Recherche par lecteur : Stéphane Meuleau
60 résultats. Page 3 sur 3.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 3h. 54min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 34122
Résumé:Quelques mots singuliers entendus enfant dans la conversation ses grands, quelques cartes figurant les monuments d'une cité mythique, un livre qui tombe d'un rebord de table et s'ouvre à la page du 2 mai 1950, une villa blanche qui vous rappelle l'Afrique, et un vieux poste de radio, et revoilà la légende du Rosebud, le souvenir qui imprègne le présent et dont le parfum ne se dissipe jamais, et qui aide, transforme l'avenir en un jardin vivable, comme Bogart trouve la force de quitter Ingrid Bergman en lui disant, pendant que l'avion mouline du brouillard sur la piste, We'll always have Paris. " Et c'est ainsi, dans Casablanca, que les deux amants réussissent à continuer à vivre, à se séparer s'il le faut et à suivre chacun son propre chemin, en se souvenant de leur idylle dans le Paris d'avant l'occupation allemande. En puisant dans cette réserve de lumière. Avec ce livre entièrement dédié à un sentiment, celui du " merveilleux ", à sa naissance et son cours à travers la vie d'un homme - la sienne - l'auteur nous invite à le suivre dans son propre puits de lumière. Nous aurons toujours Paris est conçu sous forme de boucle, et c'est dans le perpétuel aller-retour entre les rêveries de l'enfant, ses projections et leur prolongeaient à l'âge adulte, dans leur décalage, souvent, que se glisse le merveilleux, que se construisent la vie et l'œuvre, avec leurs impasses, fausses pistes, déceptions et surprises. Il n'est donc pas, ou très peu, question de Paris dans ces pages. Mais plutôt de pérégrinations et de rencontres : du Japon à l'Afrique, et de julien Gracq à Ismail Kadaré ou Albert Cossery, quand ce n'est pas l'ombre du toujours énigmatique B. Traven.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 4h. 51min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 34156
Résumé:Micheline Maurel (1917-2009), résistante du réseau Marco Polo, a été déportée en Allemagne en août 1943. Elle a passé vingt mois à Neubrandebourg, une succursale de Ravensbrück. C'était, dit-elle, "un petit camp très ordinaire", sans chambre à gaz ni crématoire (on se servait pour cela des installations voisines de Ravensbrück) : un simple bagne pour femmes. Un bagne comme il en existe probablement encore dans le monde. Et c'est pourquoi ce livre n'a pas de date, et nous concerne tous. Il nous dit, ce livre, comment vivent dans un camp, du 1er janvier au 31 décembre, des femmes sans nom, sans appui et sans hommes, la vie en robes à croix, la vie tête tondue, sans maquillage, sans savon et sans vêtements de rechange, dehors par tous les temps, battues tous les jours, ne sachant jamais si elles retrouveront le soir leur couverture et si elles auront la force de grimper sur leur châlit. François Mauriac dans sa préface écrivait : "Dans un livre comme celui-ci, la protestation de l'âme éclate avec une simplicité et une humilité bouleversantes au point que notre pitié s'écarte de la victime pour aller à ses bourreaux". Paru en 1957, Un camp très ordinaire a obtenu le prix des Critiques la même année.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 16h. 55min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 34022
Résumé:En 1968, James Earl Ray assassine Martin Luther King à Memphis et prend la fuite. Entre le 8 et le 17 mai de la même année, il se cache à Lisbonne où il tente d'obtenir un visa pour l'Angola. En octobre 2013, sur les traces de James Earl Ray dans la capitale portugaise, Antonio Munoz Molina se remémore son premier voyage dans cette ville, en 1987, quand, mari et père immature, fuyant un travail médiocre, il essayait d'écrire son deuxième roman, une histoire d'amour sur fond de jazz et de roman noir, L'Hiver à Lisbonne. La fascinante reconstruction du séjour de l'assassin croise alors le passé de l'auteur, et les deux récits alternent. L'un, autobiographique, relate, à la première personne et sur un mode très intime, l'apprentissage de la vie et des mécanismes du roman ; l'autre, à la manière d'un thriller, témoigne de ce qu'est l'accomplissement de la fiction, quand, fondée sur le réel, elle va au-delà des faits pour entrer dans la conscience des protagonistes. En prestidigitateur, le grand écrivain espagnol fait entrer le lecteur dans le mystère de l'univers mental du tueur, où se mêlent racisme, misère, admiration pour les livres de science-fiction, et la certitude que l'on peut impunément tuer un Noir militant des droits civiques. Comme l'ombre qui s'en va est un livre important, hypnotique, qui prend le risque de mêler deux genres littéraires et, en dernière instance, expose la théorie du roman de l'auteur.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 1h. 22min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 33247
