Le destin miraculeux d'Edgar Mint

Résumé:1911. Oskar Johansson a 23 ans. Dynamiteur, il participe au percement d’un tunnel ferroviaire et manipule des explosifs pour fragmenter la roche. Mutilé à la suite d'un grave accident du travail, il reprendra pourtant son ancien métier, se mariera, aura trois enfants, adhérera aux idéaux socialistes puis communistes. Au soir de sa vie, il partagera son temps entre la ville et un cabanon de fortune sur une île aux confins de l’archipel suédois. Un mystérieux narrateur recueille la parole de cet homme de peu de mots, qui aura vécu en lisière de la grande histoire, à laquelle il aura pourtant contribué, à sa manière humble et digne.

Résumé:Fanny nous raconte sa vie. Heureuse en famille, et dans son métier qu’elle aime, et pour lequel elle se donne sans compter. Malheureusement, l’accident arrive. Aurait-elle pu le percevoir, l’éviter? Facile à dire après coup? C’est dur lorsque l’on comprend la gravité de ce qui vient d’arriver. Le travail de reconstruction, les amis, l’entourage, leurs réactions. Accepter que plus rien ne sera comme avant. Elle décrit tout cela avec ses mots, ses émotions, et fait partager la foi qui l’a aidée à gagner son combat. C’est une victoire qu’elle raconte, un message d’espoir pour tous ceux qui seront touchés un jour par un drame, quel qu’il soit. Un encouragement à ne pas rester prostré dans le malheur, mais à l’affronter pour le surmonter, le dépasser et réussir une autre vie.

Résumé:Court toujours, une collection de romans courts à lire ou à écouter en moins d'une heure. On doit savoir, madame. Quels organes ? ... Tous ? Certains ? C'est à vous de choisir... Alban, le frère aîné d'Anouk, est en état de mort cérébrale après être tombé d'un toit. Les médecins ont besoin de savoir si la famille fait don de ses organes. Mais la mère d'Anouk et Alban n'est pas prête à faire ce choix. Anouk se lance dans la mission de convaincre sa mère en ravivant leurs souvenirs heureux. Le compte à rebours est lancé, pour la mémoire d'un frère. Des récits initiatiques intenses et percutants, qui racontent un moment-charnière de la vie d'un ou d'une ado d'aujourd'hui.

Résumé:Quatrième de couverture : La littérature et la presse, à la recherche d'évènements qui donnent le grand frisson, parlent toujours de catastrophes ne laissant que des cadavres. Saint-Loup a pris le contre-pied de cette vision pessimiste du monde dans La montagne n'a pas voulu, où des alpinistes perdent seulement leurs lunettes pendant huit cents mètres de chute. Des marins, enlevés du bord par une lame, sont ramenés à bord par la lame suivante dans La mer n'a pas voulu et, maintenant, dans ce nouveau livre... ce sont des pilotes, des hommes volants, des parachutistes qui sortent d'accidents fabuleux sans une égratignure, par des miracles qu'aucune explication technique ne justifie...

Résumé:Cet ouvrage s'appuie sur les connaissances les plus récentes permettant d'appréhender l'AVC afin d'adopter les attitudes les plus adaptées pour en limiter l'impact lors de sa survenue, et même prévenir celle-ci.

Résumé:Des astuces et des moyens d'intervention pour tous les incidents et accidents liés à l'activité d'un sport de loisir ou de haut niveau.

Résumé:Nuit du 14 au 15 avril 1912. Nord de l'océan Atlantique. Le majestueux "Titanic", réputé insubmersible, heurte un iceberg et commence aussitôt à couler. 1 300 passagers et 900 membres d'équipage courent un grand danger. Le paquebot envoie immédiatement des SOS et des fusées de détresse, mais aucun bateau ne peut lui venir en aide. Sauf un, peut-être : le "Carpathia", à 58 milles de distance. Déterminé à porter secours, ce modeste navire met tout en oeuvre pour augmenter sa vitesse de navigation et éviter les blocs de glace sur son chemin. Ce livre permet de découvrir le courageux équipage qui a sauvé 706 personnes de la plus célèbre catastrophe maritime au monde.

Résumé:En août 1985, le journaliste Philippe de Dieuleveult et ses compagnons disparaissent lors d'une descente du fleuve Zaïre. Si les autorités locales affirment avec détermination que leur mort est due au naufrage de leur embarcation, d'autres voix s'élèvent et n'hésitent pas à parler de bavure. Un récit issu du podcast L'heure H, diffusé sur la RTBF.

