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Lu par : Francine-Charlotte Gehri
Durée : 5h. 35min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15334
Résumé:Un homme. Un homme parmi d'autres. Le destin du personnage de Philip Roth est retracé depuis sa première et terrible confrontation avec la mort sur les plages idylliques de son enfance jusque dans son vieil âge, quand le déchire la vision de la déchéance de ses contemporains et que ses propres maux physiques l'accablent. Entre-temps, publicitaire à succès dans une agence à New York, il aura connu épreuves familiales et satisfactions professionnelles. D'un premier mariage, il a eu deux fils qui le méprisent et, d'un second, une fille qui l'adore. Il est le frère bien-aimé d'un homme sympathique dont la santé vigoureuse lui inspire amertume et envie, et l'ex-mari de trois femmes, très différentes, qu'il a entraînées dans des mariages chaotiques. En fin de compte, c'est un homme qui est devenu ce qu'il ne voulait pas être. Ce roman puissant - le vingt-septième de Roth - prend pour territoire le corps humain. Il a pour sujet l'expérience qui nous est commune et nous terrifie tous.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 8h. 56min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 10633
Résumé:Quatrième de couverture : Quand une anthropologue notoire arrive dans les montagnes sacrées du pays Anasazi, elle est d'abord furieuse de découvrir que le site funéraire pré-Navajo a été pillé ; puis elle est terrifiée par ce qui surgit de l'ombre. Des semaines plus tard, le lieutenant Joe Leaphorn, en examinant un rapport selon lequel l'anthropologue a dérobé de précieux objets, découvre aussi qu'elle a disparu. L'affaire prend un tour sinistre lorsque Jim Chee, à la recherche de materiel de fouilles disparu également, trouve autre chose de nettement plus macabre dans une fosse. Leaphorn et Chee devront unir leurs forces pour exhumer le passé et résoudre une longue série de meurtres, plus étranges les uns que les autres.
Lu par : Isabelle Chabanel
Durée : 6h. 31min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 15208
Résumé:Présentation de l'éditeur : " Aucun livre ne m'a autant coûté. Sa matrice est un journal intime que j'ai entrepris de tenir dès les premières semaines du deuil, après le suicide de notre fils Samuel, âgé de 24 ans... Au plus épais du brouillard qui avait alors avalé tous mes repères, il me semblait discerner quelques lucioles sur le sentier incertain que je suivais en funambule. Cinq ans plus tard, j'ai repris des éléments de ce document autobiographique en les rédigeant à la troisième personne, et en les accompagnant de méditations ou de réflexions formulées en "je". Déjà, j'avais commencé à aborder publiquement ces sujets demeurés largement tabous dans nos sociétés occidentales : la mort, le suicide, l'au-delà, notre rapport aux réalités invisibles... Et, chaque fois ces interventions suscitaient des confidences de la part de personnes bouleversées qui m'encourageaient à témoigner. Le chemin de vérité qui mène à une Vie plus forte que l'irréparable n'est pas l'apanage des croyants. Le clivage est ailleurs. Il dépend de l'orientation choisie : malgré ou à travers la mort de notre proche, désirons-nous ardemment aller vers ce qui vit ou décidons-nous d'étouffer ce désir en nous ? "
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 2h. 44min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
Numéro du livre : 11570
Résumé:" Ce sont les premières heures de ma présence en Inde, et je ne sais pas dominer la bête assoiffée, en moi emprisonnée, comme en cage. Je persuade Moravia de faire du moins quelques pas près de l'hôtel et de respirer quelques bouffées de cet air, d'une première nuit en Inde... " En 1961, Pasolini fit un voyage avec Alberto Moravia et Elsa Morante. Le livre intensément lyrique qu'il en rapporta n'est pas vraiment un récit, mais une " odeur " respirée au cours de ses errances nocturnes. Les visions de l'extrême misère, les spectacles d'une étrange spiritualité sont pour lui comme autant d'étapes d'une descente au sein d'une humanité primitive, moins éloignée qu'on ne pourrait le croire du décor des Ragazzi ou d'Une vie violente.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 4h. 27min.
