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Recherche par mot-clé: Maladies

73 résultats. Page 4 sur 4.

Durée:3h. 12min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:32325
Résumé: Un couple : Emma, une secrétaire devenue aide-soignante, et Nathan, un professeur désemparé face à la maladie mentale de son épouse. Ils en ont vu de toutes les couleurs, le sombre et le lumineux.
Durée:7h. 59min.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:32290
Résumé: Surpoids, dépression, diabète, maladies de peau... et si tout se jouait dans l'intestin ? Au fil des pages de son brillant ouvrage, Giulia Enders, jeune doctorante en médecine, plaide avec humour pour cet organe qu'on a tendance à négliger, voire à maltraiter. Après une visite guidée au sein de notre système digestif, elle présente, toujours de façon claire et captivante, les résultats des toutes dernières recherches sur le rôle du «deuxième cerveau» pour notre bien-être. C'est avec des arguments scientifiques qu'elle nous invite à changer de comportement alimentaire, à éviter certains médicaments ainsi qu'à appliquer quelques règles très concrètes en faveur d'une digestion réussie. Irrésistiblement illustré par Jill Enders, la soeur de l'auteur, voici un livre qui nous réconcilie avec notre ventre. Succès surprise, Le Charme discret de l'intestin s'est vendu à plus de un million d'exemplaires en Allemagne et sera publié dans une trentaine de pays.
Durée:6h.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:31348
Résumé: En 1976, un virus mortel fait son apparition dans la forêt du Congo et disparaît aussitôt. Depuis quarante ans, Ebola se manifeste de façon dévastatrice, tuant 90% de ses victimes. Entre deux épidémies, il ne laisse aucune trace, se fond dans la jungle. Des milliers d'échantillons d'excréments de cadavres sont analysés à la recherche du réservoir hôte, sans résultats. David Quammen a suivi toutes les recherches sur le terrain et en liaison avec les laboratoires. C'est cette aventure qu'il nous raconte au jour où la seule certitude des scientifiques, tout comme pour la peste ou la rage, est que le virus se déclare lorsque l'écosystème a été bouleversé du fait de l'homme ou de la nature.
Durée:2h. 36min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:30925
Résumé: Pour l'enseignante retraitée Odile Fleury, le 4ème âge vécu en couple s'annonçait serein. Jusqu'à ce fameux jour où son époux, qu'elle a envoyé acheter des fleurs, se perd dans la cité.
Durée:9h. 30min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:31160
Résumé: Une nuit, C. Pinault se réveille avec une douleur atroce et ne parvient pas à se lever. Son corps ne lui obéit plus et il se sent comme enfermé dans une sorte de bocal. Les médecins lui révèlent qu'il est atteint du syndrome Guillain-Barré qui affecte les nerfs périphériques. Il témoigne de son combat pour sortir de la tétraplégie.
Durée:5h. 18min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:31184
Résumé: A 15 ans, Anne Bouferguène découvre qu'elle est porteuse du sida. A l'époque, c'est une condamnation à mort. Elle trouve alors une parade : se construire en résistance contre le VIH, l'ignorer. Aucun symptôme n'apparaît. Anne parvient à mener une vie normale, couronnée par la naissance de deux enfants et une belle carrière professionnelle, jusqu'au jour où ce déni l'étouffe. Avec énergie et humour, l'auteur offre un éclairage personnel sur sa maladie et en révèle des aspects méconnus du grand public : différence entre séropositivité et stade sida, possibilité de concevoir des enfants séronégatifs grâce à des protocoles de grossesse spécialisés, difficulté à se déplacer à l'étranger, effets secondaires des trithérapies, etc. Au sommet de sa carrière et n'ayant plus rien à prouver, elle a décidé de briser le silence.
Lu par:Jean Frey
Durée:7h. 38min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:19038
Résumé: Roth traite ici des thèmes qui lui sont devenus familiers. À nouveau, le corps, la maladie, la diminution physique, la mort. La poliomyélite, horrible maladie qu'on ne savait pas vaincre et qui tuait les enfants ou les paralysait, sévit dans le quartier italien de Newark. Nous sommes en 1944, c'est-à-dire en pleine guerre, alors que beaucoup de jeunes hommes sont sur le front, en Europe. L'épidémie gagne le quartier juif et la psychose se répand. Les efforts pour enrayer la maladie sont vains et les familles, affolées, en arrivent à prendre des précautions excessives, quand ce n'est pas à rejeter l'étranger, celui qu'on va d'emblée soupçonner et exclure. Bucky Cantor, un professeur de gymnastique, juif lui aussi, élevé, après que sa mère est morte et que son père a été arrêté pour vol, par un grand-père rigoureux et hautement moral, est le héros de la communauté (il a repoussé à lui seul une bande de voyous italiens venus « répandre la polio »). La suite du roman retrace l'histoire malheureuse de cet homme scrupuleux, responsable, d'une intelligence limitée, qui va prendre sur lui la responsabilité du mal. Si ce n'est pas un dieu ignoble qui est l'auteur de ces crimes - le dieu qui a tué sa mère et lui a donné pour père un voleur - alors c'est peut-être lui, Bucky Cantor, qui portait en germe, sans le savoir, la maladie et qui l'a répandue autour de lui. En effet, pour suivre sa fiancée, il a abandonné ses élèves malades - un abandon qu'il ne pourra se pardonner - puis découvert qu'il avait lui-même contracté la polio. D'un endroit à l'autre, il l'a transmise aux enfants, ses protégés, qui meurent comme des mouches. « Je voulais aider les gosses et les rendre forts, au lieu de cela, je leur ai fait un mal irréparable ». Enfin, il tombe malade. A la fin de l'ouvrage, il n'est plus qu'un homme bourrelé de culpabilité et de remords, qui a renoncé à tout, vit seul et pauvrement et, surtout, qui a perdu l'usage de son corps merveilleux - avec lui, avec la perte de sa mobilité, toute confiance en soi. L'image finale est une sorte d'hymne au corps, à sa force, à sa beauté quand il est jeune : le lancer de javelot tel que le pratiquait Cantor. L'histoire est racontée avec la force coutumière de Roth et le livre se lit d'un trait.
