Recherche par mot-clé: Suicide assisté
3 résultats.
Lu par : Bernard Grandjean
Durée : 6h. 5min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 75681
Résumé:Albert Biollaz, officier instructeur de carrière de l'armée suisse, vit une retraite aisée et heureuse en compagnie de son épouse et de son fils, Vincent, étudiant en lettres. Atteint d'une maladie incurable, il prend contact avec une association nommée S.O.S. (Sterben Ohne Schmerzen). Il désire organiser son départ de ce monde, comme il a mené toute sa vie. Peu à peu, Albert Biollaz s'égare, perd ses certitudes et se retrouve seul face à la " Grande Faucheuse ". Pour son premier roman, totalement fictif, Frédéric Lamoth dresse un portrait très ironique de la société helvétique, entre armée, service à la Patrie et vie simple. Sans jamais être méprisant, l'auteur nous touche par la justesse de son regard sur une certaine Suisse, aujourd'hui en grande mutation. Le roman marque aussi en profondeur par son sujet délicat et douloureux : organiser sa propre mort et y faire face.
Lu par : Renaud Clert
Durée : 5h. 49min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 74681
Résumé:Quand son père, atteint d’un cancer en phase terminale, lui demande de le conduire de Hanovre jusqu’en Suisse, dans une clinique d’aide au suicide, Martha appelle en renfort Betty, son amie depuis vingt ans. Commence alors une odyssée burlesque, qui se prolongera en Italie, où Betty tentera de retrouver la tombe de son beau-père tromboniste et menteur, dans l’espoir de se libérer d’un pan douloureux de son histoire personnelle : le roman de la route devient polar. De Berlin aux Cyclades, au fil des rebondissements et des rencontres, Betty et Martha cherchent un père, des pères, et se déprennent du regret des occasions manquées.
Lu par : Denise Michel-Loup
Durée : 1h. 17min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 36807
Résumé:Ces pages ont été rédigées durant les mois qui ont suivi la mort d’Anne, tandis que les émotions immédiates, encore bien présentes en moi, me permettaient de revisiter les étapes significatives du cheminement sans trop en reconstruire le déroulement. La mort fait partie intégrante de la vie, elle n’est pas un événement fortuit, improbable («?S’il m’arrivait un jour quelque chose…?» me disait mon père, alors qu’il approchait des cent ans), mais ce qui arrivera de façon certaine et inéluctable pour nous tous. Quelle que soit la manière – tranquille ou violente, attendue ou brutale, tardive ou précoce – dont elle survient. Aussi, écrire au sujet de la mort, c’est écrire au sujet de la vie et de cette dimension de notre condition humaine, la finitude. Avec toute la palette d’émotions, de questionnements et de représentations que celle-ci suscite en nous. S’il s’agit dans ces pages d’une histoire singulière, elle peut néanmoins, par résonance, ouvrir sur une dimension universelle…