Genre littéraire : Contes et légendes
Numéro du livre : 11782
Résumé:Contient: Clair de lune. Un coup d'Etat. Le loup. L'enfant. Conte de Noël. La reine Hortense. Le pardon. La légende du Mont-St-Michel. Une veuve. Mademoiselle Cocotte. Les bijoux. Apparition. La porte. Le père. Moiron. Nos lettres. La nuit. L'enfant. En voyage. Le bûcher
Lu par : Sandrine Strobino
Durée : 1h. 51min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 11441
Résumé:"L'amour est visionnaire. Il voit la divine perfection de l'être aimé au-delà des apparences auxquelles le regard des autres s'arrête." « Entre le désir profond de se lier, de s'engager corps et âme, et le désir tout aussi profond de préserver sa liberté, d'échapper à tout lien, quel tohu-bohu ! Or, pour vivre ces exigences contradictoires et d'égale dignité sans être écartelé, il n'y a aucun secours à attendre ni de la philosophie, ni de la morale, ni d'aucun savoir constitué. Il est probable que les seuls modèles adaptés pour nous permettre d'avancer sont la haute-voltige et l'art du funambule. Un mariage ne se contracte pas. Il se danse. A nos risques et périls. »
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 1h. 45min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
Numéro du livre : 11448
Résumé:Voyage intérieur d'un adolescent à la recherche de son identité. Le jeune auteur semble avoir trouvé en Suisse le cadre ferme et immuable nécessaire à la constitution de sa personnalité
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 13h. 47min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 12449
Résumé:Les Confessions est une oeuvre autobiographique d'Augustin d'Hippone, écrite entre 397 et 398, où il raconte sa quête de Dieu. Il a donc un double but : avouer ses péchés et ses fautes directement à Dieu (confession au sens chrétien) mais aussi proclamer la gloire de Dieu. L'oeuvre est composée de treize livres. « Les treize livres de mes Confessions louent le Dieu juste et bon de mes maux et de mes biens, ils élèvent vers Dieu l'intelligence et le coeur de l'Homme. » C'est un ouvrage fondamental, tant par la profondeur des analyses qui y sont faites que par la qualité du style de l'écriture. (wikipedia)
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 25h. 22min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 11984
Résumé:Le volume entier de la Pléiade contient : L'adolescent ; Les nuits blanches ; Le sous-sol ; Le joueur ; L'éternel mari .
Lu par : Michel Joyet
Durée : 9h. 4min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 11918
Résumé:Âgé de cinquante-deux ans et deux fois divorcé, David Lurie enseigne la poésie romantique et la communication à l'université du Cap. Encore jeune de corps et de coeur, ce Don Juan du campus se laisse aller à un dernier élan de désir, d'amour peut-être. Mais la petite étudiante se moque bien de Wordsworth et de Byron et l'aventure tourne mal. Convaincu de harcèlement sexuel, David Lurie démissionne. Réfugié auprès de sa fille Lucy, dans une ferme isolée, il tente de retrouver un sens au seul lien qui compte encore à ses yeux. Mais les temps ont changé. La fracture sociale est arrivée jusqu'au coeur de ce pays et la violence n'épargne pas les campagnes. L'idylle pastorale tourne au cauchemar.
Lu par : Anne-Laure Sahy
Durée : 6h. 20min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12045
Résumé:Premier grand texte littéraire écrit en portugais et portant sur la guerre en Angola (à partir de 1960). L'oeuvre est complexe, entremêlant les souvenirs d'une enfance au sein de la bourgeoisie salazariste, la cour désabusée faite à une femme rencontrée dans un bar, la guerre coloniale et la tentation de l'amour. L'auteur est médecin, poète et écrivain. Intérêt littéraire. Accès assez difficile (surtout le début). Roman-monologue.
Lu par : Claude Fissé
Durée : 3h. 47min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 10627
Résumé:" Un soir, après le repas, j'allai encore en hâte au bord du lac drapé de je ne sais plus très bien quelle mélancolie pluvieuse et sombre. Je m'assis sur un banc sous les branches dégagées d'un saule et ainsi, m'abandonnant à des pensées vagues, je voulus m'imaginer que je n'étais nulle part, une philosophie qui me procura un bien-être étrange et délicieux. L'image de la tristesse sur le lac, sous la pluie, était magnifique. Dans son eau chaude et grise tombait une pluie minutieuse et pour ainsi dire prudente. Mon vieux père avec ses cheveux blancs m'apparut en pensées, ce qui fit de moi un enfant timide et insignifiant, et le portrait de ma mère se mêla au doux et paisible murmure et à la caresse des vagues. Avec l'étendue du lac qui me regardait comme je le faisais moi-même, je découvris l'enfance qui me considérait elle aussi, comme avec de beaux yeux limpides et bons..."
