Fille de la campagne: mémoires
Quatrième de couverture
Mémoires de l'écrivaine irlandaise dont le premier livre Les filles de la campagne, paru en 1960 fit scandale dans la très catholique Irlande car elle y contestait l'ordre moral et familial. Grande lectrice, héritière de Joyce, grande styliste également, elle révèle l'importance et l'urgence de l'écriture pour elle.
Pas disponible en CD.
Lu par:
Manon, voix de synthèse
Genre:
Biographie/témoignage
Durée:
10h. 44min.
Édition:
Paris, S. Wespieser, 2013
N° de notice:
27788
Source:
Association Valentin Haüy
ISBN:
9782848051369
CDU:
8
Documents similaires
De:O'Brien, Edna
Lu par:Marianne Pernet
Durée:6h. 2min.
Genre:Roman : au sens large et aventures
Quatrième de couverture:Le nouveau roman d’Edna O’Brien laisse pantois. S’inspirant de l’histoire des lycéennes enlevées par Boko Haram en 2014, l’auteure irlandaise se glisse dans la peau d’une adolescente nigériane. Girl bouleverse par son rythme et sa fureur à dire, à son extrême, le destin des femmes bafouées. Dans son obstination à s’en sortir et son inaltérable foi en la vie face à l’horreur, l’héroïne de ce roman magistral s’inscrit dans la lignée des figures féminines nourries par l’expérience de la jeune Edna O’Brien, mise au ban de son pays pour délit de liberté alors qu’elle avait à peine trente ans.
De:O'Brien, Edna
Lu par:Françoise Sellem
Durée:8h. 40min.
Genre:Roman : au sens large et aventures
Quatrième de couverture:Dès qu'il franchit le seuil de l'unique pub ouvert dans ce trou perdu d'Irlande, l'étranger suscite la fascination. Vladimir Dragan est originaire du Monténégro. Il entend s'établir comme guérisseur. On lui trouve un logement, un cabinet médical, et sa première cliente, une des quatre nonnes du lieu, sort de sa séance totalement régénérée. Rien d'étonnant à ce que Fidelma, très belle et mariée à un homme bien plus âgé qu'elle, tombe sous le charme. L'idylle s'interrompt quand Dragan est arrêté. Recherché par toutes les polices, il a vécu à Cloonoila sous un faux nom. Inculpé pour génocide, nettoyage ethnique, massacres, tortures, il est emmené à La Haye, où il rendra compte de ses crimes. Le titre choisi par Edna O'Brien s'éclaire alors, ainsi que l'introduction rappelant que 11 541 petites chaises rouges avaient été installées à Sarajevo en 2012 pour commémorer la mémoire des victimes du siège. Le vrai sujet de cet extraordinaire roman n'est pourtant pas la guerre civile de Bosnie, ni la figure de Radovan Karadzic, dont il s'inspire. Avec une infinie tendresse et une infinie compassion, la grande romancière irlandaise se penche sur le destin d'une femme ordinaire, que sa naïveté a rendue audacieuse, et dont l'existence a été ravagée pour avoir vécu, sans savoir à qui elle avait affaire, une brève histoire d'amour avec l'un des monstres les plus sanguinaires du XXe siècle. Après l'arrestation de Vlad, il est impossible pour Fidelma de rester en Irlande. Réfugiée à Londres, dans le monde souterrain des laissés-pour-compte, elle vit de petits boulots, hantée par une honte indépassable, et par la terreur. La prose d'Edna O'Brien est éblouissante : comme dans la vie, passant de la romance à l'horreur, d'un lyrisme tremblé au réalisme le plus cru, de la beauté au sentiment d'effroi le plus profond, elle nous donne, avec ce roman de la culpabilité et de la déchéance d'une femme, son absolu chef-d'oeuvre.
De:O'Brien, Edna
Lu par:Suzanne Bettens
Durée:10h. 55min.
Genre:Roman : au sens large et aventures
Quatrième de couverture:II faudra un long chemin à Eleanora pour comprendre la vraie nature de sa mère, Dilly, qui pour elle avait toujours représenté le poids de la morale et de la tradition. Dilly avait eu beau vouloir dans sa jeunesse échapper à son destin de fille d'Irlande, elle était revenue au pays, résignée, et s'était mariée, après sa tentative avortée de fuite aux États-Unis. Agée et malade, elle ne désire plus qu'une visite de sa fille, à qui elle n'a jamais cessé d'envoyer des lettres aimantes et fascinées. Eleanora, elle, a fui très jeune pour Londres l'étouffante campagne irlandaise. Elle y est désormais célèbre et détestée pour ses romans sulfureux. Quand enfin elle se rend au chevet de sa mère, c'est en coup de vent : elle prétexte un rendez-vous, et part retrouver un amant. Dans sa précipitation, elle oublie son journal intime... Quand elle s'en aperçoit, sa panique est vaine : la vie affranchie et passionnée qu'elle y consign. Eleanora découvrira, trop tard, la dimension de l'amour que lui vouait Dilly.
