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Recherche par lecteur : Madame

5 résultats.

Lu par:Madame Cookie
Durée:3h. 30min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:37295
Résumé: La narratrice, qui porte le même nom que l'auteure, se rend à un festival littéraire à Montauban en novembre 2015. Elle lit avec ferveur un livre d'Enrique Vila-Matas quand elle s'aperçoit que l'écrivain est à côté d'elle. Elle engage la conversation. Un roman qui interroge le pouvoir de la littérature et la frontière entre réel et imaginaire.
Lu par:Madame
Durée:12h. 35min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:20599
Résumé: Sur une modeste tombe d'un petit cimetière du Périgord, on peut lire cette épitaphe : Ci-gît Orelie-Antoine Ier, roi de Patagonie, décédé le 18 septembre 1878. La plus étrange épopée qui se puisse concevoir... Durant les vingt-huit années du règne d'Orélie-Antoine, le rêve et la réalité se confondent aux bornes extrêmes du monde, là-bas, en Patagonie, au détroit de Magellan. Qui est Antoine de Tounens, roi de Patagonie, conquérant solitaire, obscur avoué périgourdin embarqué sur les flottes de la démesure, son pavillon bleu, blanc, vert claquant aux vents du cap Horn ? Un fou ? Un naïf ? Un mythomane ? Ou plus simplement un homme digne de ce nom, porteur d'un grand destin qu'il poursuivra toute sa vie en dépit des échecs, des trahisons, des sarcasmes qui peupleront son existence... Es-tu roi de Patagonie ? Je le suis ! Il n'en démordra pas. Roi il fut, quelques jours au moins, et toute une vie. Des sujets, il en eut : Quillapan, cacique des Araucans, Calfucura, cacique des Patagons, mais aussi Verlaine, Charles Cros, le commodore Templeton, le général Chabrier, l'amiral Dumont d'Urville, l'astronome Camille Flammarion, le colonel von Pikkendorff, Véronique, reine de Patagonie, aux multiples visages, et tant d'autres, le coeur débordant d'émotion, qui se déclarèrent un jour ou l'autre, l'espace d'un instant, sujets du roi Orélie-Antoine. Car nous sommes tous des Patagons. Là-bas, en Patagonie, l'homme devient roi. Sa longue nuit s'illumine.
Lu par:Madame
Durée:3h. 28min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:20495
Résumé: Bernanos avait été chargé de composer les dialogues d'un scénario cinématographique, lui-même tiré de la célèbre nouvelle de Gertrud von Le Fort, La Dernière à l'échafaud, ayant pour thème la marche au martyre de seize carmélites de Compiègne qui furent guillotinées en place de Grève le 17 juillet 1794. Mais l'œuvre de Bernanos est profondément différente du récit allemand. Ne serait-ce que parce que Bernanos se trouvait lui-même à la veille de sa propre mort. Le texte complet des Dialogues a été retrouvé parmi les manuscrits de Bernanos et publié dès 1949 par Albert Béguin.
Lu par:Madame
Durée:18h. 11min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:20387
Résumé: Née à Paris en 1752 d'un père roturier, Madame Campan entre à la Cour à quinze ans et devient lectrice des filles cadettes de Louis XV. Dotée d'un tempérament vif et déterminé, elle est nommée en 1774 première femme de chambre de Marie-Antoinette qu'elle servira jusqu'en 1792. Attentive, observatrice, intelligente, Madame Campan partage non seulement l'intimité de la reine, mais aussi de nombreux secrets d'Etat. Des fastes de Versailles à la fuite à Varennes, elle se trouve aux premières loges d'événements qui s'apprêtent à bouleverser la France et l'Histoire. Sur un toit inimitable, bienveillant ou virulent, Madame Campan raconte ce qu'elle voit, ce qu'elle entend, ce qu'elle sait : un trésor inépuisable de vérités et de détails, grâce auquel ses Mémoires demeurent un témoignage unique sur l'Ancien Régime, la Révolution, la vie quotidienne et la personnalité de Marie-Antoinette.
Durée:8h. 34min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:21987
Résumé: Donc j'étais tout à l'heure au Jardin public. La racine du marronnier s'enfonçait dans la terre, juste au-dessous de mon banc. Je ne me rappelais plus que c'était une racine. Les mots s'étaient évanouis et, avec eux, la signification des choses, leurs modes d'emploi, les faibles repères que les hommes ont tracés à leur surface. J'étais assis, un peu voûté, la tête basse, seul en face de cette masse noire et noueuse entièrement brute et qui me faisait peur. Et puis j'ai eu cette illumination.Ca m'a coupé le souffle. Jamais, avant ces derniers jours, je n'avais pressenti ce que voulait dire " exister ".