Recherche par lecteur : Bertrand
642 résultats. Page 33 sur 33.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 12h. 33min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15212
Résumé:Au début de ce siècle, Vladimir Arséniev explore la grande taïga de l'Oussouri - cette "jungle de la Sibérie" où jamais encore l'Européen n'a pénétré... Cet hostile et âpre pays, Arséniev va l'aimer grâce à une rencontre de hasard : celle de Dersou Ouzala, un chasseur gold. Chasseur, oui, pour survivre, mais chasseur nomade et primitif qui parle aux tigres et aux oiseaux, qui interprète chaque trace sur le sol, chaque ombre dans le ciel avec une infaillible justesse, tant est intime sa communion avec la nature. Une chaude affection naît entre les deux hommes et Dersou sauvera plusieurs fois la vie de son ami au péril de la sienne. Jusqu'au jour où, après des mois d'épreuves, ils atteindront khabarovsk. La ville est là, accueillante et sûre, mais Dersou y étouffe...
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 3h. 9min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14832
Résumé:La mer abrite des millions de poissons, mais le vieux pêcheur n'a rien pris depuis quatre-vingt-cinq jours. Elle s'étend à l'infini, les côtes cubaines s'éloignent inexorablement, et pourtant, il s'agit d'un roman de l'enfermement. Le Vieil Homme et la mer, durant trois jours entiers, se retrouvent face à face. Rare élément féminin dans ce récit qui oppose deux volontés viriles et où la douceur maternelle provient d'un gamin, la mer est le lieu du lien. Lien entre le vieil homme et l'espadon, entre le pêcheur et la vie, lien entre le retour et le départ, l'eau est un lieu de séjour transitoire entre la vie et la mort. A peine un purgatoire, car l'on imagine mal cet homme à l'âme sublime avoir commis aucun péché, la mer fait surgir en lui des sentiments d'amour profond, de respect pour la vie, mais aussi de manque et de lassitude. Les expressions reviennent sans cesse, les images sont récurrentes et la voix parle à l'esprit dont elle émane. Les poissons volent, comme mus par la tension incessante de l'esprit, qui ne tient plus qu'à un fil ténu, corde de ligne bandée jusqu'à la limite. Dans cet univers de répétition, le langage irisé de reflets d'argent semble naître d'un pathétique besoin d'émancipation.