Résumé:Un recueil de plus de 60 aphorismes, maximes et exercices de style inspirés de scènes et de séquences de la vie quotidienne dans l'autobus et le métro, lieux de rêves, de passages, d'espoir et d'émotion.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 11h. 35min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 32906
Résumé:A partir de lettres à ses frères, de journaux et d'archives militaires, cet ouvrage retrace le parcours du jeune C. de Gaulle pendant la Première Guerre mondiale : ses combats au sein du 33e régiment d'infanterie, ses trente-deux mois de captivité en Allemagne à partir de 1916, ses tentatives d'évasion, etc.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 1h. 22min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 32067
Résumé:Lettre de sa fille à René Goscinny. Elle décrit la rupture que sa mort a causé dans sa vie et celle de sa mère, les souvenirs qu'elle garde de lui, les pères de substitution dont elle s'est entourée, etc.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 23h. 22min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 31561
Résumé:Cet ouvrage rassemble 69 témoignages de Japonais ayant vécu les conflits de la Seconde Guerre mondiale dans leur pays, entre 1931 et 1945 : Pearl Habor, Hiroshima et Nagasaki, etc. Ils donnent à voir la vie au Japon à cette époque et les combats qui l'ont marquée.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 26h. 59min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 30998
Résumé:Une découverte de l'Egypte au fil des 30 dynasties de la civilisation pharaonique, de l'architecture, des contes et des légendes. L'auteur nous explique la nature et la fonction des dieux, la signification de l'embaumement. Il décrit l'intimité des pharaons et la vie quotidienne du petit peuple.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 5h. 42min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 30461
Résumé:La moitié de la population mondiale est bilingue (un habitant sur cinq en France). Alors même que la nécessité de posséder plusieurs langues s'impose François Grosjean, psycholinguiste, vient démonter les idées fausses sur le bilinguisme : Il est faux que le bilingue maîtrise parfaitement ses différentes langues : c'est rare. Il est faux que ce n'est que dans la petite enfance qu'on devient bilingue ; Non, le bilinguisme précoce ne retarde pas l'acquisition du langage ; Non, il n'y a aucun lien entre le bilinguisme et un trouble éventuel du langage ; Non, le bilinguisme n'est pas mauvais pour le développement cognitif des enfants : au contraire. Et ce qui est valable pour le bilingue l'est a fortiori pour le polyglotte. Ce livre sans équivalent en français intéressera toutes les personnes intéressées par le bilinguisme et le contact des langues, notamment les parents d'enfants bilingues ou en devenir bilingue, les professionnels ayant affaire au bilinguisme (exemple : orthophonistes, enseignants, psychologues), les bilingues qui désirent mieux comprendre leur bilinguisme, et les professionnels de l'éducation, les étudiant(e)s en sciences humaines et sociales.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 15h. 42min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 29808
Résumé:John Gaines, traumatisé par la guerre du Viêt Nam, doit faire face aux secrets d'une petite ville du Mississippi dont il est le shérif. Le corps d'une adolescente, gardé intact par la boue, est découvert 20 ans après le crime. L'enquête du shérif pour découvrir le meurtrier de Nancy Denton l'emmène au coeur de la part la plus sombre de la nature humaine.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 13h. 6min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 29642