Lu par : Martine Moinat
Durée : 5h. 41min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 11207
Résumé:Il se l'était juré : cette fois, on ne l'y reprendrait plus. Son premier voyage chez les Dowayos l'avait lessivé (Un anthropologue en déroute, Payot, 1992). Transformé en banquier, en infirmier, en chauffeur, manipulé, vide, exploité jusqu'à l'os par une tribu hilare, il avait fini par comprendre que le sujet d'étude c'était lui pour tous ces braves montagnards. Et pourtant... Lorsqu'il apprend que ces Dowayos vont reprendre une très ancienne cérémonie de circoncision, il ne tient plus, et repart. Préparé au pire cette fois, avec ses provisions de christmas pudding et de cheddar. Mais non ! Ce qui va lui arriver dépassera tout ce qu'il avait imaginé, d'où un nouveau livre d'une assez extraordinaire cocasserie. Mais peut-être est-ce cela, ce besoin maladif de se précipiter tête baissée dans un monde indéchiffrable, qui définit l'anthropologue, et non l'étude distanciée de l'autre. Sous la drôlerie du propos, Nigel Barley, mine de rien, conduit une réflexion singulièrement aiguë sur la compréhension entre les cultures.
Lu par : Martine Moinat
Durée : 7h. 14min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 11209
Résumé:Dans ce livre, un ethnologue va vivre parmi une tribu camerounaise pour étudier leur culture. Au lieu de nous donner l'image classique de l'ethnologue aventureux, savant et qui garde la face en toutes circonstances, il nous livre toutes ses galères notamment avec l'administration camerounaise, et ses difficultés à s'intégrer aux indigènes. Les indigènes ne cessent de se moquer de lui! Ce livre est terriblement drôle : en le lisant, j'ai eu plusieurs fous rires, tellement les situations décrites sont cocasses. Derrière le ton léger et humoristique se cache une charge féroce contre l'ethnologie classique, qui se veut toujours objective, celle de Lévi-Strauss par exemple. L'auteur renverse de nombreux fondements de l'ethnologie, par le dénigrement et l'auto-dérision.
Lu par : Henriette Kunzli
Durée : 7h. 14min.
Genre littéraire : Roman terroir
Numéro du livre : 15149
Résumé:1939, Castelroche est un village niché entre montagne et plaine, dominant la Méditerranée. La population vit repliée sur elle-même avec ses codes, ses histoires, ses médisances. La famille Philibert, de la ferme Saint-Hubert, a adopté Adrien, enfant de l'Assistance publique. Celui-ci se lie aussitôt avec les petits campagnards des alentours. Ensemble, ils forment une bande inséparable. A la rentrée d'octobre, Louis Rosenberg est nommé instituteur. Rapidement, le maître devine un lourd secret tu depuis des années. Des visions, un long rêve, une petite fille et sa mère le long du chemin qui mène au cimetière, la montagne et ses énigmes, le silence des protagonistes, rien n'arrête Louis, déterminé à reconstituer le puzzle de cette affaire étrange. Avec l'aide d'Adrien et de ses amis, il parvient à dessiner la trame d'une sordide histoire dans laquelle tous les villageois s'avèrent plus ou moins impliqués.
Lu par : Etienne Junod
Durée : 11h. 27min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 10187
Résumé:Chantre de la Louisiane et de l'Helvétie, longtemps grand reporter et chroniqueur humoriste, devenu romancier et reporter-historien, Maurice Denuzière porte sur nos contemporains un regard caustique et tendre, sceptique mais confiant dans la nature humaine. Du Mississippi au Léman, des bayous de Louisiane aux parchets de vignes du cantons de Vaud, du macadam parisien à la capitale islandaise, des îles enchanteresses de l'océan Indien aux vertes collines d'Écosse, doué d'une insatiable curiosité, il a l'art de voir, il sait regarder, il aime écouter. Fruit de trois décennies d'observation, cette sélection de chroniques montre à quel point, malgré de prodigieux progrès techniques et de profonds bouleversements économiques, les mentalités restent inchangées. Finalement, tout semble immuable sur notre planète où le Cajun murmure « laisse le bon temps rouler », tandis que le Vaudois proclame « il n'y a pas le feu au lac ».
