Recherche par mot-clé: LITTÉRATURE RUSSE
289 résultats. Page 3 sur 15.
Lu par : Annie Saby Aguila
Durée : 2h. 58min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 71037
Résumé:Moscou, 1939. Le biologiste Rudolf Mayer a parcouru plus de huit cents kilomètres pour présenter aux autorités ses recherches sur une souche hautement virulente de la peste. Ce n'est qu'après cette réunion qu'il comprend qu'il a été contaminé, et que toutes les personnes qu'il a croisées peuvent l'être également. La police soviétique déploie alors un très efficace plan de mise en quarantaine. Mais en ces années de Grandes Purges, une mise à l'isolement ressemble à une arrestation politique, et les réactions des uns et des autres peuvent être surprenantes. Dans ce texte datant de 1988, Ludmila Oulitskaïa donne à voir ce qui peut se passer lorsqu'une épidémie éclate au coeur d'un régime totalitaire. Découvert en Russie au printemps 2020, ce texte inédit, plein d'humour et d'humanisme, résonne singulièrement dans le contexte mondial de la pandémie de coronavirus.
Lu par : Noëlle Rollier
Durée : 13h. 21min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 70012
Résumé:Grande nouvelle au siège de la police moscovite : demain, la célèbre inspectrice Anastasia Kamenskaïa va se marier avec le très bon et très patient Liocha. C’est en pensant à cela qu’elle rentre chez elle et surprend par hasard la conversation de deux malfrats : l’alibi qui les a récemment tirés d’une sale affaire était bidon. Elle les avertit qu’elle appelle le juge d’instruction pour faire rouvrir le dossier, aussitôt les menaces fusent. Et le lendemain, comme une autre future mariée la veille, elle trouve un mot dans sa boîte : « Ne le fais pas, tu le regretteras. » Elle prévient le juge, se marie et, horreur, entend un hurlement dans le bureau de l’état civil : une jeune mariée vient de se faire tuer par balles. L’enquête commence et l’on apprend que des meurtres similaires se sont produits et que d’autres menaces ont été faites. Y a-t-il un lien entre ceci et cela ? C’est la question.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 6h. 21min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 69184
Résumé:"L'Histoire de ma soeur ne se raconte pas. Elle se lit comme un poème en prose qui s'ouvre sur un ton mineur par des scènes d'enfance pour se clore en majeur, dans la gravité. C'est l'histoire d'un destin de femme qui périt dans la médiocrité de la vie quotidienne : en sorte, la mort d'un rêve. Michel Ossorguine la connaît bien, cette femme aux ailes brisées : c'est Olga, de sept ans son aînée et sa soeur préférée. Le superbe roman d'un sentiment, depuis la naissance dans les balbutiements de l'enfance jusqu'à l'épanouissement ultime de la mémoire." J. Catteau
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 3h. 3min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 69033
Résumé:Dans la Russie tsariste de la fin du XIXe siècle, les époux Orlov mènent une vie misérable. Grégoire est cordonnier et vit dans un sous-sol avec Martha, sa femme, depuis trois ans. Face à l’absence de perspectives, leur amour s’est progressivement dilué dans le désespoir quotidien. De timides remords animent Grégoire Orlov qui, chaque jour, abdique au bistrot face à ses démons. Il finit par se résigner?: “Nous sommes comme qui dirait enterrés avant d’être morts.” Dans cette pesante atmosphère d’angoisse, une épidémie de choléra sévit.
Lu par : Jacques Batteau
Durée : 22h. 8min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 69222
Résumé:Enfin publié ici dans son intégralité pour la première fois au monde et sous son titre original, Voyage au pays des Ze-Ka est l'un des plus bouleversants témoignages jamais écrits sur le Goulag. Le livre était paru en France en 1949 sous le titre La Condition inhumaine, bien avant les chefs-d'oeuvre de Soljenitsyne et de Chalamov. Cet hallucinant récit de cinq années passées dans les camps soviétiques ne le cède en rien à ceux de ses célèbres successeurs, ni pour la qualité littéraire, ni pour l'acuité de pensée et la hauteur de vue avec lesquelles l'auteur s'efforce de donner un sens à son expérience, aux limites de l'humain.
Lu par : Denise Michel-Loup
Durée : 3h. 43min.
Genre littéraire : Science-fiction
Numéro du livre : 68810
Résumé:Ce récit évoque les souvenirs de Maximilien Sterrer, le héros, qui a effectué un voyage expérimental à bord d'un coupe-temps, lequel l'a transporté en 1957 mais a raté de dix ans la date de son retour et l'a déposé en 1928 au lieu de 1938. Riche en références littéraires (M. Boulgakov, A. Rémizov), ce roman décrit la folie du monde à la veille de la Seconde Guerre mondiale.
