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Lu par : Françoise Golaz
Durée : 1h. 31min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19679
Résumé:"On m'a perdu à l'aéroport, dans la salle d'attente. Et puis, bien des années plus tard, je suis devenu adulte." Dima - " un homme d'une trentaine d'années, d'à peu près un mètre quatre-vingts, des cheveux châtain clair coupés en brosse, des yeux bleus, des lèvres fines et pâles, bref un homme ordinaire" - est-il voué à tout perdre autant qu'il est perdu ? D'abord sa mère, ensuite sa femme, et maintenant ses clefs ; il lui faut changer s'il veut s'en sortir. A travers l'histoire de cet enfant perdu, nous soupçonnons que c'est un peu celle de la jeunesse russe d'aujourd'hui qui nous est racontée... Le bonheur viendra du coup de pied donné dans la routine : il est toujours utile de nous le rappeler.
Lu par : Madiana Roy
Durée : 4h. 14min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19677
Résumé:«Pauline était vêtue de brun avec une petite collerette d'un blanc scrupuleux et d'une égalité de plis vraiment monastique. Ses beaux cheveux châtains étaient lissés sur ses tempes avec un soin affecté ; elle se livrait à un ouvrage classique, ennuyeux, odieux à toute organisation pensante : elle faisait de très petits points réguliers avec une aiguille imperceptible sur un morceau de batiste dont elle comptait la trame fil à fil. La vie de la grande moitié des femmes se consume, en France, à cette solennelle occupation.»
Lu par : Janick Quenet
Durée : 6h. 1min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19686
Résumé:«Certains veulent faire de leur vie une oeuvre d'art, je compte en faire un long voyage. Je n'ai pas l'intention de me proclamer explorateur. Je ne veux ni conquérir les sommets vertigineux, ni braver les déserts infernaux. Je ne suis pas aussi exigeant. Touriste, ça me suffit. Le touriste traverse la vie, curieux et détendu, avec le soleil en prime. Il prend le temps d'être futile. De s'adonner à des activités non productives mais enrichissantes. Le monde est sa maison. Chaque ville, une victoire. Le touriste inspire le dédain, j'en suis bien conscient. Ce serait un être mou, au dilettantisme disgracieux. C'est un cliché qui résulte d'une honte de soi, car on est toujours le touriste de quelqu'un.»
Lu par : André Cortessis
Durée : 8h. 50min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19685
Résumé:La Cargaison enchantée est une des aventures les plus étonnantes de Henry de Monfreid : passer clandestinement douze tonnes de charras (ce mot étant l'appellation indienne et pudique du haschisch) des Indes à Port Saïd, le débouché du canal de Suez en Méditerranée. Déjouer la surveillance des douaniers anglais et français (qui gardent le canal), certaines autorités éthiopiennes et échapper aux bandes de trafiquants convoitant les ballots de charras constituaient une gageure. Au-delà des poursuites spectaculaires et passionnantes, Henry de Monfreid a voulu nous transmettre sa riche expérience de navigateur, d'ethnographe, d'observateur passionné des hommes et des moeurs d'un monde quasi oublié par le siècle.
