains sur la difficulté à écrire, les femmes, l'amour, la virilité, sur un ton qui s'amuse du machisme, mais aussi une expérience littéraire entre deux écrivains dispersés géographiquement qui réussissent cependant à harmoniser leurs personnages et leurs propositions narratives. ©Electre 2017

Pas disponible en CD.

Durée: 4h. 1min.
Édition: Paris, POL, 2017
Numéro du livre: 35078
ISBN: 9782818041932
Collection(s): Fiction

Documents similaires

Lu par : Manon
Durée : 5h. 10min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 37453
Résumé:Jeune femme noire de 30 ans, Géralde collectionne les mauvaises expériences amoureuses jusqu'à sa rencontre avec Pierce. Elle accepte de le suivre en Nouvelle-Zélande où sa couleur de peau décontenance sa nouvelle famille. Les doutes et les malentendus consomment la rupture du couple. Géralde se laisse alors séduire par Hadrien, un journaliste qui mène une double vie.
Durée : 4h. 19min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 30757
Résumé:"J'enseigne la sociologie à l'université et j'ai 44 ans. Je viens de publier une étude violemment critique sur la culture et les moeurs françaises et je n'accorde plus d'importance à grand-chose dans la vie. Sauf, peut-être, aux femmes et aux voyages. Je dis peut-être parce que ce n'est pas aimer les femmes que de jouer avec leurs sentiments à des fins exclusivement prédatrices. Quant aux voyages, si c'est par haine de mon propre pays que j'y consens, je n'en vois pas l'intérêt non plus".
Lu par : Geneviève Cail
Durée : 5h. 53min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 25343
Résumé:Mon père me criait de remonter mon jean au-dessus de mes fesses, de cesser d'écouter des chansons vulgaires sur mon iPod, de rapprocher mes coudes à table et de ne pas faire la tête chaque fois qu'il voulait m'emmener au musée. Il ajoutait toujours: "Plus tard, tu comprendras que c'est pour ton bien que je te disais ça, tu verras".
Durée : 4h. 19min.
Genre littéraire : Roman d'amour
Numéro du livre : 76671
Résumé:Professeure d'arts plastiques en proche banlieue parisienne, Zélie, la cinquantaine, part en retraite anticipée. Un jour, elle rencontre un trentenaire qui tombe sous son charme. Cette rencontre change sa routine et la mène jusqu'à Bukavu, en République démocratique du Congo.
Lu par : Liliane Pierré
Durée : 5h. 18min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15609
Résumé:C'est dans la trentaine que la vie m'a sauté à la figure. J'ai alors cessé de me prendre pour le roi du monde et je suis devenu un adulte comme les autres, qui fait ce qu'il peut avec ce qu'il est. J'ai attendu la trentaine pour ne plus avoir à me demander à quoi cela pouvait bien ressembler, la souffrance et le souci, la trentaine pour me mettre, comme tout le monde, à la recherche du bonheur. Qu'est-ce qui s'est passé ? Je n'ai pas connu de guerre, ni la perte d'un proche, ni de maladie grave, rien. Rien qu'une banale histoire de séparation et de rencontre.
Lu par : Béatrice Leroux
Durée : 4h. 16min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 34237
Résumé:Incapable de lire les rapports humains autrement que sous l'angle de l'indifférence ou d'un vil intérêt, le narrateur, personnage en rupture de ban qui décide de tout quitter de sa vie française pour tenter une renaissance en Inde, s'entête, tout au long d'une errance de rencontres, à se montrer obligeant avec tout le monde et en toute circonstance. Jusqu'à l'épreuve de patience de trop.
Durée : 6h. 53min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17483
Résumé:'Le Roman de l'été' permet à Nicolas Fargues de porter un regard désabusé sur notre société. Au travers de son héros américain, John, la cinquantaine, qui vit dans un village de la manche pour trouver l'inspiration et écrire un grand roman, l'auteur décrit l'univers familial et relationnel de cet homme. D'une plume légère et ironique, il aborde les codes sociaux et la difficulté à être différent dans un monde très conformiste. Si les personnages sont parfois caricaturaux, il assène l'air de rien quelques vérités sur la famille, l'amour, la politique et le monde littéraire. Et on pressent qu'il y a dans certaines situations évoquées une part de vécu. Son écriture rythmée avec des tournures très personnelles est en parfaite osmose avec cette histoire contemporaine et fait de cet opus un moment réjouissant. Amaury Jacquet
Durée : 3h. 16min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 34446
Résumé:"Jeff, vendeur de voitures d'occasion, marié à Janet, père de Bea, Elvis, et Anne, est enlevé par un psychopathe qui le séquestre et le torture durant plusieurs semaines avant d'être pris in extremis. Quelques années plus tard Elvis travaille pour l'armée américaine et vit dans une cave, Anne est à l'asile, Bea est mariée à un prédicateur passablement dérangé, et Jeff vit au sommet d'un terril en interdisant à quiconque d'approcher. Cette « famille modèle » se réunit pour les obsèques de Janet morte en Inde après avoir fui bien des années auparavant mari et enfants. A partir de là et de nouveau : folie pure, déchaînement des pulsions, et recherche désespérée de la petit maison dans la prairie...Tableau apocalyptique mais réjouissant d'une société moribonde et d'une construction familiale pathologique" (Source : Editeur)