Lu par : Barbara Personnaz
Durée : 7h. 36min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 68619
Résumé:Roman von Ungern-Sternberg, baron balte converti au bouddhisme, général de l'armée blanche à trente-cinq ans, est le dernier combattant à résister contre la marée révolutionnaire rouge qui submerge la Russie. Replié en Mongolie, il s'y taille un royaume en libérant le khutukhtu, " Dieu vivant " des Mongols, prisonnier des Chinois. C'est là que commence son règne de violence et que prend forme son rêve fou : reconstituer la horde d'or de Gengis Khan. Personnage démesuré, être hors norme, Ungern ira au bout d'un destin aux dimensions shakespeariennes.
Lu par : Jean Frey
Durée : 7h. 18min.
Genre littéraire : Poésie
Numéro du livre : 68495
Résumé:Cette anthologie aborde l'œuvre dans son entier. Elle puise dans les premiers livres, donne in extenso Requiem et le Poème sans héros, puis reprend à son compte un plan ébauché par la poétesse pour son fantomatique «Septième livre». C'est tout le parcours d'Anna Akhmatova qui est ici restitué, c'est un demi-siècle de combat solitaire, acharné, douloureux, mais au final sans faiblesse, qui se révèle page à page. Une poésie fragile et souveraine qui, confrontée aux risques les plus grands, ne renonce jamais, et célèbre avec une rare intensité les pouvoirs d'une parole irréductible.
Lu par : Johanna Baker
Durée : 8h. 28min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 68938
Résumé:De retour du Japon, Eraste Fandorine revient à Moscou accompagné de Massa, son truculent serviteur nippon, un virtuose des arts martiaux qui lui a plusieurs fois sauvé la vie. Poursuivant sa carrière dans la police, il a été nommé responsable des missions spéciales auprès du général gouverneur de Moscou, le prince Dolgoroukoï. Le jour de l'arrivée du jeune homme, le général Sobolev, surnommé "Achille" par ses camarades de combat, gloire nationale depuis ses hauts faits dans les Balkans, est retrouvé mort. Il s'agit de toute évidence d'une crise cardiaque, survenue dans l'hôtel où est descendu Fandorine. D'emblée, pourtant, ce dernier a des doutes : l'homme était un hercule, dans la force de l'âge, et certains indices lui donnent à penser que l'affaire, moins simple qu'il n'y paraît, est peut-être même une affaire d'Etat...
Lu par : Claudine Hubert
Durée : 8h. 29min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 68667
Résumé:Enlevé au détour d'un chemin par une femme au charme ensorceleur, Nicholas se voit imposer un effroyable marché : il devra devenir le précepteur d'une fillette de la bonne société et se tenir prêt à obéir à tous les ordres émanant de son ravisseur en jupons, en échange de quoi ses enfants auront la vie sauve. Contraint d'accepter, Fandorine est entraîné au cœur d'une terrible machination, à laquelle font étrangement écho les sombres agissements dont est victime le héros de son jeu vidéo, son ancêtre Danila Fondorine. Et si la tragédie des origines de la famille Fandorine se jouait à travers les deux hommes ? Dans le second et dernier tome de Bon sang ne saurait mentir, Boris Akounine, maître incontesté de l'intrigue policière sophistiquée, mêle avec brio deux histoires distinctes : l'une située dans la Russie contemporaine, gangrenée par la corruption, l'autre au XVIIIe siècle, sur fond de complots de cour. Les deux époques présentant, au bout du compte, bien des similitudes...
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 19h. 41min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 68009
Résumé:À Saint-Pétersbourg, les bolcheviks ont déjà gagné la guerre civile. Mais en Sibérie, à l’extrême est de la Russie, les Iakoutes résistent et tentent un dernier assaut contre l’Armée rouge. En 1922, le général Anatoli Pepeliaïev, poète à ses heures, défenseur de la justice et de la liberté, rassemble les soldats dispersés de l’Armée blanche et met sur pied un détachement de volontaires pour soutenir l’insurrection iakoute. Face à lui se dresse un commandant de l’Armée rouge, Ivan Strod, anarchiste et futur écrivain à succès. Lui aussi est une figure énigmatique de la révolution de 1917. Les deux hommes, guidés par des idéaux très proches, sont devenus ennemis par la force du destin. Dans cet épisode méconnu de la guerre civile russe, Youzefovitch dépeint les passions humaines : l’amour et la souffrance individuelle qui se cachent derrière les idéologies, la soif de justice, mais aussi l’ambivalence des personnages, tout à la fois oppresseurs et victimes. Au cœur du récit, la rivalité tragique des deux héros, dans les neiges de Sibérie, se révèle comme une captivante histoire de vie, d’amour et de mor
Lu par : Clélia Strambo
Durée : 3h. 1min.
