Recherche par lecteur : Bernard
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Lu par : Pierre-Bernard Elsig
Durée : 2h. 59min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 5959
Résumé:Pour ce deuxième livre de sa Trilogie new-yorkaise, Paul Auster met en scène d'autres personnages que ceux de "Cité de verre". Les protagonistes ici se nomment Blanc, Bleu et Noir. Mais deux d'entre eux sont à nouveau des détectives privés et leurs tribulations à New York mettent une fois encore en évidence la précarité de l'identité en même temps que les très pervers effets de miroir du destin. De telle sorte que l'impitoyable filature, à laquelle on demeure suspendu comme dans les meilleurs thrillers, nous ramène aux interrogations du premier livre. Avec, cette fois, une intensité croissante dans le tragique. On comprend après cela que l'ascension de Paul Auster, parmi les écrivains de sa génération, ait été aussi irrésistible que l'angoisse métaphysique où il nous plonge.
Lu par : Bernard Delannoy
Durée : 5h. 20min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 5952
Résumé:Jean Ripoche et Yvon Legoualoudec étaient deux amis d'enfance, amoureux de la même femme : la belle Liliane Soulas. Cette dernière épousa Jean, après le départ d'Yvon qui rêvait de faire le tour du monde. Vingt ans plus tard, Yvon revient au pays, accompagné de sa femme et de ses enfants. Il retrouve alors Jean et Liliane mais leur amitié laisse bientôt place à une forte hostilité.
La mère Angélique Arnauld: 1591-1661: d'après ses écrits: abbesse et réformatrice de Port-Royal
Bugnion-Secretan, Perle
Lu par : Bernard Delannoy
Durée : 9h. 49min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 5950
Résumé:Une des grandes figures féminines du XVIIe siècle et de la Contre-Réforme est tirée de l'ombre où on l'avait reléguée derrière François de Sales et Saint-Cyran. Elle revit aujourd'hui à travers un récit autobiographique et ses lettres, complétés par les travaux récents sur Port-Royal. Peut-être qu'après tant d'historiens masculins, depuis Sainte-Beuve y compris, il fallait une femme pour rappeler que c'était une femme qui avait réformé Port-Royal. Sans elle, qu'aurait été Port-Royal, et sans Port-Royal qu'auraient été Pascal, Racine ou Philippe de Champaigne ? Il manquerait un jalon dans l'histoire des idées, de la conquête de la liberté d'esprit. Il manquerait cette page qui raconte la résistance de quelques moniales âgées, s'opposant sans faiblir aux visées totalitaires de Louis XIV. Saint-Simon clôt son chapitre sur Port-Royal par cette image : « On procéda à raser la maison, l'église et tous les bâtiments, comme on fait la maison des assassins des rois. » Saint-Simon a bien senti tout ce que Port-Royal recelait de subversif. L'histoire avait commencé quelque cent ans plus tôt, quand, à dix-sept ans, Angélique Arnauld avait réformé son abbaye.
Lu par : Bernard Delannoy
Durée : 10h. 39min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 5936
Résumé:La première Durango est en Espagne, la deuxième au Mexique, la troisième au Colorado. Quant à la quatrième Durango, petite cité côtière de Californie du Sud, moins de 10000 habitants, ni plage, ni tourisme, abandonnée par l'industrie et négligée par les grandes voies de communication, c'est "la ville oubliée de Dieu". C'est aussi une excellente cachette... La séduisante et rusée B.D. Huckins, maire de Durango, et son chef de police Sid Fork y accueillent donc périodiquement d'étranges hôtes soucieux d'acheter au prix fort un moment de tranquillité et de sécurité. Mais est-ce bien la tranquillité que recherchent leurs nouveaux clients ?
Lu par : Bernard Delannoy
Durée : 3h. 56min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 2001
Résumé:Trompé et méprisé par sa femme, un jeune paysan se met à boire. Un nouveau malheur lui vole son fils. Persécuté par le destin, la folie lui ouvre ses bras, lui souffle un crime atroce... Pour Jean-Luc, ce sera le précipice. Ce roman oppressant compte parmi les premières réussites d'un Ramuz hanté par les complots diaboliques de la montagne.
Lu par : Bernard Arczinski
Durée : 6h. 32min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 804
Résumé:A combien d'entre vous ce nom dira-t-il quelque chose ? Et pourtant... Jean Villard Gilles est né à Montreux en 1895, fils d'architecte, il débuta sa carrière théâtrale à l'âge de 23 ans dans " l'Histoire du soldat " de C.F. Ramuz, sur une musique d'Igor Stravinski. Les représentations, interrompues par l'épidémie de grippe espagnole, permirent toutefois à Jean Villard de rejoindre Paris, avec une lettre de recommandation paraphée par Ramuz et Stravinski. Il devait y rejoindre Jacques Copeau qui projetait de rouvrir le Théâtre du Vieux Colombier. Des dissensions firent échouer cette entreprise. Une compagnie naquit " les Copiaus ", où, avec Julien, il introduisit le jeu théâtral de la chanson, En pleine guerre, il ouvre le cabaret " le Coup de Soleil " et y nargue le fascisme. En compagnie d'Edith (non pas Piaf !) il ouvre un nouvel établissement " chez Gilles ", Avenue de l'Opéra et découvre Jacques Brel, débutant, qu'il engage. Il s'associe enfin avec Urfer, partenaire avec lequel il terminera sa longue et fructueuse carrière de chansonnier, poète, écrivain et homme de théâtre. Lorsque vous parlez de " La Venoge " à un Vaudois, il associe immédiatement ce nom à celui de Gilles... et pourtant, il ne s'agit que d'une rivière, certes elle présente quelques particularités, dont une chute - rien à voir avec celles du Colorado - impressionnante lors de pluies abondantes. Et combien d'autres poèmes et chansons empreints d'humour et de tendresse pour ce pays qu'il n'a jamais totalement quitté. Lorsqu'il n'était pas à Paris ou ailleurs, son port d'attache était St Saphorin, petite localité pittoresque qui se mire dans les eaux du Léman. C'est là qu'est sa maison et qu'il vécut ses dernières années. Gilles nous a quittés le 26 mars 1982. Pourquoi, penserez-vous, nous avoir parlé de cet homme ? Si maintenant je vous dis " Les Trois Cloches "... cela ne vous rappelle rien ? Soudain, pour beaucoup d'entre vous, c'est la voix profonde de Piaf, accompagnée par les Compagnons de la Chanson qui résonne dans votre tête. Cette chanson a fait le tour de monde, beaucoup d'autres l'ont interprétée. Je pense, qu'en cette veille de fêtes, il était bon de rendre un hommage à l'un de nos meilleurs écrivains et compositeurs vaudois. Parodiant le titre d'un recueil de " 10 chansons suisses ", oserais-je dire " Y en a point comme nous ! ! "