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Passion simple: [roman]

Résumé
Quatrième de couverture : A partir du mois de septembre l'année dernière, je n'ai rien fait d'autre qu'attendre un homme : qu'il me téléphone et qu'il vienne chez moi.
Durée: 1h. 7min.
Édition: Paris, Gallimard, 1992
Numéro du livre: 13161
ISBN: 9782070725045

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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Le lundi 7 avril 1986, la mère d'Annie Ernaux s'éteint dans une maison de retraite. En trois ans, une maladie cérébrale, qui détruit la mémoire, l'avait menée à la déchéance physique et intellectuelle. Frappée de stupeur par cette mort que, malgré l'état de sa mère, elle s'était refusé à imaginer, Annie Ernaux s'efforce de retrouver les différents visages et la vie de celle qui était l'image même de la force active et de l'ouverture au monde.
Lu par : Françoise Golaz
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Lu par : Virginie Chase
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Résumé:Version révisée et augmentée d'un texte paru dans un supplément du Monde en 2001 et ayant pour thème la jalousie. Celle-ci dévore la narratrice au point de devenir le sujet de préoccupation de chaque instant. Lorsqu'elle disparaît enfin, une nouvelle vie commence, mais moins riche qu'avant.
Lu par : Françoise Golaz
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Depuis des années, je tourne autour de cet événement de ma vie. Lire dans un roman le récit d'un avortement me plonge dans un saisissement sans images ni pensées, comme si les mots se changeaient instantanément en sensation violente. De la même façon, entendre par hasard La Javanaise, J'ai la mémoire qui flanche, n'importe quelle chanson qui m'a accompagnée durant cette période, me bouleverse. (A. E.) Annie Ernaux revient sur l'avortement qu'elle vécut en 1963, à une époque où cette pratique était encore illégale. Elle évoque les conditions sordides de l'avortement, la violence du regard social, la culpabilité liées à L'Evénement.
Lu par : Marie Deygas
Durée : 3h. 23min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
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Résumé:«J'ai voulu l'oublier cette fille. L'oublier vraiment, c'est-à-dire ne plus avoir envie d'écrire sur elle. Ne plus penser que je dois écrire sur elle, son désir, sa folie, son idiotie et son orgueil, sa faim et son sang tari. Je n'y suis jamais parvenue.» Dans Mémoire de fille, Annie Ernaux replonge dans l'été 1958, celui de sa première nuit avec un homme, à la colonie de S dans l'Orne. Nuit dont l'onde de choc s'est propagée violemment dans son corps et sur son existence durant deux années. S'appuyant sur des images indélébiles de sa mémoire, des photos et des lettres écrites à ses amies, elle interroge cette fille qu'elle a été dans un va-et-vient implacable entre hier et aujourd'hui.
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Est-ce que, moi, la petite fille de l'épicerie de la rue du Clos - des - Parts, immergée enfant et adolescente dans une langue parlée populaire, un monde populaire. je vais écrire, prendre mes modèles, dans la langue littéraire acquise, apprise, la langue que j'enseigne puisque je suis devenue professeur de lettres ? Est-ce que. sans me poser de questions, je vais écrire dans la langue littéraire où je suis entrée par effraction, " la langue de l'ennemi " comme disait Jean Genet, entendez l'ennemi de ma classe sociale ? Comment puis-je écrire, moi, en quelque sorte immigrée de l'intérieur ? Depuis le début j'ai été prise dans une tension, un déchirement même, entre la langue littéraire, celle que j'ai étudiée, aimée, et la langue d'origine. la langue de la maison, de mes parents, la langue des dominés. celle dont j'ai eu honte ensuite mais qui restera toujours en moi-même. Tout au fond la question est : comment en écrivant, ne pas trahir le monde dont je suis issue ?
Lu par : Jocelyne Corbaz
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Résumé:Yvetot, un dimanche d'août 1950. Annie a dix ans, elle joue dehors, au soleil, sur le chemin caillouteux de la rue de l'Ecole. Sa mère sort de l'épicerie pour discuter avec une cliente, à quelques mètres d'elle. La conversation des deux femmes est parfaitement audible et les bribes d'une confidence inouïe se gravent à jamais dans la mémoire d'Annie. Avant sa naissance, ses parents avaient eu une autre fille. Elle est morte à l'âge de six ans de la diphtérie. Plus jamais Annie n'entendra un mot de la bouche de ses parents sur cette soeur inconnue. Elle ne leur posera jamais non plus une seule question. Mais même le silence contribue à forger un récit qui donne des contours à cette petite fille morte. Car forcément, elle joue un rôle dans l'identité de l'auteur. Les quelques mots, terribles, prononcés par la mère ; des photographies, une tombe, des objets, des murmures, un livret de famille : ainsi se construit, dans le réel et dans l'imaginaire, la fiction de cette " aînée " pour celle à qui l'on ne dit rien. Reste à savoir si la seconde fille, Annie, est autorisée à devenir ce qu'elle devient par la mort de la première. Le premier trio familial n'a disparu que pour se reformer à l'identique, l'histoire et les enfances se répètent de manière saisissante, mais une distance infranchissable sépare ces deux filles. C'est en évaluant très exactement cette distance que l'auteur trouve le sens du mystère qui lui a été confié un dimanche de ses dix ans.
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Résumé:Dans son roman, Annie Ernaux fait revivre ses souvenirs d'enfance et reconstruit, par la description de ses habitudes et faits l'image de son père, et son amour qui l'attachait à elle. L'auteur raconte sa vie à elle: on la voit grandir, poursuivre ses études, quitter ses parents, se marier, revenir dans sa famille, jusqu'aux derniers jours à Yvetot, quand son père meurt. Le roman s'ouvre sur l'épreuve pratique du Capes de l'auteur, dans un lycée de Lyon à la Croix-Rousse. Elle est Professeur de français «titulaire» et se trouve dans le train du retour, vers Annecy, où elle habite; elle prend la décision d'écrire...
Lu par : Armine Khandzian
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Résumé:" Ca ne vaut plus le coup d'avoir mes règles. Ma tante a dit : t'as perdu ta langue, Anne ? t'étais plus causante avant. C'est plutôt la leur de langue que j'ai perdue. Tout est désordre en moi, ça ne colle pas avec ce qu'ils disent ". Histoire d'une adolescente comme les autres, qui cherche à communiquer, à comprendre. Mais rien, dans le langage de ses parents, de l'étudiant qu'elle a rencontré, dans les mots des livres même, ne coïncide avec la réalité de ce qu'elle vit et elle se trouve renvoyée à la solitude.
Lu par : Brigitte Paing
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Résumé:Un dialogue au cours duquel la romancière A. Ernaux et la sociologue R.-M. Lagrave, issues de la même génération, se livrent à une réflexion sur leurs trajectoires sociales, sur leurs rapports au travail, à la reconnaissance et à la vieillesse, ou encore sur le féminisme. Elles évoquent autant leurs points communs que la manière différente dont elles se conçoivent en tant que transfuges de classe.