Genre littéraire : Roman d'amour
Numéro du livre : 67593
Résumé:À bord d’un train militaire qui traverse la campagne soviétique enneigée pour recueillir des blessés, un jeune officier de l’Armée rouge s’éprend d’une infirmière, la charmante Vera. Dès lors, la passion vient troubler le rythme quotidien de son existence, dans ce jeu de l’amour dicté par les humeurs de sa belle et son inconstance. Cet étonnant huis clos ferroviaire sur fond de Seconde Guerre mondiale s’amuse à récrire Manon Lescaut, pour nous proposer à la fois l’éclatante histoire d’une déconvenue amoureuse et une subtile réflexion sur ce que Stendhal appelait la cristallisation.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 6h. 31min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 67571
Résumé:Le Baron de Münchhausen, c'est la fantaisie, la faconde, le " mensonge " de la fiction supplantant la " vérité " du réel, et c'est la figure que Krzyzanowski, dix ans après la révolution d'Octobre, décide de réactiver pour donner à comprendre la Russie des années vingt. Le véritable Münchhausen avait notamment, au milieu du dix-huitième siècle, combattu les Turcs dans l'armée russe. Devenu personnage célèbre de la littérature européenne, le Baron revient dans l'histoire en 1921, aussitôt après l'écrasement de la révolte de Cronstadt par les bolcheviks. Désemparées, les puissances occidentales cherchent en effet celui qui pourrait porter ses pas dans ce pays invraisemblable afin d'essayer d'en expliquer les extravagances. En sa qualité de personnage de fiction, Münchhausen est tout désigné. Le voilà parti, emportant avec lui ses habitudes, sa mentalité, les archaïsmes de sa langue - ce qui n'est pas la moindre des réussites du livre. Mais comme nous sommes désormais au siècle du cinéma et de l'information, il se met à narrer ses aventures sur un rythme digne des films muets de l'époque et sous forme de conférences et d'interview. Ce qu'il dit de la Russie laisse le monde entier ébahi. En Occident, le Baron fait un triomphe. Le roi d'Angleterre veut le décorer. Mais au moment de la cérémonie, il a disparu. Seul un poète, ami de récente date qui avait mis en doute l'existence du Baron, réussit à comprendre: Münchhausen a définitivement regagné les pages de son livre, vaincu sur son propre terrain par la fiction du réel soviétique. (Source : Editeur)
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 8h. 41min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 67122
Résumé:Mikhaïl Chichkine, qui s’était donné pour mission d’adapter le modernisme « à la Joyce » aux lettres russes, se révèle ici au lecteur dans une simplicité et une intimité nouvelles. Qu’il évoque les relations entre la Suisse et la Russie, l’importance du mot ou le destin de l’écrivain, ses textes sont émaillés de détails biographiques qui leur confèrent la saveur toute personnelle du souvenir. Le texte sur Robert Walser, auquel il voue une grande admiration, est un chef-d’œuvre : c’est, selon Paul Nizon, l’hommage éblouissant d’un écrivain à un autre écrivain. Une enfance soviétique, une jeunesse rebelle, la haine de la violence ordinaire, l’appel de la littérature, l’exil, qui lui fit craindre de perdre sa langue maternelle, puis le rapprocha de « sa » langue d’écrivain et de la littérature russe : on trouve, dans ce recueil, le « code » de tous les livres de Mikhaïl Chichkine, ses sources d’inspiration autant que ses obsessions.
