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Les paradoxes de l'éthique dans la modernité et la mondialisation

Résumé
Une approche interdisciplinaire des nombreux paradoxes relatifs à l'éthique dans la modernité et la mondialisation. L'auteur aborde notamment les défis de l'éthique de la recherche, la bioéthique ou encore la construction des discours savants, politiques et juridiques sur les pauvres.
Durée: 4h. 1min.
Édition: Paris, L'Harmattan, 2022
Numéro du livre: 74268
ISBN: 9782140255816
Collection(s): Ouverture philosophique.
CDU: 100

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Durée : 3h. 41min.
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Durée : 3h. 21min.
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Résumé:Ce début de XXIe siècle est traversé par une telle succession de crises - écologique, économique et politique - qu'il voir refleurir le vieux mythe de la fin des temps. Nous nous trouvons confrontés aujourd'hui à au moins dix bouleversements inédits dans notre histoire. Pour trouver une mutation similaire, il faut remonter non pas à la Renaissance, ni à la fin de l'Empire romain, mais au tournant du néolithique, lorsque, il y a plus de dix mille ans, les groupes humains abandonnèrent le mode de vie nomade pour se sédentariser. On assista alors à un changement radical du rapport de l'homme à lui-même et au monde, dont nous sommes les ultimes héritiers. Aujourd'hui, ce n'est pas la fin du monde que nous connaissons, mais la fin d'un monde, celui fondé sur la prééminence du cerveau rationnel et logique par rapport au cerveau émotionnel et intuitif, sur l'exploitation mercantile de la nature, sur la domination du masculin sur le féminin. Frédéric Lenoir montre ici que la guérison est possible. Illustrant les impasses de la fuite en avant (le progrès à tout-va) comme celles du retour en arrière (démondialisation, écologie radicale, intégrismes religieux), il exprime sa conviction que l'humanité peut dépasser cette crise planétaire par une profonde transformation de nos modes de vie et de pensée...
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Genre littéraire : Société/économie/politique
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Résumé:Cette histoire commence dans la nuit des temps. L'espèce humaine vient de faire connaissance avec la douceur du coton. Le coton est le porc de la botanique : chez lui, tout est bon à prendre. Et c'est ainsi que le coton vêt l'espèce humaine. Il ne s'en tient pas là : compresses médicales, films photographiques, produits cosmétiques, insecticides... Pour ceux que ces manipulations angoissent, revenons à notre mère nature, à la paix des choses simples. Après la récolte, les tiges et les branches du cotonnier deviendront les litières pour les animaux. Ou bien les paysans les brûleront, faute de meilleurs combustibles. Voyager, c'est glaner. Au XVIIIe siècle, sitôt retrouvée la terre natale, les navigateurs plantaient les végétaux collectés aux quatre coins du globe dans un jardin dit 'des retours'...
Durée : 4h. 44min.
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Résumé:Il faut s’en alarmer : la culture est aujourd’hui attaquée dans tous ses territoires. Arts plastiques, littérature, cinéma, musique... Au nom des bonnes mœurs, de la lutte contre le racisme ou la souffrance animale et autres nobles causes, des ligues de vertu du troisième millénaire et des citoyens ordinaires manifestent, agissent auprès des élus, pétitionnent sur les réseaux sociaux, toujours pétris des meilleures intentions. Sous des prétextes apparemment légitimes, le principe de liberté d’expression, avec ses limites communément admises (racisme, antisémitisme…), subit d’incessants coups de boutoir. Il existe pourtant des solutions médianes, permettant de concilier le devoir de mémoire, le respect de l’égalité entre les citoyens, le droit des minorités, avec l’amour de l’art et de la liberté. La clé est sans doute dans la pédagogie, le développement d’appareils critiques repensés. Il est urgent d’analyser ce que cherche à imposer cette nouvelle morale en forme de censure, de dire par qui elle est pensée et activée, d’où elle vient, quels intérêts elle sert, de montrer ses limites et ses paradoxes. Nous devons préserver la culture de ces revendications qui fusent à la vitesse d’un tweet.
Durée : 6h. 33min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
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Résumé:Si le Malin semblait s'être esquivé, il est de retour sous les traits d'Adolf Hitler, à la fois accusateur, tentateur et menteur. Le Diable est cependant bien plus qu'Hitler, il se manifeste dans toutes les lâchetés humaines, engendre de nouvelles croyances en de nouvelles idoles, en de faux dieux. La présence du Diable est l'absence de Dieu et la négation de la Personne. Il revient à cette dernière de s'opposer avec la dernière force à l'ordre de la parole, à réinventer des valeurs de vertu, de responsabilité, de solidarité et de charité.