Résumé:Recueil de textes représentatifs jalonnant la vie d'A. Blanqui (articles de journaux, déclarations lors des procès, proclamations, etc.), homme d'action et théoricien révolutionnaire du XIXe siècle.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 2h. 13min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
Numéro du livre : 29681
Résumé:Voulant découvrir l'Himalaya seul en paramoteur, J.-D. Blanc s'écrase à 3.000 mètres d'altitude en plein hiver et sans ravitaillement. Il fait ici le récit de son périple minute par minute dans une nature grandiose mais hostile, raconte ses moments de désespoir, et donne une leçon de survie.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 5h. 54min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 26249
Résumé:Longue nouvelle, rédigée en 1925, alors qu'Italo Svevo commençait à rencontrer un succès très tardif, après la publication de La Conscience de Zeno. Comme la plupart de ses personnages, Monsieur Aghios est un avatar de Svevo. Homme respectable à tous points de vue, il prend congé de sa "vieille épouse", pour entreprendre un voyage en train de Milan à Trieste. Ce périple ferroviaire traversant l'Italie d'ouest en est prend des allures d'épopée burlesque, dans laquelle Monsieur Aghios serait une sorte de Don Quichotte qui aurait lu Freud. Il se laisse griser par un sentiment de liberté retrouvée qui lui permet d'échapper à la prison conjugale, à laquelle il retournera pourtant docilement à l'issue de cette escapade.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 15h. 5min.
Genre littéraire : Arts
Numéro du livre : 28834
Résumé:Devant le trésor de Saint-Denis ou les vitraux de Chartres, les fresques de Giotto ou les palais florentins, qui ne s'est interrogé sur les conditions sociales et les représentations mentales qui ont environné et inspiré le geste de leurs créateurs ? Cette vaste sociologie de la création artistique, chef-d'œuvre d'un grand historien doublé d'un écrivain, replace l'ensemble des hautes productions de l'Occident médiéval dans le mouvement général de la civilisation. Elle offre des clés pour pénétrer cet univers de formes complexe et fascinant. Georges Duby montre donc comment, au XIe siècle, ce que nous avons appelé la féodalité transféra des mains des rois à celles des moines le gouvernement de la production artistique ; comment, cent ans plus tard, la renaissance urbaine établit la cathédrale au foyer des innovations majeures ; comment, au XIVe siècle, l'initiative du grand art revint aux princes et s'ouvrit aux valeurs profanes. Le temps des cathédrales est ainsi encadré entre celui des monastères et celui des palais.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 1h. 34min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 29394
Résumé:Momo, enfant des cités, découvre la passion de la lecture l'été de son passage en 6e grâce à la bibliothèque. Cette découverte sera l'occasion de rencontres avec des personnages fictifs et réels, et notamment il se liera d'amitié avec un vieux monsieur atteint par la maladie d'Alzheimer. ©Electre 2014
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 57min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 25081
Résumé:Comment notre coeur bat-il ? Et pourquoi!? Que se passe-t-il quand il bat trop lentement ? Ou quand il s'emballe ? A quoi sert un défibrillateur ? Comment détecter un infarctus ? Qu'est-ce que l'athérosclérose, à l'origine de nombreuses maladies cardio-vasculaires ? Comment enrayer l'inexorable progression de ces dernières ? Le coeur artificiel deviendra-t-il bientôt réalité ? Les Petites Pommes du savoir ! Des réponses brèves, claires et sérieuses questions que vous vous posez sur le monde.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 3h. 54min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 26857
Résumé:Que sait-on de Jésus ? Qui a écrit les textes fondateurs du christianisme ? La vie des premières communautés chrétiennes. Comment s'est constitué le dogme ? Les différentes Eglises et confessions : leur histoire, leurs croyances, leurs symboles, leurs rites, leurs forces aujourd'hui Hérésies, Inquisition, Croisades : la face noire de l'Église. Moines et mystiques. Pour découvrir la religion qui a fait l'Occident.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 7h. 33min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 29318