Lu par : Manon
Durée : 8h. 14min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 30504
Résumé:De 1953 à sa mort en 1978, le peintre Norman Rockwell vit à Stockbridge, une petite ville du Massachusetts. Il y fait notamment de nombreuses couvertures pour le Saturday Evening Post, parfois en prenant des habitants de la ville pour modèles. A en croire l'histoire racontée dans ce roman, vers la fin de sa vie il peint Rebecca, une fillette de Stockbridge. Une fois adulte, Rebecca épouse un autre peintre, Peter Milton, avec qui elle a deux enfants, Tom et Hannah. Tandis que Rebecca rêve de devenir écrivain mais n'arrive visiblement à rien, Peter devient progressivement un grand artiste. Il propose un jour à une jeune Française, rencontrée dans le Vermont, de venir vivre dans sa famille ; en échange, elle devra poser pour lui et enseigner le français à ses enfants. Comme Ulysse est l'histoire de cette Française, racontée par elle-même. De la narratrice, on ne connaît ni l'âge, ni le nom véritable ; elle se fait appeler Lou et se présente le plus souvent en adolescente écervelée, un peu ignare et mal dégrossie. Alors qu'elle ne devait rester aux Etats-Unis que le temps d'un séjour linguistique avec sa soeur, elle y passe plusieurs années, d'abord à New York puis en Nouvelle-Angleterre, et ses souvenirs de France (sa vie à Paris, ses vacances en Bretagne), de plus en plus douloureux, doublent le récit de ses aventures américaines, au point que la côte Est apparaît comme un mauvais reflet de la côte bretonne. La nostalgie est aussi celle de l'enfance. Lou raconte à la fois ses relations avec le peintre, sa femme et leurs amis, et ses longues conversations avec Tom et Hannah. Ces deux enfants un peu fantomatiques semblent évoluer dans un univers qu'elle comprend de moins en moins. Ainsi, de même qu'elle flotte entre deux langues et deux cultures, Lou n'a-t-elle sa place ni dans le monde des adultes, ni dans celui de l'enfance. Quelle que soit la nostalgie qui enveloppe ce roman, il est d'abord un récit d'aventures, conduit légèrement et avec désinvolture. Le langage est familier, parfois vulgaire, les phrases se brisent et partent dans des directions aussi imprévues que la pensée de Lou, qui enchaîne les digressions et préfère toujours se contredire plutôt que de se corriger. Même quand l'histoire tourne mal et que sont racontés des événements tragiques, le style reste vif et entraînant. Si la réalité est décrite de manière simplifiée et enfantine, c'est peut-être que la narratrice, incapable d'appréhender le nouveau, doit toujours ramener l'inconnu au connu (Rebecca devient ainsi un double obscur de sa mère, la plage de Newport se confond avec celle de Sainte-Anne-la-Palud...). Lou, qui se plaint de manquer de vocabulaire et d'avoir perdu son français aux Etats- Unis, aplanit le réel et peine à percevoir les nuances entre les êtres, qu'elle confond ou au contraire oppose violemment. Ses dessins en noir et blanc, qui ponctuent la narration, apparaissent eux-mêmes comme un vague écho, simple et naïf, des tableaux de Peter.
Lu par : Manon
Durée : 45min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 31665
Résumé:Lu par Manon Un défilé de pensées sombres et amères devant le spectacle de la disparition et le poids de la tristesse. Une réflexion sur l'absence et la mort qui s'interroge sur ce qu'il reste d'une voix lorsque que celui à qui elle appartenait a disparu.
Lu par : Noelle Gahon
Durée : 2h. 37min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 67233
Résumé:L'écrivain évoque la mort de son père et ses circonstances, le parcours obligé des obsèques et des tâches administratives afférentes, la pudeur d'un homme à la fois sociable et secret, les liens qui l'unissaient à son fils. Un portrait aussi d'une génération dans les campagnes françaises, celle de travailleurs sociaux et de militants politiques ou associatifs. Prix Blù Jean-Marc Roberts 2017.
Lu par : Patrick Audouin
Durée : 7h. 40min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 38290
Résumé:Automne 1952 : dans un château délabré de l'Eure, Éric Rohmer tourne Les Petites Filles modèles. C'est son premier long métrage. Presque achevé, jamais sorti au cinéma, il a disparu.Printemps 2016 : Sophie, une prof d'université à la retraite spécialiste de la comtesse de Ségur, et Paul, un jeune homme qui consacre sa thèse à des films introuvables, traversent ensemble la Normandie à la recherche de traces, de témoins, d'explications : Joseph Kéké, l'étudiant béninois qui a produit le film, a-t-il vraiment cassé une dent à une strip-teaseuse poétesse ? À quoi servent les châteaux en ruine ? Quel rapport entre la comtesse de Ségur, Éric Rohmer et le cinéma érotique des années 1970 ? Chemin faisant, c'est avant tout sur eux-mêmes que Paul et Sophie enquêtent.