De:O'Brien, Edna
Lu par:Alexandra Bossé
Durée:6h. 14min.
Genre:Policier/épouvante
Quatrième de couverture:Enfant, Michen se cache dans la forêt, loin des regards hostiles des gens du village. Envoyé en maison de redressement pour avoir volé un fusil, il en sort pour se dresser contre ceux qui l'ont blessé. Un roman polyphonique sur le délire psychotique d'un meurtrier, inspiré d'un fait réel.
De:O'Brien, Edna
Lu par:Veronica Gaskell
Durée:2h. 11min.
Genre:Roman historique/biographique
Quatrième de couverture:Edna O’Brien n’a jamais caché que James Joyce lui avait ouvert les portes de la littérature. Vibrant hommage à un « mec funnominal » – mot emprunté à Joyce – et à son stupéfiant corps-à-corps avec la langue, James & Nora retrace la vie de l’artiste en couple, depuis sa rencontre à Dublin en juin 1904 avec une belle fille de la campagne originaire de Galway, Nora Barnacle, jusqu’à sa mort, en 1941. Leur fuite en Italie, la naissance de leurs enfants, leur misère matérielle, leur flamboyante vie sexuelle, et aussi leurs deux solitudes, Edna O’Brien les concentre en autant de fulgurants instantanés.
De:Clermont, Marie-Axelle
Lu par:Geneviève Roy
Durée:4h. 11min.
Genre:Biographie/témoignage
Quatrième de couverture:Normalement, dans la vie, les parents ne voient pas leur enfant mourir. Ce n'est pas dans l'ordre des choses, et la raison en est simple : c'est infiniment trop dur à supporter. Pourtant, Gaspard nous a appris à aimer mieux, à nous donner plus. Avec lui, c'était somme toute assez simple. Il ne demandait qu'une seule chose : être cajolé, dorloté, caressé, bercé, câliné, embrassé, enlacé. Bref, aimé ! Cette capacité à aimer, nous la possédons tous. Chacun d'entre nous.
De:Saint-Cheron, Jean
Lu par:Françoise Dufour
Durée:5h. 45min.
Genre:Biographie/témoignage
Quatrième de couverture:Qu'ont en commun une guerrière et une sainte ? A priori, rien. Tout semble même les opposer. L'une serait du côté du Mal et du sang, l'autre du Bien et de la lumière. A cette idée, la représentation de Thérèse de Lisieux, proclamée en 1997 trente-troisième docteur de l'Eglise et sainte française la plus célèbre avec Jeanne d'Arc, semble donner raison. Bouquet de roses et crucifix entre les bras, voile sur la tête et guimpe autour du visage, sourire ténu, ainsi la connait-on. Comme une sainte, et non telle une guerrière. Ce qu'elle était pourtant. C'est le paradoxe que prétend dénouer ce livre. Car aimer son prochain est un combat (qu'on nomme spirituel), une lutte que Thérèse Martin aura menée sa vie durant. Et d'abord contre elle-même. Dans cet essai biographique passionnant, Jean de Saint-Chéron retrace son existence pour faire, non l'éloge de la bonne soeur aux fleurs, mais celui de la sainte guerrière, et rappeler combien l'amour dont parle la Bible est " une glorieuse guerre " . En sept courts chapitres, on suit sa formation martiale, de son enfance marquée par sa vive piété, son caractère déterminé et la mort de sa mère, à sa conversion à 13 ans, lorsqu'elle comprend que, pour aimer, il lui faudra souffrir beaucoup. De Rome, où elle va conquérir la forteresse du Carmel à la pointe de l'épée en implorant le Pape de la laisser y entrer avant l'âge légal, à son entrée en religion parmi ses soeurs dont elle s'attèle à aimer les défauts, c'est un parcours du combattant qu'elle raconte dans ses écrits et que Jean de Saint-Chéron nous fait revivre en la suivant et la citant avec énergie, science et ardeur. Un éloge puissant et une leçon de foi moderne sur la bataille de l'amour et du pardon.
De:Dovat Bise, Céline
Lu par:Denise von Arx
Durée:5h. 25min.