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 17h. 39min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 10959
Résumé:De retour à Paris, le narrateur héberge Albertine chez lui. Sa présence est à peu près tenue secrète car le narrateur veut à tout prix empêcher qu'elle entre en contact avec des gomorrhéennes ou d'autres hommes. Il voit très peu de personnes et fait accompagner Albertine par Andrée, leur amie commune en qui il a toute confiance, ou par un chauffeur dévoué. Le soir, ils se retrouvent en des tête-à-tête de plus en plus tendus et fantasmatiques. Pendant cette période, il se rend à une soirée chez les Verdurin où il pense trouver Mlle Vinteuil. Celle-ci est absente mais on joue une symphonie composée par son père et publiée par elle. Cette symphonie réveille chez le narrateur une aspiration vers l'absolu qu'il avait depuis longtemps abandonnée. La soirée se termine par une scène de rupture entre M. de Charlus et Morel manigancée par Mme Verdurin. A son retour chez lui, le narrateur a une première dispute avec Albertine. Celle-ci est furieuse qu'il soit allé en cachette chez les Verdurin après lui avoir interdit de s'y rendre. Les choses se dégradent entre le narrateur, de plus en plus manipulateur, et Albertine, qui semble agacée. Un matin, Françoise annonce au narrateur qu'Albertine est partie.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 22h. 49min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 10817
Résumé:Sodome et Gomorrhe poursuit, en même temps qu'il s'y imbrique, le précédent roman, le Côté de Guermantes. C'est, pour le narrateur, l'apogée de sa vie mondaine. La première partie est dominée par le personnage de Charlus et son homosexualité. Proust se livre ici à une analyse rarement faite avant lui dans la littérature, celle des « minorités érotiques ». Il veut leur donner dans son oeuvre la place qui est la leur dans la société, celle d'une « partie réprouvée de la collectivité humaine », les « hommes-femmes ». L'homosexualité de Charlus, qui est le pendant de la propre homosexualité de Proust, n'est pas condamnée, sinon dans ses excès de comportement. Proust s'applique à analyser, en même temps que les différentes natures d'« invertis », la difficulté pour eux de trouver la satisfaction de leurs désirs. La seconde partie revient sur les fréquentations mondaines. Au monde des Guermantes vient s'ajouter celui des Verdurin, « au petit clan » auquel Swann a appartenu autrefois et que le narrateur fréquente assidûment. Mais le roman est avant tout consacré au récit de la passion grandissante du narrateur pour Albertine.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 22h. 33min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 10382
Résumé:Ce deuxième volet du cycle de 'La recherche' s'attache à une autre partie de l'enfance de Proust. C'est le milieu aristocrate et mondain qu'il dépeint ici avec ironie.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 11h. 57min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 11039
Résumé:Albertine Disparue, dont le titre original est La fugitive, est le sixième tome d'À la recherche du temps perdu de Marcel Proust publié en 1927 à titre posthume. L'incipit d'Albertine disparue, proféré par Françoise, la domestique du narrateur, contient en germe le noeud du drame : "Mademoiselle Albertine est partie! Comme la souffrance va plus loin en psychologie que la psychologie!". En effet, Albertine disparue constitue une prodigieuse analyse de la souffrance amoureuse, qu'atténue lentement - "dans le temps"- le travail du deuil. Marcel essaie pourtant de faire revenir Albertine chez lui par tous les moyens après le départ de celle-ci (il feint l'indifférence, envoie son influent ami Saint-Loup, promet à Albertine l'achat d'un yacht et d'une Rolls-Royce...). Mais tous ses efforts seront vains ; Albertine en effet meurt dans un accident de cheval (du point de vue de la biographie de Proust, il convient de rapporter cet épisode à la mort d'Alfred Agostinelli, secrétaire et amant de Proust, lui aussi prisonnier, fugitif, puis disparu dans un accident d'avion). Le narrateur apprendra par la suite qu'Albertine s'était décidée à revenir vivre auprès de lui. L'oubli fait alors progressivement son oeuvre dans la vie du narrateur, atténuant sa souffrance. Le récit se poursuit par l'évocation d'un voyage à Venise, tout à la fois dernier adieu à la jeunesse pour le narrateur