Durée:4h. 18min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:9568
Résumé: Comment, après le terrible accident vasculaire qui lui a valu de se retrouver "emmuré vivant", Philippe Vigand a-t-il survécu ? Il raconte ici l'enfer des mois d'hôpital et les combats qu'il a dû mener pour réapprendre à vivre, à jamais différent. Sa victoire, c'est aussi celle de sa femme, Stéphane, qui n'a jamais douté, ni renoncé. Chacun donne ici sa version d'une histoire hors du commun, faite de courage, d'obstination et d'amour. Un formidable hymne à la vie.
Lu par:Simone Chaix
Durée:8h.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:13398
Résumé:
Durée:5h. 55min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:3574
Résumé: A l'âge de 43 ans Robert Schumann se jette dans le Rhin. Mais des mariniers, qui l'ont vu, le sauvent, croyant lui venir en aide. Quelques jours plus tard il est interné à la clinique d'Endenich, près de Bonn. Il n'y compose plus. Lentement son état se dégrade, en dépit de quelques sursauts de lucidité. Deux ans et demi plus tard, il meurt. Quelle était donc la "folie" de Robert Schumann ? De quelle maladie était-il atteint ? Dans quelle mesure son oeuvre a-t-elle été influencée par ce processus morbide ? Enfin, le travail de création a-t-il, à son tour, fait évoluer la maladie ? Telles sont les questions auxquelles se propose de répondre Philippe André, essayant au travers des témoignages de Schumann et de ses contemporains de rétablir la vérité sur ce "cas difficile" mais sans jamais perdre de vue l'essentiel : sa musique. Une approche neuve, en ceci que les analyses musicales et médicales sont pour la première fois conjuguées, allant de la sensibilité des unes à la rigueur des autres. Philippe André est psychiatre et psychanalyste. Il pratique lui-même la musique et prépare un ouvrage sur Franz Liszt.
Durée:2h. 51min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:14923
Résumé: J'ai tout mangé. C'est la seule fois où j'ai menti. C'est même en mentant que j'ai compris. J'ai commencé, comme tout le monde, avec des 'Mmmm', j'ai embrayé plus tard sur des 'Ouiiii'. Et puis je me suis surpris à en rajouter, comme je ne fais pas d'habitude. Je comprendrais plus tard qu'il s'agissait de me convaincre moi-même. Tout était muet. J'avais perdu le goût. C'était tellement insensé que je n'avais pas trouvé les mots pour le dire.
Durée:4h. 10min.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:14175
Résumé: Présentation de l'éditeur : Chacun peut préparer sa mort - dont il ne connaît ni le jour ni l'heure - en vivant le plus en accord possible avec ses valeurs, le plus consciemment possible. Chacun peut approcher sa mort les yeux ouverts, si la mort n'est pas niée, si l'entourage l'accepte, s'il y a suffisamment de vérité et d'amour autour de celui qui meurt. Chacun peut faire de sa mort une leçon de vie pour les autres. " Marie de Hennezel. Dans La Mort intime, Marie de Hennezel apportait un témoignage unique sur l'accompagnement des mourants. Bouleversé, François Mitterrand signait la préface de ce livre qui allait toucher des centaines de milliers de lecteurs. Qu'est-ce que la vie à l'approche de la mort ? Comment la vivre avec lucidité ? En s'appuyant sur l'expérience de son ami, le philosophe Yvan Amar qui, atteint d'une maladie chronique incurable, a fait le choix de mourir " les yeux ouverts ", Marie de Hennezel poursuit ici son propos et l'amplifie, en osant parler des derniers moments de la vie comme d'une occasion d'éveil. Une réflexion profonde, un formidable message d'espoir, de compassion et d'amour.
Lu par:Agnès Hatt
Durée:1h. 49min.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:28855
Résumé: L'auteur y dit l'hôpital, et notamment la physionomie des lieux, leur atmosphère très particulière. "Un monde", pour reprendre le titre d'un chapitre. Mais un monde d'"absence", où tout renvoie au manque, au creux. Elle dit l'attente, et même "l'attente acharnée" pour un résultat, pour un lit, pour un espoir. Surtout, elle dit l'amour qui vous pousse à calculer sans cesse pour assurer à l'autre un peu de bien-être. Quitte à camoufler votre propre douleur, à vous retenir de vous "mélanger" à ce malade que vous voudriez prendre dans vos bras. "Ça s'appelle une séparation, écrit-elle. C'est difficile, mais c'est ce qu'il vous demande, sans mot, parce que si vous vous vautrez sur lui en pleurant, il ne reste plus personne, dans la chambre devenue vide, entre lui et la mort."