Genre:Biographie/témoignage
Quatrième de couverture:« Les minutes s’écoulaient lentement sans que Maman, imperturbable et immobile, dégage la moindre émotion. Soudain, elle me prit la main, se tournant légèrement vers moi, cherchant mon regard, une approbation peut-être, un peu de courage sans doute. Elle n’avait probablement pas fermé l’œil de la nuit. Incommensurablement triste, atomisée par cette perte, par cette douleur ardente qui vous submerge quand l’amour de votre vie n’a pas eu d’autre choix que de laisser la maladie l’emporter. » Dans ce témoignage sincère et poignant, Céline Dovat Bise relate son existence à rebours. Après les obsèques de son père décédé prématurément, elle revient sur les points culminants de sa vie et celle de sa famille, qu’ils l’aient tirée vers le haut ou lui aient fait toucher les abysses, pour poser un regard serein sur la personne qu’elle est devenue aujourd’hui.
De:Rychner, Antoinette
Lu par:Denise von Arx
Durée:3h.
Genre:Biographie/témoignage
Quatrième de couverture:Après le tsunami provoqué par l’annonce de la leucémie d’un de ses enfants, Antoinette Rychner nous restitue six mois du quotidien bouleversé d’une famille, le combat pour la vie et la solidarité des proches. Une leçon de courage et d’amour, un récit poignant et sincère.
De:Mauméjean, Xavier
Lu par:Jean-Luc Dupuis
Durée:10h. 19min.
Genre:Biographie/témoignage
Quatrième de couverture:Henry Darger naît en 1892 dans un quartier pauvre de Chicago. Il y meurt en 1973, après avoir mené une vie discrète, lourde de nombreux secrets. En vidant son appartement, on découvre ses romans comptant des milliers de pages, aux illustrations énigmatiques et troublantes. Son œuvre va bouleverser l’histoire de l’art. Xavier Mauméjean reconstitue, pour la première fois, la vie de ce personnage hors norme, mystérieux et à l’imagination sans égale, créateur d’un des mondes de fiction les plus vastes et étranges qui soient. Les extraits des œuvres de Henry Darger sont traduits par Anne-Sylvie Homassel.
De:Salines, Georges
Lu par:Anne Béranger
Durée:5h. 59min.
Genre:Biographie/témoignage
Quatrième de couverture:" Ce dialogue inattendu avec un homme musulman, tolérant, et pourtant père de djihadiste, représentait une extraordinaire opportunité de montrer qu'il nous était possible de parler. Si un tel échange avait lieu entre nous, alors nous pouvions abattre les murs de méfiance, d'incompréhension, et parfois de haine, qui divisent nos sociétés. " Georges Salines. " Aujourd'hui, c'est avant tout une histoire de confiance et d'amitié qui nous unit. Nous avons appris à nous apprécier, pour comprendre, ensemble, et prévenir. Nous avons remonté le temps, tissé le fil de nos vies et de celles de nos enfants. Pour qu'une telle horreur ne se répète jamais plus. " Azdyne Amimour. Georges Salines a perdu sa fille Lola dans l'attentat du 13 novembre 2015 au Bataclan. Elle avait vingt-huit ans. De sa rencontre avec Azdyne Amimour, père de l'un des assaillants, a émergé un dialogue inédit. Georges Salines porte la mémoire de sa fille et de nombreuses autres victimes, tandis qu'Azdyne Amimour cherche à comprendre comment son fils a pu commettre des actes qu'il condamne sans appel. Poussés par une curiosité mutuelle, tous deux se racontent et déroulent le récit de " leur " 13-Novembre. Au fil de cette conversation, un profond respect est né entre ces deux pères que tout aurait pourtant dû opposer. Leur témoignage nourrit une réflexion apaisée sur la radicalisation, l'éducation et le deuil. Parce que s'il reste les mots, il reste aussi l'espoir.
De:Hudson, Kerry
Lu par:Françoise Habozit
Durée:8h. 13min.
Genre:Biographie/témoignage
Quatrième de couverture:Kerry Hudson est née en 1980 dans les quartiers populaires d’Aberdeen, en Écosse, d’une mère vulnérable, isolée et sans emploi, et d’un père alcoolique et absent. De centres d’accueil en bed and breakfast, sa petite sœur, sa mère et elle ont connu pendant près de vingt ans la précarité extrême, les queues le lundi matin aux caisses d’allocation, la détresse et la violence familiale. Aujourd’hui, Kerry est une femme mariée de quarante ans, qui a écrit deux romans et a voyagé de par le monde. Mais elle n’oublie pas l’enfant qu’elle a été. Dans cette autobiographie, Kerry Hudson revient avec humour et fierté sur les lieux où elle a grandi, puise dans ses souvenirs et pose un regard acéré sur les inégalités de classe actuelles et les moyens de s’élever. S’abstenant de tout jugement et sentimentalisme, elle cherche à comprendre, à donner voix aux exclus et aux invisibles dont elle a un jour fait partie. Basse naissance est un texte courageux sur la pauvreté, un récit aussi drôle que bouleversant sur l’urgence pour les personnes déclassées de reconquérir leur histoire.