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Ravi Shankar: le maître du sitar

Résumé
Sitariste et compositeur, R. Shankar incarne la musique savante indienne. Il n'est pas seulement le parrain de la world music mais aussi une véritable légende. Génie de l'improvisation, il a enregistré des disques avec le violoniste Yehudi Menuhin et a multiplié les collaborations avec des musiciens de tous horizons. Ce livre retrace le parcours de cet artiste traditionnel et moderne. ©Electre 2016
Genre littéraire: Biographie/témoignage
Durée: 4h. 50min.
Édition: Plogastel-Saint-Germain (Finistère), Demi-lune, 2010
Numéro du livre: 32137
ISBN: 9782917112090
Collection(s): Voix du monde
CDU: 78

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Résumé:" ''Où est mon Roy Cohn ? '' Ce cri lancé par Donald Trump à la Maison Blanche peu après son investiture a sonné comme un aveu. J'ai suivi le président des Etats-Unis à travers le pays en tant que correspondant de RTL, j'ai observé ses méthodes, j'ai pensé le comprendre. Mais ce n'est qu'en enquêtant sur Roy Cohn que j'ai pu déceler ce qui constitue fondamentalement le président américain le plus déroutant de l'histoire. Lorsque, au début des années 70, le jeune Trump aborde Roy Cohn au culot dans un club, il n'est que l'héritier d'un promoteur immobilier sans éclat du Queens qui a pour conseil cet avocat vénéneux et sans scrupules, l'un des plus puissants et le plus craint de New York. Des années plus tôt, au service du sinistre McCarthy, il a fait exécuter Ethel Rosenberg en manipulant le juge ; il a été le plus cruel des " chasseurs de sorcières " communistes ; il a survécu aux inquisitions de son rival, Robert Kennedy ; il a pris ses leçons de duplicité chez J. Edgar Hoover ; il est devenu l'ami de Nixon. Courtisan de Reagan, il lui a présenté un homme qui rêvait de prendre pied aux USA, l'Australien Rupert Murdoch, plus tard fondateur de FOX News, la chaîne de bourrage de crâne trumpienne depuis bientôt quatre ans. Roy Cohn, le camarade de soirées d'Andy Warhol et d'Estée Lauder, l'avocat de l'archevêché de New York comme des grandes familles de la mafia, d'Aristote Onassis, de Bianca Jagger et de la discothèque Studio 54 où il passe ses nuits, n'a pas un dollar sur ses comptes, ne paie ni ses factures ni ses impôts, mais roule en Rolls. C'est un homosexuel dans le placard et un Juif qui a honte d'être juif. Il est devenu après sa mort un personnage du chef-d'oeuvre de théâtre Angels in America, où il est qualifié d' ''étoile polaire du mal humain''. C'est ce maître en cynisme, en manipulations et en coups bas qui a pris sous son aile maléfique le jeune Trump. On ne peut comprendre le second sans connaître le premier, Pygmalion maléfique d'un élève déjà très doué. Roy Cohn a fait de Trump un président"
Lu par :
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Résumé:Le cinéaste D. Teboul retranscrit un témoignage issu de plus de quarante heures d'entretien face caméra avec S. Veil. Il retrace son enfance, sa déportation, son retour des camps, l'antisémitisme et l'impact de ces événements dans ses engagements politiques. Il présente aussi trois séquences de dialogues avec sa soeur Denise et deux anciens camarades de camps.
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Résumé:Une vie. Le titre que Simone Veil a emprunté à Maupassant pour ses Mémoires est inexact: «sa» vie n'en est pas simplement «une», tant elle est exceptionnelle. Par le tragique, d'abord, avec la déportation qui détruit sa famille; c'est en rescapée que Simone Veil a traversé le reste de l'existence. Dans le politique, ensuite, qui la voit occuper en France et en Europe de hautes fonctions, toujours liées à ses engagements les plus profonds. Enfin, son parcours est rare par sa grande valeur éthique et philosophique: presque jamais Mme Veil n'a transigé, pour des raisons électorales ou partisanes, avec ses convictions - elle confie, dans Une vie,quelques regrets. Plus que d'autres, elle est donc fondée à juger sévèrement certains acteurs politiques, et ne s'en prive pas.