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 23h. 16min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 66937
Résumé:Tadjikistan, années 1990. Au lendemain de l’effondrement de l’URSS, la guerre civile plonge le pays dans le chaos. Un ancien cadre du Parti communiste, Zouhourcho, retourne dans les montagnes du Pamir pour y imposer sa loi et convertir les habitants à la culture du pavot. Il porte autour du cou un gigantesque python évoquant le roi Zahhâk du Livre des rois persan de Ferdowsi ; on raconte que le diable embrassa les épaules de Zahhâk pour y faire pousser deux serpents se nourrissant de cerveaux humains. Sept narrateurs prennent tour à tour la parole. Tous sont forcés de remettre en question leur univers dans cette période de bouleversements : Andreï et Zarina, jumeaux âgés de seize ans, de père tadjik et de mère russe, obligés de vivre dans un village de montagne ; leur oncle Djoroub, empreint des traditions des hauts plateaux ; le jeune Karim, naïf et rêveur ; Oleg, journaliste russe qui replace le récit dans son contexte historique ; Davron, ancien officier soviétique ; et enfin le cheikh Vahhob, ermite soufi issu du monde séculier. Medvedev nous fait découvrir le monde très mal connu du Pamir tadjik ; il tisse une généalogie du despotisme et de la terreur, tout en tenant le lecteur en haleine face au destin des différents personnages.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 18h. 8min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 66865
Résumé:En 1534, dans l’Allemagne de la Réforme, le jeune Ruprecht rentre dans son pays natal. Dans une auberge, il est attiré par les cris d’une mystérieuse jeune femme, Renata… Commence une aventure passionnelle et spirituelle qui s’achèvera une année plus tard sur le tableau de la mort du grand philosophe et alchimiste allemand Agrippa von Nettelsheim et le suicide de son grand chien noir habité par le démon. Avant de regagner l’Amérique, Ruprecht rédige la chronique horrifique qu’il vient de vivre : il y relate comment le diable apparut à Renata sous les traits d’un ange de lumière, la séduisit et la perdit. L’univers reconstruit par l’écrivain russe « le plus cultivé de son temps » n’est pas seulement une somme historique, c’est aussi un magnifique roman d’amour violent et fatal, digne du théâtre élisabéthain. L’Ange de feu évoque tout à la fois Melmoth de Maturin, À rebours de Huysmans, Le Maître et Marguerite de Boulgakov, mais aussi et surtout L’Œuvre au noir de Yourcenar.
Lu par : Jean-Luc Dupuis
Durée : 11h. 53min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 66499
Résumé:Maxime Issaiev, alias Max von Stierlitz est un agent soviétique infiltré en Allemagne nazie. Il a atteint le grade élevé qui lui permet de frayer parmi le très petit cercle des hauts responsables du régime. De février à avril 1945, depuis qu’il est certain que la guerre est perdue pour les Allemands, sa mission consiste à déjouer un complot que fomentent, chacun de leur côté, à l’insu des autres, de très proches conseillers d’Hitler pour sauver leur peau. Ils tentent de négocier, dans le dos des Russes, une paix séparée avec les Anglo-Américains pour contrer la menace soviétique. Le dénouement devrait intervenir en Suisse. En grand maître des échecs, Julian Semenov mène ses lecteurs dans l’engrenage fatal de la fin de la guerre, au milieu des dangers et des pièges mortels que déjoue son héros. Semenov est surnommé " le John le Carré russe".
Lu par : André Jol
Durée : 4h. 6min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 66492
Résumé:Ce roman réaliste et tendre raconte comment vivent les Français des temps actuels, comment ils digèrent les venus d'ailleurs, ce qu'ils font rattrapés par l'amour ou la mort. Et leur bonheur de vainqueurs du championnat mondial de football ...
Lu par : Jacqueline Duperret
Durée : 7h. 19min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 66244
Résumé:D'après Soljenitsyne, le camp est un enfer. Moi, je pense que l'enfer, c'est nous-mêmes... Ces souvenirs d'un gardien de camp montrent le caractère inextricablement paradoxal et comique du monde. Le monde des criminels de droit commun, où Dovlatov s'en alla monter la garde, après avoir été expulsé de l'université ; et le monde imaginaire des lettres écrites à son éditeur russe exilé à New York, dans lesquelles il raconte ses déboires pour faire publier La Zone, roman qui relate sa jeunesse soviétique et sa vie en exil. Comme un écho qui se répète entre le monde des hommes libres et l'univers des prisonniers, les histoires vécues à l'intérieur du camp de détention ne diffèrent guère de celles du monde extérieur. C'est pourquoi La Zone n'est pas un récit de prison. On y retrouve le regard amusé et triste du grand écrivain russe face à l'humanité avec laquelle il partage une expérience cruciale. Un monstrueux assassin devient ainsi un bon ami, comme on n'en trouve pas chez les honnêtes gens. Combien la limite est ténue, combien la différence est subtile entre la prison et la liberté, entre les Russes de l'URSS et les Russes en Amérique ! Et c'est avec un humour irrésistible, unique, que Dovlatov se moque de nous et de notre condition.
Lu par : Anne Grillet
Durée : 29h. 52min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 66055
Résumé:Tolstoï entame une enquête immense, descend dans l'enfer putride des prisons, scrute les détenus, polémique avec les " idéologues " révolutionnaires, interroge le peuple. Résurrection se veut un roman total, mais cette fois-ci le Tolstoï millénariste refuse la durée et exige tout tout de suite : le salut total de la création. C'est peut-être ce qui fait de Résurrection, paru quand naissait le XXe siècle, un signe avant-coureur des grands soubresauts millénaristes de notre siècle à nous.