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Recherche par mot-clé: Économie politique -Aspect moral

4 résultats.

Durée:19h. 11min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:68324
Résumé: Face aux inégalités qui explosent, aux désastres politiques et aux catastrophes environnementales qui menacent de toutes parts, cet ouvrage montre que tout n'est pas perdu. Si des choix de politiques publiques nous ont menés où nous sommes, rien n'empêche d'en faire d'autres. A condition de dresser, d'abord, un constat honnête. Ces pages traquent les fausses évidences sur toutes les questions les plus pressantes : immigration, libre-échange, croissance, inégalités, changement climatique. Elles montrent où et quand les économistes ont échoué, aveuglés par l'idéologie. Mais l'ouvrage ne fait pas que renverser les idées reçues. Il répond à l'urgence de temps troublés en offrant un panel d'alternatives aux politiques actuelles. Une bonne science économique peut faire beaucoup. Appuyée sur les dernières avancées de la recherche, sur des expériences et des données fiables, elle est un levier pour bâtir un monde plus juste et plus humain. En cela, Economie utile pour des temps difficiles est aussi un appel à action.
Lu par:
Durée:39h. 5min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:68197
Résumé: Toutes les sociétés humaines ont besoin de justifier leurs inégalités : il faut leur trouver des raisons, faute de quoi c'est l'ensemble de l'édifice politique et social qui menace de s'effondrer. Les idéologies du passé, si on les étudie de près, ne sont à cet égard pas toujours plus folles que celles du présent. C'est en montrant la multiplicité des trajectoires et des bifurcations possibles que l'on peut interroger les fondements de nos propres institutions et envisager les conditions de leur transformation. A partir de données comparatives d'une ampleur et d'une profondeur inédites, ce livre retrace dans une perspective tout à la fois économique, sociale, intellectuelle et politique l'histoire et le devenir des régimes inégalitaires, depuis les sociétés tri-fonctionnelles et esclavagistes anciennes jusqu'aux sociétés post-coloniales et hypercapitalistes modernes, en passant par les sociétés propriétaristes, coloniales, communistes et sociales-démocrates. A l'encontre du récit hyperinégalitaire qui s'est imposé depuis les années 1980-1990, il montre que c'est le combat pour l'égalité et l'éducation, et non pas la sacralisation de la propriété, qui a permis le développement économique et le progrès humain. En s'appuyant sur les leçons de l'histoire globale, il est possible de rompre avec le fatalisme qui nourrit les dérives identitaires actuelles et d'imaginer un socialisme participatif pour le XXIe siècle : un nouvel horizon égalitaire à visée universelle, une nouvelle idéologie de l'égalité, de la propriété sociale, de l'éducation et du partage des savoirs et des pouvoirs.
Lu par:Jean Frey
Durée:18h. 42min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:17963
Résumé: Pourquoi le capitalisme est-il né en Europe et non pas en Chine, pourtant civilisation de marchands ? Dans L'Éthique protestante et l'esprit du capitalisme, Max Weber propose de comprendre l'organisation capitaliste de l'économie à partir de l'analyse de ses éléments déterminants. Parmi ceux-ci, les motivations psychologiques ont constitué un facteur essentiel du triomphe du capitalisme moderne. Les convictions religieuses issues du luthéranisme et du calvinisme se sont en effet révélées un puissant levier pour la recherche rationnelle du profit. En valorisant des comportements tels que l'ascèse ou la productivité, elles ont promu un mode de vie favorable à l'essor du capitalisme. De même, le dogme de la prédestination, qui fait de la réussite temporelle le signe d'une élection divine, a, sans conteste, contribué à faire du travail et de l'enrichissement de nouvelles valeurs morales sans lesquelles l'économie de marché n'aurait pu s'installer durablement en Europe.
Durée:4h. 58min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:12732
Résumé: Pourquoi le discours économique, qui est devenu la référence obligée lorsqu'il s'agit de faire des choix individuels ou collectifs, ignore-t-il la souffrance et la perte d'espérance de nos sociétés? Parce que le monde oublie que le savoir économique n'est qu'un produit culturel "inventé" dans un contexte historique bien précis. L'omniprésence de son vocabulaire est telle que nous avons tous fini par croire que l'enrichissement était désormais le seul but à poursuivre dans l'existence. Pour sortir de l'impasse, il faut aujourd'hui rappeler que le moteur et la clé de toute activité productive et marchande sont d'abord des projets humains, des idées et des convictions.