Résumé:Récit et analyse de l'épisode de luttes sociales qui a suivi l'explosion à la mine de Fouquières-lès-Lens le 4 février 1970. L'auteur donne la voix aux différents acteurs de cet évènement grâce à un travail de recherche collectant des documents inédits. Il décrit ainsi la série de mobilisations qui a suivi l'accident, les enquêtes menées et la répression subie par les mouvements d'extrême gauche.

Résumé:Jeanne, ses études terminées, a quitté sa Bretagne natale pour vivre à Paris. Elle a trouvé un emploi temporaire d'"accueillante" à la Tannerie, une nouvelle institution culturelle, installée dans une usine désaffectée de Pantin. D'abord déboussolée par le gigantisme et l'activité trépidante du lieu, timide et ignorante des codes de la jeunesse parisienne, elle prend peu à peu de l'assurance et se lie à quelques-uns de ses collègues, comme la délurée Marianne ou le charismatique Julien, responsable du service accueil. Elle les accompagne dans leurs déambulations nocturnes, participe à des fêtes. Leur groupe se mêle au mouvement Nuit debout. Ils se retrouvent dans des manifestations, parfois violentes - mais sans véritablement s'impliquer, en spectateurs. Bientôt, deux ans ont passé. Dans l'effervescence de la Tannerie, en pleine expansion, chacun tente de se placer pour obtenir enfin un vrai contrat ou décrocher une promotion. Jeanne va devoir saisir sa chance. La Tannerie - tel un microcosme de notre société - forme une monde à part entière, avec ses techniciens, ses employés de bureau, ses artistes. Mais derrière la bienveillance affichée et le progressisme des intentions, la précarité et la violence dominent. Avec ce roman, qui frappe autant par la finesse de ses descriptions que par sa force critique, Celia Levi fait le portrait d'une époque et d'une génération en proie aux ambitions factices et à l'imposture des discours.

Résumé:En 1937, alors que le nazisme se fait de plus en plus menaçant en Europe et que le Japon se militarise, un jeune éditeur s’improvise écrivain pour défendre ce qui fait de nous des êtres profondément humains : la liberté de pensée, l’ouverture du cœur, l’entraide, le désir de justice… Son livre va connaître un destin exceptionnel. Interdit pendant la guerre, son auteur taxé d’antipatriote et plusieurs fois incarcéré, il a été réédité plus de 80 fois : c’est un best-seller depuis près d’un siècle. C’est ce manuel à l’usage des êtres humains que vous allez lire. On y voit un adolescent qui, au fil des découvertes et des questions qu’il se pose au jour le jour, fait l’apprentissage de la vie et de la pensée. Avec le soutien de son oncle, jeune étudiant, qui l’aide à comprendre ce qu’il voit et décrypter ce qu’il pense. Car « il ne suffit pas d’avoir des yeux et des oreilles en état de fonctionnement, il faut que les yeux du cœur, les oreilles du cœur soient aussi ouverts ».

Résumé:L'auteur de La Gana renoue ici avec son personnage au point où il l'avait laissé à la fin de son premier roman. Il sort de l'enfance, on l'envoie à l'usine, il nous raconte sa fuite effarante devant les Allemands, ces «coupeurs de paluches», sur les routes de juin 40. Nous retrouvons dans La perruque la cave des gardiens d'immeuble misérables et sa plaque d'égout, les rats, l'escalier malodorant, le terrain vague voisin, le quartier sordide avec ses putes, ses cloches, ses gamins fiévreux, ses ivrognes. Et toujours la même constellation familiale autour de l'enfant qui monte en graine, maigre, tendre et méchant, fou du besoin d'autre chose, et le cherchant avec acharnement dans le sexe, dans le vin et le vol, dans l'ordure et l'imprécation, dans d'impossibles rêves de fuite... Comme tous les «hommes de la famille», dont il se sent secrètement solidaire, l'adolescent se trouve coincé jusqu'à l'asphyxie dans l'univers des pauvres. Dans cet effrayant récit d'un apprentissage au coeur d'un univers clos sans espoir, l'auteur avance avec sa musique à lui, boiteuse, sauvage, aride. Il va au-devant de l'horreur comme pour l'exorciser par son excès même, comme si écrire restait encore le seul moyen peut-être de «changer la vie».