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Lecture théâtralisée : Désirs et servitudes

Samedi 28.09.24 à 11h (attention pas à 10h comme à l'accoutumée!!) 
Désirs et servitudes.  Numéro BSR 72054
Lecture théâtralisée
Une collaboration entre l’Association Mémoires d’Anne et La GlitzerFabrik

TEXTE: Anne Bottani-Zuber
LECTURE ET MISE EN SCENE: Tara Macris et Charlotte Riondel
MEDIATION: Philippe Herren
ILLUSTRATION ET GRAPHISME DU FLYER: Delia Meyer

Le titre de ce recueil de nouvelles aurait pu être: « Contes du désir et de la servitude et de ce qu’il faut de luttes, d’amour, de mensonges et autres statagèmes afin de concilier les deux. Si cela se peut. Si cela se veut. » Mais c’était trop long. Ainsi commence la quatrième de couverture du recueil de nouvelles « Désirs et Servitudes » écrit par l’autrice romande Anne Bottani-Zuber.
Les comédiennes Tara Macris et Charlotte Riondel rendent hommage à son écriture en donnant corps aux personnages de ses nouvelles, des femmes tiraillées entre leurs aspirations et les contingences de leur époque, entre 1850 et aujourd’hui. Toutes se débattent. Et toutes désirent profondément.

Autres livres de la même autrice disponibles à la BSR: https://www.bibliothequesonore.ch/rechercheBSR/libre/bottani

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bsr apero désier servitude
Lu par : Francine Crettaz
Durée : 4h. 14min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 72054
Résumé : Le titre de ce recueil de nouvelles aurait pu être : "Contes du désir et de la servitude et de ce qu'il faut de luttes, d'amour, de mensonges et autres stratagèmes afin de concilier les deux. Si cela se peut. Si cela se veut." Mais c'était trop long. Ni Justine, ni Adeline, ni Sylviane, ni Line... aucune des héroïnes de ces quatorze nouvelles ne désire être asservie. Cependant toutes le sont plus ou moins fortement. La religion catholique d'autrefois, la religion de l'apparence d'aujourd'hui, le statut social, les relations conjugales et familiales, le poids des habitudes, l'addiction à la cocaïne... mettent en péril la possibilité de faire des choix librement consentis. En ont-elles conscience ? Ont-elles envie d'être un peu plus libres ? Et si oui, que font-elles ?