Lu par : Brigitte Cottens
Durée : 7h. 47min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 19676
Résumé:« À Kamaishi, la majorité des services municipaux n'a pas subi de dommages directs et fonctionne encore, ce sont les habitants eux-mêmes qui ont dû rechercher, transporter, examiner et conserver les dépouilles de leurs voisins, dont un millier étaient morts ou avaient disparu. Il me semblait par conséquent que c'était là, dans cet endroit singulier, qu'on pouvait le mieux rendre compte de la manière dont ces hommes et ces femmes continuaient à vivre avec, au coeur, le sentiment douloureux de voir leur terre couverte de coprs sans vie. Pour traiter d'un tel sujet, rien ne me paraissait plus parlant que la froide réalité des cadavres. « C'est de cette réflexion qu'est née ma décision de noter au fil des jours le récit des scènes terribles qui se déroulaient dans les dépôts mortuaires pendant les deux mois et demi qui ont suivi le 11 mars. En choisissant de m'intéresser à celles et ceux qui s'étaient retrouvés là, je voulais retracer le processus qui les mènerait à s'approprier ces paysages dévastés, jonchés de cadavres, et témoigner aussi de la façon dont ils allaient se relever de cette épreuve et reprendre le cours de leur vie, malgré les blessures laissées par la catastrophe. »
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 18h. 6min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 19675
Résumé:« Quand on mélange l'eau et le vin, les gens ne boivent plus ni de l'eau ni du vin. En fait, ils ne savent plus ce qu'ils boivent, ni ce qu'ils veulent. » Petra Maier n'a pas dix-huit ans lorsqu'elle est arrêtée, en 1944, et expédiée dans un camp de travail en Sibérie. Après quelques mois, elle apprend que les femmes enceintes sont renvoyées chez elles. Mais comment faire quand il n'y a aucun homme à proximité et que la surveillance ne se relâche jamais ? Le miracle a lieu : Petra tombe enceinte et rentre en Roumanie. Dans l'immédiat après-guerre, elle ne retrouve rien ni personne de connu : tout est passé sous le contrôle, brutal, des nouvelles autorités. Avec courage, elle va élever son fils, Cezar, un enfant doué de capacités surnaturelles ; il devine l'avenir de ceux qui le regardent dans les yeux. La rumeur se répand, les gens se prennent à espérer que lui, au moins, pourra améliorer leur sort. La police secrète s'intéresse à l'enfant... Dans ce roman empreint de mystère, doté d'une force poétique rare, Eugen Uricaru entremêle les trajectoires de ses personnages, qui ont à choisir entre le pouvoir de l'imaginaire et la soumission à leur destin.
Lu par : Jocelyne Buttet Sovilla
Durée : 11h. 44min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 19673
Résumé:En ce lundi brumeux à Londres, la photo de Matthew, 5 ans, fait la une de toutes les télévisions, de tous les journaux : l'enfant a disparu à la sortie de l'école quelques jours auparavant, sans laisser de traces. Dans son cabinet, la psychanalyste Frieda Klein est témoin d'autres drames, ceux qui se jouent dans l'esprit de ses patients. Comme Alan, cet homme très perturbé qui lui confie son rêve : il ne cesse de songer à un enfant, roux comme lui, qui serait son fils. Curieusement, cette description correspond trait pour trait au petit Matthew. Frieda aurait-elle reçu sur son divan les confidences d'un kidnappeur d'enfant, d'un tueur peut-être ? Elle avertit le commissaire Karlsson en charge de l'affaire, mais il refuse de la prendre au sérieux... Persuadée qu'elle doit découvrir la vérité et retrouver Matthew, Frieda va essayer de percer les pensées les plus intimes d'un psychopathe. Pendant que près de là, dans les ténèbres, un petit garçon effrayé se demande si quelqu'un viendra jamais le délivrer de son cauchemar...
Lu par : Hervé Detrey
Durée : 4h. 13min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 19674
Résumé:Ce soir les conjurés tueront vraiment César. Alors que doit se jouer ce soir dans les arènes de Nîmes la pièce de Shakespeare Jules César, le commissaire Mary reçoit cet avertissement anonyme. A la fin de la représentation, l'acteur Faucon s'écroule sous les applaudissements de la foule - un merveilleux moment de théâtre. A ceci près qu'il a réellement été tué, dans la lumière des projecteurs. Et Mary de se lancer alors dans une enquête qui le conduira à explorer le monde du théâtre - entre fiction et réalité - et les relations complexes de tout ce petit monde qui semble, même après le tomber de rideau, jouer un rôle. Quel est donc cet assassin assez fou et assez brillant pour commettre un crime devant 20 000 spectateurs et la police qu'il a lui-même invité sur les lieux ? La peau de César s'achève sur un coup de théâtre soigneusement mise en scène, dont on ne dira rien pour ne pas gâcher le plaisir du futur lecteur.
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 54min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 19672
Résumé:Dans les cuisines du restaurant Casanova, le grand chef Dimytch Nikodimov officie sous le regard de Véra, sa jeune et délicate maîtresse. Un beau matin, le cuisinier disparaît et Vania Soleïlov, ancien flic et détective privé débutant, est chargé de l'enquête. La solution se trouvera dans l'assiette bien sûr... Ce court récit assaisonné à la sauce Kourkov - trois louches de suspense et un zeste d'absurde - est un véritable petit bijou.