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Résumé:Une femme, poussée à bout, prend son fusil. Elle monte dans sa voiture, se rend au restaurant où dîne celui qui l'a abandonnée et veut l'éloigner de son fils. Posément, elle ajuste et tue cet homme - son mari. Puis elle attend la police. Condamnée à dix ans de réclusion, Nicole Gérard a été libérée en 1970, après avoir fait « sept ans de pénitence ». Lorsqu'elle était en prison: elle s'était juré d'écrire son livre. Le voici. Nicole Gérard a côtoyé tous les aspects de cet univers impitoyable et presque inconnu de la détention féminine. Incarcérée d'abord pendant trois ans et demi à la Roquette, elle a vu défiler la troupe, souvent pittoresque, des voleuses à la tire, des prostituées, des « faiseuses d'anges ». Elle a vécu le climat turbulent et sordide de la maison d'arrêt, assisté aux liaisons homosexuelles qui y prolifèrent, rencontré aussi quelques-unes de ces grandes criminelles que, après son procès, elle allait retrouver dans l'austère et sinistre maison de Rennes, la seule Centrale réservée aux femmes.
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Résumé:" Né " républicain - en plein Bocage vendéen ! - en 1841, Georges Clemenceau dut, tout jeune, combattre le pouvoir issu du 2 Décembre. Jusqu'à sa mort (1929), il garda de cet apprentissage la conviction que la vie publique était une lutte : lutte pour consolider la République quand d'aucuns prêchaient un modus vivendi avec ses adversaires, lutte pour la laïcité, lutte pour Dreyfus, lutte pour renforcer l'armée quand la paix paraissait à ce prix, lutte enfin pour la victoire quand la guerre devint inévitable. Ni l'intérêt personnel - il refusa plusieurs fois le pouvoir à des conditions qui ne lui convenaient pas - ni l'idéologie - il évolua de l'extrême gauche vers le " centre " et s'opposa, lui l'athée convaincu, aux excès de l'anticléricalisme - ne le guidèrent jamais. La République et la France s'identifiant à ses yeux, il entendait les fortifier et non les diviser. Passionné, orgueilleux, d'une lucidité terrible sur les hommes, dur, brutal à l'occasion, il ne cessa, par le verbe comme parlementaire (élu de Paris, puis du Var), par la plume comme journaliste, écrivain et patron de presse, d'appeler à la vigilance et à l'effort. Et quand, en 1917, tout parut perdu, quand les politiciens et les généraux routiniers eurent échoué, il fallut bien se tourner vers le seul homme qui ne fût pas compromis dans les expériences antérieures, le seul aussi dont la combativité et l'ardeur fussent inentamées en dépit de l'âge - soixante-seize ans ! - : Clemenceau. C'est lui, on le sait, qui mena le pays à la victoire, mettant un terme à d'indicibles souffrances. A cet homme exceptionnel - au jeune médecin des pauvres, au maire de Montmartre sous la Commune, au tombeur de ministères ", au directeur de journal qui trouva le titre J'accuse ! pour le célèbre article de Zola, à l'ami de Monet, au voyageur, à l'amoureux, à l'auteur de Démosthène et de Au soir de la pensée, au collectionneur de Kogos japonais, au duelliste et à ses mille autres facettes -, Jean-Baptiste Duroselle a consacré un ouvrage non moins exceptionnel, foisonnant d'informations nouvelles admirablement maîtrisées - une biographie définitive.
Lu par : Claude Rozier
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Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 21899
Résumé:Le 9 avril 1946, l'Assemblée nationale décidait la fermeture des maisons closes sur l'ensemble du territoire français. A cette loi l'Histoire a donné un nom : Marthe Richard (1889-1982). En dehors des mémoires très fantaisistes de l'intéressée, aucune biographie n'avait encore été consacrée à cette femme caméléon libérée des carcans et des préjugés, armée d'une ambition de fer et d'un grand sens de l'opportunisme. A seize ans, pour fuir la misère, Marthe Betenfeld se prostitue à Nancy. Un riche client tombe amoureux d'elle, l'enlève et l'épouse. En 1913, elle décroche son brevet de pilote et voltige dans les meetings. La Première Guerre mondiale fait d'elle une veuve mais aussi une espionne. Les Années folles la couvrent de gloire : elle épouse un officier britannique pour se retrouver veuve presque aussitôt, reçoit la Légion d'honneur, sillonne la France aux commandes d'un avion prêté par l'Etat. Ses aventures sont portées à l'écran, avec Edwige Feuillère dans le rôle de l'espionne. Elue en décembre 1945 au conseil municipal de Paris, elle s'engage dans la lutte contre les maisons closes et la police des mœurs, mais tandis qu'elle parle asservissement des femmes, la classe politique pense épuration : il est temps de fermer ces lieux de collaboration active sous l'Occupation. Marthe Richard, qui n'est pas l'auteur de la fameuse loi, sera pourtant considérée comme la seule responsable de la fermeture. Elle se découvrira alors des ennemis prêts à tout pour la compromettre.