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Recherche par auteur : Plantagenet, Anne

8 résultats.

Lu par : Aline Communal
Durée : 4h. 20min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 66001
Résumé:Alors que ses origines italiennes familiales ont toujours été tues, l'auteure interroge sa mère sur son grand-père, disparu lorsqu'elle avait 22 ans. Au fil de leurs échanges, elle apprend à se rapprocher d'elle. Une quête des origines traversée par les questions d'identité, de migration et de transmission. « Je n’ai jamais entendu parler italien dans ma famille, pas même un mot, une expression, et pendant toutes les années où nous sommes allés déjeuner chaque dimanche chez mes grands-parents maternels, j’ai invariablement mangé du poulet rôti avec des pommes de terre. Jamais de pâtes. Pas une fois. Ces racines-là semblent avoir été arrachées. Tranchées net. Pourquoi ? Je l’ignore. M’ont-elles manqué ? Je n’ai pas cherché à le savoir, n’ai pas posé de questions. »
Lu par : Manon
Durée : 3h.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 28578
Résumé:En 2005, une jeune femme accompagne son père en Algérie, pays dont il est originaire. D'Oran à la ferme familiale de Misserghin, père et fille tissent durant trois jours un dialogue pudique et émouvant. Un roman intimiste sur la transmission familiale et la quête des origines des pieds-noirs.
Lu par : Manon
Durée : 14h. 17min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 30043
Résumé:Brillant élément du commissariat de Pampelune, l'inspectrice Amaia Salazar se voit chargée d'enquêter sur d'atroces crimes sexuels. Les victimes sont des femmes et tout semble indiquer que les bourreaux soient leurs maris ou compagnons. Mais des rituels macabres, qui rappellent des pratiques de sorcellerie locale, laissent penser qu'un fou diabolique pourrait orchestrer ces meurtres en série. Salazar n'a pas fini de découvrir les turpitudes de cette vallée de Baztán dont la rivière semble emporter les secrets terrifiants. Amaia Salazar a d'autant plus de mal à mener son enquête qu'elle vient de donner naissance à l'enfant qu'elle et son compagnon ont tant désiré. Pas facile de devenir mère quand la mort rôde et que le souvenir de celle qui vous a donné la vie vous inflige de violents cauchemars. Mais la jeune femme entend bien aller jusqu'au bout de ses recherches, quels qu'en soient les résultats.
Durée : 9h. 15min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 78168
Résumé:“Dans ce portrait, on trouve une Silvina morcelée, une femme à recomposer.” Affublée de ses lunettes noires à montures blanches, ses éternelles baskets rouges aux pieds, l’insaisissable Silvina Ocampo, à l’instar d’une Clarice Lispector ou d’une Amparo Dávila, est l’une des figures les plus talentueuses et étranges de la littérature sud-américaine. Fille d’une famille aristocratique argentine, nouvelliste saluée par ses pairs mais méconnue du grand public de son vivant, elle est l’objet de nombreux mythes entourant son œuvre aussi bien que sa vie privée. Il y a cette langue singulière, qui lui vient peut-être de son éducation francophone. Il y a la relation particulière qu’elle entretenait avec son mari, Adolfo Bioy Casares. Son amitié changeante et bavarde avec Borges, qui chaque soir dînait chez eux. Ses rapports ambigus avec sa sœur aînée, l’olympienne Victoria Ocampo. Les liaisons qu’on lui prête, entre autres avec la poétesse Alejandra Pizarnik. Et ses prémonitions inquiétantes… À travers de nombreuses sources et les témoignages de son entourage, Mariana Enriquez questionne les mythes, lève parfois le voile sur les secrets et observe avec une intensité unique la vie de la petite sœur discrète qui aimait à se cacher. Le résultat est le portrait sensible et émouvant d’une femme attachante et sombre, intelligente et doucement perverse, possédant une imagination débordante (et des jambes spectaculaires). L’occasion pour l’autrice de Notre part de nuit de revendiquer avec force l’héritage d’Ocampo, sa grande sœur en littérature.
Durée : 17h. 3min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 72191
Résumé:1954. Le jeune psychiatre Germán Velázquez revient en Espagne pour travailler à l'asile pour femmes de Ciempozuelos, à la périphérie de Madrid. Après avoir fui la victoire des nationalistes en 1939, Germán a vécu quinze ans en Suisse, chez un psychiatre juif lui-même en exil. A Ciempozuelos, Germán retrouve une patiente qui l'avait fasciné, enfant, quand son père la soignait : Aurora Rodríguez Carballeira, paranoïaque qui a assassiné sa propre fille. Il y fait également la connaissance d'une aide-soignante, María Castejón, à qui dona Aurora a appris à lire et à écrire. Attiré par María qui le repousse, Germán la soupçonne de cacher de nombreux secrets. Ames-soeurs désireuses de fuir leurs passés respectifs, Germán et María aspirent à se donner une nouvelle chance, mais ils vivent dans un pays humilié, où les péchés deviennent des délits, et où la religion et la morale officielle camouflent abus et exactions.
Lu par : Geneviève Roy
Durée : 4h. 48min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 74172
Résumé:La petite fille privilégiée, élevée par des parents aimants dans une somptueuse villa entourée de végétation luxuriante, est soudain obligée de quitter l'enfance. Comment devenir adulte lorsque la violence a terrassé l'innocence ? Comment parler à sa mère, qui doit élever seule ses cinq enfants ? Loin de la plainte et de la lamentation, l'autrice remonte le fleuve de ses souvenirs d'enfant pour affronter ses traumatismes et ceux de ses frères.
Lu par : Maryline Kaim
Durée : 7h. 8min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
Numéro du livre : 65594
Résumé:Blaise Cendrars écrivit un jour : "Il n'y a plus que la Patagonie qui convienne à mon immense tristesse.' María Sonia Cristoff y est née, à Trelew, un village de ce monde du bout du monde. Faux calme est son récit du retour au pays natal, mystérieux et mélancolique. À travers ce texte, elle se fait le porte-voix de ses habitants exclus, prisonniers dans leur isolement, perdus dans l'immensité, exposés à une géographie hostile. Elle nous entraîne à la rencontre de personnages fantasmatiques au cœur de villages fantômes, tels ce kiosquier schizophrène qui attend un bus qui ne vient jamais, cet adolescent décharné faiseur de miracles, ou encore cette jeune femme en fuite, dont on ne connaît pas les raisons. Mêlant carnet de voyage, chroniques désenchantées et portait humaniste, María Sonia Cristoff relie avec brio l'errance de Sebald, les carnets de Chatwin, le regard de Maspero à l'absurdité des pièces de Beckett. Récit initiatique d'une grande modernité, à mille lieues des guides touristiques, Faux calme offre au lecteur le vrai visage de la Patagonie et une profonde méditation sur le temps, une mélancolie des ruines en mouvements.
Lu par : Joëlle Mezza
Durée : 5h. 36min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 77613
Résumé:A 28 ans, l'écrivaine confronte la vie prolétaire de ses parents à la vie précaire qu'elle mène, bien que munie d'un diplôme universitaire. Elle raconte l'Espagne populaire d'avant la crise, qu'elle ne connaît que par les récits, et s'interroge sur le monde contemporain, qui n'offre aucune solution à la précarité dans laquelle est plongée sa génération. Premier roman.