Recherche par lecteur : Patrick Saonit
6 résultats.
Lu par : Patrick Saonit
Durée : 3h. 47min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 22012
Résumé:" Omar avait fini par confondre Dar-Sbitar avec une prison. Mais qu'avait-il besoin d'aller chercher si loin ? La liberté n'était-elle pas dans chacun de ses actes ? Il refusait de recevoir de la main des voisins l'aumône d'un morceau de pain, il était libre. Il chantait s'il voulait, insultait telle femme qu'il détestait, il était libre. Il acceptait de porter le pain au four pour telle autre, et il était libre. "
Lu par : Patrick Saonit
Durée : 1h. 35min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 22033
Résumé:L'écrivain revient sur son exil géographique et linguistique et propose son point de vue sur l'identité nationale française, l'image de la France et de sa culture à l'étranger, celle que les Français ont de leur pays, etc. " Je n'écrirais pas ce livre si je ne croyais pas profondément à la vitalité de la France, à son avenir, à la capacité des Français de dire «assez !» "
Lu par : Patrick Saonit
Durée : 2h. 54min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 21922
Résumé:Plus qu'un témoignage, une réflexion sur l'homme et son inextinguible appétit de vivre, sur la nécessité de comprendre l'inimaginable. Sans cris, sans fureur, un plaidoyer vibrant pour le droit à la dignité, un récit pudique et bouleversant. Montevideo, 1972. Carlos Liscano est jeté en prison par le régime militaire à l'âge de vingt-trois ans. Il en sortira treize ans plus tard. Il aura connu la torture, les humiliations, la honte, les étranges relations qui lient victimes et bourreaux, l'absurdité d'un système qui veut lui faire avouer quelque chose qu'il ne sait pas. Mais il aura aussi connu la résistance envers et contre tout, l'amitié indéfectible qui se noue entre camarades d'infortune, l'urgence de l'ouverture au monde et, par-dessus tout, le pouvoir libérateur de l'écriture. Le 14 mai 1985, avec ses derniers compagnons, Carlos Liscano est embarqué dans un fourgon qui va le mener vers la liberté. Une liberté inquiétante, douloureuse, impossible...
Lu par : Patrick Saonit
Durée : 6h. 42min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 22119
Résumé:Que restera-t-il de nous ? Peut-être des souvenirs, magnifiés, interprétés, réinterprétés ou, pire, falsifiés. Inanimés, nos meubles, nos habits, nos objets familiers jalonnent le sillage de notre vie. Ils sont les témoins silencieux de nos joies et peines. Pourtant, lorsque quelqu'un meurt, nul ne se soucie de la tristesse de ses meubles. Le Kétala, le partage de l'héritage, disperse tout ce que possédait celui ou celle qui n'est plus. Attristés par leur séparation imminente, des meubles et divers objets cherchent un moyen d'éviter l'éparpillement des traces de Mémoria, leur défunte et aimée propriétaire. Masque propose à ses compagnons d'infortune une stratégie fondée sur la parole " Je viens d'une civilisation où les hommes se transmettent leur histoire familiale, leurs traditions, leur culture, simplement en se les racontant, de génération en génération [...] Comme nous ne pourrons pas empêcher les humains de nous disperser, je propose que chacun de nous raconte aux autres tout ce qu'il sait de Mémoria. Ainsi, pendant les six nuits et les cinq jours qui nous séparent du kétala, nous allons tous, ensemble, reconstituer le puzzle de sa vie [...] On ne peut pas toujours emmener les siens avec soi, mais on part toujours avec sa mémoire. " Ecrit dans une langue belle et musicale, Kétala est un roman virtuose.
Lu par : Patrick Saonit
Durée : 1h. 23min.
Genre littéraire : Sciences/technologie
Numéro du livre : 25521
Résumé:Patrick Saonit, responsable du service Audiovision de l'AVH, nous présente l'audiodescription.
Lu par : Patrick Saonit
Durée : 1h. 25min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 22038
Résumé:Tout au long de ce récit d'apparition et de dispariton un certain nombre d'indices annoncent et développent le thème de la confusion de la vie et du livre : de plus en plus, le héros-narrateur « passe » dans les mots, devient les mots eux-mêmes. D'ailleurs, la première phrase de Coda, l'exergue, est aussi la dernière du livre qui, de la sorte, se referme sur lui-même, s'engloutit en lui-même. Quant à l'écriture de Coda, conte fantastique, elle a la perfection de la transparence. Son rôle n'est pas de s'interposer entre le lecteur et le « fond » de l'histoire, son rôle est d'absorber le lecteur et de le faire disparaître lui aussi dans les mots... Coda est un récit de suspense, et ce suspense est de plus en plus prenant au fil des pages, de plus en plus angoissant, dans la mesure où l'enjeu, d'une manière ou d'une autre, consciemment ou non, est l'existence même du lecteur...