L'épidémie: roman
Lu par :
Simone Bosko
Genre littéraire:
Roman : au sens large et aventures
Mots-clés:
Littérature suisse
Durée:
5h. 3min.
Édition:
Vevey, L'Aire, 1994
Numéro du livre:
7394
Produit par:
Bibliothèque Sonore Romande
ISBN:
9782881083273
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Votre meilleur ami vient de mourir, il vous a laissé en héritage deux cartons de vieux papiers : des lettres, des photographies, des carnets, et un petit mot vous invitant à vous pencher sur «tout ce fatras des jours anciens». Vous vous plongez dans ces archives: vous y retrouvez la présence lumineuse de votre ami; mais vous y découvrez aussi des secrets, des recoins d’ombre qui vous surprennent, parfois vous bouleversent, des énigmes dont vous allez fébrilement tenter de débrouiller le mystère – un étrange médaillon renfermant le portrait d’une jeune fille inconnue, une mort mystérieuse sur un quai de gare désert, un «grand secret» dont il est question – à demi-mots – dans plusieurs lettres… Chemin faisant, c’est aussi votre propre vie et celle de vos amis communs qui ressurgissent au hasard d’une page, d’une photographie, d’une confidence, d’une anecdote; des souvenirs, des épisodes de vos histoires que vous pensiez perdus à jamais dans les sables du temps. Tout un «petit monde» reprend vie sous vos yeux: vous assistez à la grande pantomime de la vie, un bal masqué qui parfois tourne à la danse macabre. Jusqu’à ce que tombe le rideau sur la réplique ultime: È finita la commedia! Merveilleuse comédie de la vie où l’ombre portée de la mort donne aux vivants un air de grandeur et de noblesse qui n’en finit pas de nous inspirer.
Lu par : Bertrand Baumann
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Résumé:Il s’était fait une vie à lui, une vie comme en ont la plupart des gens ; les années avaient filé sans bruit ; les habitudes, les routines donnaient au temps qui passe des allures de ritournelle ; les jours se succédaient, si ressemblants qu’il avait parfois l’impression qu’il n’y avait plus qu’un seul jour. Jusqu’à ce matin d’automne où, venant d’Italie, une lettre lui annonçait la mort de Célia… Alors il retourna dans la vieille maison où, cet été là, il y avait bien longtemps de cela, il avait pu croire un moment à la beauté des choses, aux promesses palpitant dans la lumière du jour… Ces quelques jours en automne, il allait les passer à remettre ses pas dans les pas du jeune homme d’autrefois. Dans le murmure de la fontaine derrière la maison, dans les craquements du vieil escalier, dans les rumeurs du vent froissant le feuillage du grand marronnier, dans les ombres du soir tapies derrière les peupliers de l’allée, partout il retrouvait des échos des jours anciens, le tendre et lumineux sillage de Célia. Par les trouées de la mémoire, il assistait à la remontée des souvenirs, des visages, des vestiges de cet été-là – « l’été de Célia ». Et sa vie peu à peu atteignait à une sorte de grandeur, une espèce d’éternité.
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Résumé:Il avait compris que c’était au coeur de l’enfance – où se trament nos peurs et nos joies – qu’il devait retourner. C’était là qu’il retrouverait, dans les failles du temps, les souvenirs perdus le long du chemin, et les mots, les phrases qui leur rendraient un peu de leur éclat, réveilleraient en lui l’écho des jours anciens. Il se mit à la tâche, livré d’abord aux errances, aux tâtonnements, traquant des ombres, courant le pays, perdant et retrouvant ses chemins… On lui racontait des histoires qu’il essayait de relier entre elles. Parfois des lueurs perçaient la nuit, puis s’éteignaient : des bribes de vérités qui s’effritaient dans le vent. Il tirait sur le fil fragile des jours passés, espérant qu’il ne casserait pas. Il tentait de donner à sa vie l’allure d’une histoire, quelque chose qu’on pourrait raconter, une espèce de roman… Heureusement, il y avait Les Clairières ! RD