Lu par : Pierre Luisoni
Durée : 2h. 52min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 19669
Résumé:Outrage aux moeurs ou étude de moeurs ? Alphonse a pondu un petit chef-d'oeuvre qui le conduit tout droit au tribunal ! Le roman d'une femme emportée par sa sexualité. L'érotisme de bon aloi à la portée des masses laborieuses ! N'empêche ! La justice passée, Alphonse s'en prend pour deux mois de cabane... Pourtant, l'outrage n'est-il pas plutôt dans le regard caressant du greffier qui le dévisage langoureusement ? Et dans celui de ces deux flics, Globuleux et Bon Papa, qui fignolent dans la vacherie et lui demandent de balancer un complice en échange d'une visite à l'hosto où sa mère se meurt... Et que dire de ces minables qui s'en payent une bonne tranche sur le dos de Princesse Gladys et de Saïgon... Clodos ou poètes, taulards ou pouilleux, que cherchent-ils tous ? La tendresse, bordel !
Lu par : Marina Froidevaux
Durée : 7h. 26min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 19670
Résumé:Le détective anonyme du Mystère de la crypte ensorcelée, du Labyrinthe aux olives et de L'Artiste des dames reprend du service dans une Barcelone frappée par la crise. Le Beau Romulo, son ancien compagnon de l'asile psychiatrique, a disparu. Sans un euro en poche, le détective n'hésite pas à réunir une équipe d'enquêteurs composée d'une statue vivante des Ramblas, d'un mendiant africain albinos, d'un livreur de pizzas, d'une fillette spécialiste du crochetage de serrures, d'une Russe accordéoniste de rue et d'une famille chinoise qui régente un bazar à côté du célèbre salon de coiffure transformé en quartier général. Très vite, l'enquête bifurque vers un projet d'attentat qu'il leur faudra déjouer à tout prix. Reprenant la tradition de la littérature picaresque espagnole, Eduardo Mendoza manie la satire comme un bâton de dynamite et passe l'Europe au crible du ridicule pour offrir au lecteur un roman désopilant et d'une grande lucidité.
Lu par : Hervé Detrey
Durée : 5h. 55min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19667
Résumé:Roberto, carabinier infiltré pendant un temps dans des réseaux internationaux de narcotrafiquants, tente de comprendre comment sa vie a basculé et pourquoi ses repères se sont évanouis en remontant à l'époque apparemment heureuse de sa jeunesse en Californie, quand il surfait sur l'océan en compagnie de son père. Emma, ancienne actrice en analyse chez le même médecin, s'efforce de tourner la page d'un mariage désastreux qui s'est achevé tragiquement. Giacomo, enfant solitaire, secrètement amoureux de la plus jolie fille de sa classe, s'entretient la nuit avec Scott, un chien imaginaire qui le guide dans le monde des rêves à la recherche du père dont il a été privé trop tôt. Ces personnages se croisent, se rencontrent et s'entraident dans une Rome à la fois familière et étrangère, mystérieuse et enchanteresse, en quête de leur vérité intime et mus par le désir d'affronter l'existence à la manière du surfeur qui attend patiemment la vague pour la chevaucher.