Résumé:Raymond Chandler (1888-1959) est aujourd'hui célèbre non seulement pour ses écrits policiers des années 1940 et 1950, mais aussi pour son rôle majeur dans l'émergence du filin noir comme genre, que ce soit en tant que scénariste ou en tant qu'auteur de "polars" qui furent très souvent adaptés au cinéma sous cette forme. Mais ce genre "noir", qu'il s'agisse du roman ou du film, Chandler a également contribué à le faire évoluer selon sa propre sensibilité, pour introduire certaines innovations visant à dépasser le cadre strict de la littérature populaire. Cet ouvrage propose de lire le traitement du genre par l'auteur comme le reflet non seulement de sa propre histoire personnelle binationale (britannique et américaine) mais aussi de sa vision de la société de l'époque et de la littérature. On verra ainsi comment Marlowe, le détective récurrent de Chandler, nous parle à travers ses enquêtes non seulement de l'énigme proprement dite mais aussi de l'Amérique des années 1930 et de la dépression économique, des conflits entre classes sociales, du genre policier lui-même et des rapports entre réalité et fiction. Le film noir, dans ses adaptations des romans, prolonge (et modifie parfois) la vision particulière de l'auteur, et l'on verra que le cinéma peut agir ici comme révélateur du texte policier et de ses présupposés. A travers ces thèmes récurrents, Chandler ne cesse de fustiger l'artificialité d'une société et d'un mode de vie qui, plus qu'une simple toile de fond pour ces énigmes criminelles, apparaissent souvent comme le sujet véritable de son oeuvre.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 15h. 44min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 26452
Résumé:La porte ! Combien de fois ne l'avons-nous pas dit ou entendu et combien de fois la passons-nous par jour ? Savons-nous vraiment ce qu'est une porte et jusqu'où elle nous mène ? Tout le monde s'accordera pour reconnaître que dans sa définition même elle implique l'existence d'un "dehors" et d'un "dedans", de l'ouvert et du fermé, du bien-être et du danger, et que toute porte utilisée déclenche une philosophie du monde. Des Magdaléniens à nos portes actuelles nous n'avons cessé de la réinventer et de l'utiliser pour des causes différentes au point que l'on peut se demander quelle folie nous a pris pour rendre cette barrière à la fois si simple et si complexe. Les portes antiques ont définitivement marqué nos imaginaires, tout comme les ponts-levis du Moyen Âge. Les portes c'est aussi l'incroyable étiquette de la Cour, les octrois, les frontières, tout ce qui nous empêche et nous régule, sans compter les hommes qui les tiennent : Suisses, portiers, concierges, domestiques, mais aussi le décorum, les pompes mortuaires et les terribles portes de prison. Aujourd'hui fini les gonds, et à nos portes rivalisent désormais codes et cambrioles. Par leur essence même, portes, passages et seuils expriment les cultures : c'est ainsi qu'en Afrique les Jnouns font concurrence à Eshou et que les serrures dogons reflètent encore l'âme de leurs maîtres, que la Chine oriente toujours ses portes en s'occupant du Ciel alors que le Japon les construit en papier. En Océanie ce sont surtout les tabous qui gardent les portes pendant qu'en Amérique au-delà des malocas, des tipis et des iglous, elles sont devenues héroïnes de feuilletons télévisés.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 11h. 2min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 26656
Résumé:«Se battre, quelles que soient les circonstances, reste un idéal soutenu par l'ambition d'essayer d'être utile, ce qui reste possible jusqu'au bout et même au seuil de la mort. Cela, nous le soulignerons, inclut la poursuite d'activités désintéressées, mais gratifiantes en raison du plaisir qu'elles procurent. Le plaisir est un levier essentiel, mais également un baromètre pour tout ce qui concerne une lutte adéquate contre les ravages du vieillissement ; sa prise en compte permettra de moduler avec la souplesse nécessaire les activités, des plus triviales aux plus évoluées. A chaque jour son optimum. Nous nous sommes donc placés - parce que nous-mêmes, par la force des choses les éprouvions ainsi - dans une perspective militaire, ce qui peut être particulièrement utile pour affronter les derniers rebondissements de cette histoire de bruit et de fureur. Médecins nous-mêmes, nous sommes loin d'évacuer le rôle du physiologique dans les troubles du vieillissement. Cependant, c'est en psychanalystes que nous raisonnons tout au long de cet ouvrage.»