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Recherche par lecteur : Nicole Chillier-Duchatel

47 résultats. Page 3 sur 3.

Durée : 4h. 50min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 26456
Résumé:Au commencement était la grossesse, le ventre rond, empli de vie, gros de promesses. Mais aussi d'appréhensions, de réflexions, de souvenirs... Car l'attente de l'heureux événement engendre une foule de sentiments et de mouvements contradictoires et c'est pour les futurs parents l'occasion, souvent, de faire le point sur leur propre existence. Au début est un roman de femmes écrit par un homme, qui nous entraîne dans l'infini mystère de la gestation : telle n'y avait pas songé et puis c'est arrivé ; telle autre a dû avoir recours à la fécondation in vitro ; telle autre encore en aurait sans doute voulu mais se voit confrontée aux réticences de son partenaire. A ce choeur féminin se mêle la voix d'un père qui recourt à une mère porteuse. Treize tendres aventures pleines de suspense, d'humour et d'amour.
Durée : 13h. 27min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 21799
Résumé:La Seconde Guerre mondiale ne cessera jamais de se révéler dans toute son horreur. Derrière les faits d'armes, les atrocités du champ de bataille et les crimes monstrueux perpétrés à l'encontre des civils, se cache une autre réalité. Celle de milliers de femmes russes envoyées au front pour combattre l'ennemi nazi. Svetlana Alexievitch a consacré sept années de sa vie à recueillir des témoignages de femmes dont beaucoup étaient à l'époque à peine sorties de l'enfance. Après les premiers sentiments d'exaltation, on assiste, ou fil des récits, à un changement de ton radical, lorsque arrive l'épreuve fatidique du combat, accompagnée de son lot d'interrogations, de déchirements et de souffrances. Délaissant le silence dans lequel nombre d'entre elles ont trouvé refuge, ces femmes osent enfin formuler la guerre telle qu'elles l'ont vécue. Un recueil bouleversant des témoignages poignants.
Durée : 2h. 9min.
Genre littéraire : Contes et légendes
Numéro du livre : 21700
Résumé:Détchèn est un enfant bon et compatissant. Né dans un petit village du Bouthan, au pied de l'Himalaya, il se sent plus attiré par la vie spirituelle des moines que par les rudes travaux des champs. Aussi, quand son oncle Jamyang, un ermite, lui propose de l'accompagner jusqu'à la mystérieuse Citadelle des Neiges, il n'hésite pas un seul instant. Là, dans ce lieu hors du monde, il pourrait suivre l'enseignement de Tokdèn Rinpotché, un maître spirituel, et développer auprès de lui à la fois sagesse et méthode. Mais avant d'y parvenir, un long voyage attend Détchèn, un voyage au milieu d'une nature inviolée et splendide, un chemin qui à lui seul sera porteur de bien des leçons?
Durée : 19h. 41min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 22308
Résumé:Michelet, c'est une carrière. Profondément marqué par son enfance dans un milieu populaire, il suit d'éclatantes études qui le conduisent à devenir professeur à l'Ecole normale et au Collège de France, directeur aux Archives nationales, membre de l'Académie des Sciences morales et politiques. Michelet, c'est aussi un grand écrivain, comme en témoignent sa célèbre Histoire de France et l'Histoire de la Révolution française. Michelet, c'est encore une conscience. Indigné par l'immobilisme social sous la monarchie de Juillet, il proteste aussi, au nom de la République, contre le Second Empire. Enfin, Michelet c'est un lyrique enchanté par la nature et la féminité, comme le montrent ses derniers grands livres, La Femme et La Mer. Impeccablement documentée, remarquablement écrite, cette biographie donne une image nouvelle de l'historien. On y découvre un professeur charismatique, un père malheureux, un amoureux inattendu, un esprit obsédé par la mort. Outre le récit d'une vie, c'est aussi une enquête sur la formation d'une pensée et un voyage dans les réseaux d'influence du XIXe siècle.
Durée : 8h. 30min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 21222
Résumé:" Oui, ce fut bien une Apocalypse, au sens originaire de l'expression, une révélation de notre monde, que ce terrible spectacle du 11 septembre 2001. Mais comme toutes les révélations antérieures, la lumière qui s'en dégagea était bien trop crue, dans un premier temps, pour nous livrer autre chose qu'elle-même... La pénombre qui s'abattit sur Manhattan s'est aujourd'hui dissipée. L'émotion s'est estompée, comme les images d'un Wall Street dominateur soudain réduit en cendres. Mais sommes-nous plus lucides pour autant ? Les mois ont passé, et il faut maintenant essayer de penser ce nouveau monde. J'ai mêlé ici les intuitions et la connaissance. Le temps de l'hypothèse et le temps de l'Histoire. Je veux donner une boussole à ceux qui savent que la planète ne s'arrête pas aux frontières de l'Hexagone, ni aux étroits parapets de la vieille Europe. "
Durée : 10h. 40min.
Genre littéraire : Arts
Numéro du livre : 21202
Résumé:Cette jeune femme en noir, au bouquet de violettes, aux yeux profonds, que peint Manet dans les années 1870, c'est Berthe Morisot. Elle garde sur son visage altier comme un secret. Un modèle parmi d'autres ? Non : la seule femme du groupe des Impressionnistes. Berthe Morisot, née dans la province française en 1841, fille de préfet, peint et expose parmi ce clan d'hommes, ceux qui sont encore des réprouvés sans public, des réfractaires à l'art officiel : Manet, Degas, Monet, Renoir. Ardente mais ténébreuse, douce mais passionnée, aimant la vie de famille mais modèle et amie - et qui sait ? peut-être davantage - d'Edouard Manet dont elle épouse le frère : il y a une énigme dans les silences et les ombres de Berthe Morisot. Dominique Bona, puisant aux archives inédites, fait tournoyer la fresque de l'Impressionnisme : de Giverny aux plages normandes, de Mallarmé rédigeant des billets doux pour Méry Laurent ou Nina de Callias aux lavandières qui posent pour Renoir, de la sanglante Commune de Paris au règne de la bourgeoisie corsetée, des salles du Louvre aux ateliers de la bohème.
Durée : 8h. 11min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 22476
Résumé:Placée dans le seul contexte économique, la vieillesse n'est plus envisagée qu'en termes de contraintes, de charges et d'inutilité. La grande défausse des Etats permet un véritable génocide gériatrique sans culpabilité, parce que lorsqu'on est vieux on doit mourir. Un génocide silencieux perpétré grâce aux incohérences et aux maltraitances qui font tous les ans plus de morts que la canicule. De la prise en charge défaillante des vieux aux urgences à l'hécatombe des mauvaises orientations, sans parler des euthanasies, " tellement courantes, dit un médecin, que pour s'en convaincre il suffit d'aller dans les hôpitaux ", tout contribue à accélérer leur fin. Ceux qui survivent à l'hôpital se retrouvent dans des maisons de retraite inadaptées à leur prise en charge. Abandonnés sans soins dans des établissements sous-dotés en personnel, les vieux dénutris, sous-médicalisés et surmédicamentés ne font pas long feu. La justice ne condamne que rarement ces " dysfonctionnements institutionnels ". La vie d'un vieux, au pire, ça vaut deux ans avec sursis. L'Etat se désengage d'autant plus volontiers du problème qu'il veut privatiser le secteur. Reste à savoir à qui profite le crime...