Lu par : Jacques Zurlinden
Durée : 2h. 27min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 19671
Résumé:Il y a des histoires qui sont des déclarations de guerre. Voilà pourquoi, moi, Jeanne, je me suis tue. J'ai préféré attendre que le temps passe. J'étais petite, à l'époque, dix ans et quelques mois. Mais l'heure est venue de parler. L'ignoble Nécrole a encore frappé. L'objet de sa bataille ? Les mots. Il y en a trop, beaucoup trop. Pour faire taire tous les incurables bavards, tous les poètes, tous les chanteurs, tous les raconteurs d'histoires, tous les amoureux qui disent et redisent leur flamme, tous les humiliés qui protestent, tous les journalistes qui révèlent et, trouve-t-il, polluent de leurs nuisances sonores jusqu'à la nuit, Son Excellence le très distingué Président à vie a édité une liste, pompeusement intitulée « Circulaire VIII.2012.3917 », celle des trente mots désormais autorisés. Pour Mlle Laurencin et les élèves de CM2 de l'école Simon-Bolivar, c'est décidé, la guerre est déclarée. Parmi les escales de cette croisade sur terre et sur mer bientôt suivie par l'île tout entière, on apprendra comment le Palais de justice fait les choux gras de deux brasseries aux drôles de spécialités et ce que le Pays de Tendre dit de l'amour, on découvrira qu'une salle de classe et un centre de stratégie militaire ne sont pas si éloignés et qu'une ancienne mine d'or peut renfermer bien plus précieux que le plus précieux des métaux. Amis ou ennemis de Jeanne, en campagne ou non contre l'ignorance, on croisera le chemin d'une petite foule d'êtres et de créatures, parmi lesquels un élégant, trois jeunes à capuches, des pompiers, un Capitan accablé et très prolixe en anecdotes, un brochet plus vrai que nature, deux vieilles soeurs aussi virulentes qu'érudites, un certain M. Henri et, toujours, la furie de Nécrole.Plus de dix ans après sa première déclaration d'amour à la grammaire, Erik Orsenna ne pouvait conclure qu'en explorant la fabrique des mots. Qui les crée ? D'où viennent-ils ? Comment combinent-ils leurs origines ? A-t-on le droit d'en inventer de nouveaux ? Si l'anglais domine toutes les autres langues, nos mots à nous seront-ils réduits à l'esclavage ? À toutes ces questions, Jeanne répond, une fois de plus, et raconte ses aventures au sein de cette mystérieuse fabrique.
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 3h. 9min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 19668
Résumé:Un homme - Karim - débarque au Caire après plus d'un demi-siècle d'absence. Depuis quatre jours, l'Égypte est en pleine révolution, plongée dans son printemps arabe. S'agit-il uniquement d'un retour aux sources ? Un besoin de voir de ses yeux ce que les témoignages rapportaient depuis son départ, en 1967 ? Serait-ce un ultime rendez-vous avec son passé ? Car, on le pressent, les jours de cet homme sont comptés. Un mélange de tout cela sans doute, inspiré avant tout par le désir éperdu de retrouver Nadia, une femme aimée quarante-cinq ans plus tôt. Insensiblement, ce pèlerinage, prendra la forme d'un voyage initiatique. Karim va revivre les événements qui marquèrent sa jeunesse, tout en se confrontant à un monde différent de celui qu'il a connu.
Lu par : Claude Fissé
Durée : 4h. 45min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 19666
Résumé:«Quiconque visite le Rwanda est saisi par la beauté de son paysage, mais il est aussi effaré par la violence de son histoire postcoloniale. Tout se passe comme si le bien et le mal irrémédiablement inséparables avaient scellé sous ses mille et une collines un pacte d'amitié. Il y a d'un côté les collines ; il y a, de l'autre, le million de crânes qui les jonchent. Mais ce qui prédomine, dans ce récit, c'est le remords des survivants, qui se traduit par les multiples cauchemars de l'auteur. D'où ce désir manifeste de donner aux disparus une digne sépulture de mots à la fois pour apaiser les vivants et sanctifier les morts. Avec Inyenzi, Scholastique Mukasonga a écrit un récit autobiographique précieux, un document qui nous éclaire de l'intérieur sur le Rwanda postcolonial, un livre que je rangerais à côté du Suicide d'une république de Peter Gay : l'un et l'autre nous montrent à partir d'une succession de faits pourquoi le génocide était hélas, trois fois hélas, inévitable.» Boniface Mongo-Mboussa.
Lu par : Cécile Gavlak
Durée : 3h. 46min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 19665
Résumé:L'Iguifou («igifu» selon la graphie rwandaise), c'est le ventre insatiable, la faim, qui tenaille les déplacés tutsi de Nyamata en proie à la famine et conduit Colomba aux portes lumineuses de la mort... Mais à Nyamata, il y a aussi la peur qui accompagne les enfants jusque sur les bancs de l'école et qui, bien loin du Rwanda, s'attache encore aux pas de l'exilée comme une ombre maléfique... Kalisa, lui, conduit ses fantômes de vaches dans les prairies du souvenir et des regrets, là où autrefois les bergers poètes célébraient la gloire des généreux mammifères... Or, en ces temps de malheur, il n'y avait pas de plus grand malheur pour une jeune fille tutsi que d'être belle, c'est sa beauté qui vouera Helena à son tragique destin... Après le génocide, ne reste que la quête du deuil impossible, deuil désiré et refusé, car c'est auprès des morts qu'il faut puiser la force de survivre. L'écriture sereine de Scholastique Mukasonga, empreinte de poésie et d'humour, gravite inlassablement autour de l'indicible, l'astre noir du génocide.
Lu par : Geneviève Roy
Durée : 5h. 5min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 19662
Résumé:1905, quelque part en Touraine... Le sang couvre le corps du jeune Emile. Titubant dans la rue, il ne remarque pas les regards effarés des passants. Il serre contre son coeur, comme un trésor précieux, la seule famille qui lui reste : Camille, sa petite soeur de huit ans. Elle est comme morte. Le jeune garçon vient de tuer celui qui a causé son martyre. Guidé par son instinct, il se réfugie dans une église et implore le ciel de lui venir en aide. Il est aussitôt arrêté par l'inspecteur Fayol, policier zélé qui voit en lui le coupable parfait. Mais en ces lieux, une femme s'interpose : soeur Marie Josée, servante de Dieu et qui oeuvre pour les plus faibles. Elle devient l'ange gardien du jeune Emile car elle croit en son innocence, à sa bonne nature et à sa possible réhabilitation. Mais elle le sait, malgré sa détermination et sa foi, le diable est puissant. L'inspecteur Fayol est tout près...
Lu par : Gilbert Wursten
Durée : 14h. 36min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 19660
Résumé:« - Un kaïken - Tu sais à quoi ça sert ? - C'est avec ce poignard que les femmes samouraïs se suicidaient. Elles se tranchaient la gorge... » Olivier Passan de la Criminelle. Un solitaire fasciné par le Japon traditionnel, un samouraï des temps modernes, lancé dans la traque d'un insaisissable criminel, « l'Accoucheur », qui éventre les femmes au terme de leur grossesse pour brûler le fetus. Ce flic tourmenté, complexe, cherche à comprendre les raisons du naufrage de son couple : Naoko, sa femme japonaise, a demandé le divorce mais ils se sont entendus pour une garde alternée de leurs deux enfants. Cette vie de famille chaotique est au centre de l'intrigue, qui joue des similitudes entre l'histoire personnelle de Passan et celle du serial killer que l'on est tenté de voir comme son double monstrueux. Mais le suicide de l'Accoucheur ne résout rien et Passan devra aller jusqu' à Tokyo recherché la clé de l'énigme...
Lu par : Pierre Luisoni
Durée : 2h. 37min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19663
Résumé:Une petite gare de Bohême pendant la guerre. Un stagiaire tente de s'ouvrir les veines par chagrin d'amour. L'adjoint du chef de gare profite d'une garde de nuit pour couvrir de tampons les fesses d'une jolie télégraphiste. Mais il y a aussi l'héroïsme, le sacrifice, la résistance. Dans un pays qui a donné tant de richesses à la littérature mondiale, Hrabal est un des plus grands.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 37h. 59min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19664
Résumé:Anna n'est pas qu'une femme, qu'un splendide spécimen du sexe féminin, c'est une femme dotée d'un sens moral entier, tout d'un bloc, prédominant : tout ce qui fait partie de sa personne est important, a une intensité dramatique, et cela s'applique aussi bien à son amour. Elle n'est pas, comme Emma Bovary, une rêveuse de province, une femme désenchantée qui court en rasant des murs croulants vers les lits d'amants interchangeables. Anna donne à Vronski toute sa vie. Elle part vivre avec lui d'abord en Italie, puis dans les terres de la Russie centrale, bien que cette liaison « notoire » la stigmatise, aux yeux du monde immoral dans lequel elle évolue, comme une femme immorale. Anna scandalise la société hypocrite moins par sa liaison amoureuse que par son mépris affiché des conventions sociales. Avec Anna Karénine, Tolstoï atteint le comble de la perfection créative. Vladimir Nabokov.