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Retour à Cormont

Résumé
Ce roman, très attendu, nous raconte l’histoire du retour d’Eustache Joubert dans son village natal du Jura, Cormont, après avoir travaillé près de 40 ans dans la capitale… Un côté «polar» puisque le héros du livre découvre, en se promenant sur les crêtes jurassiennes, un cadavre non-identifié. Ce livre est surtout l’occasion d’évoquer des thèmes comme les éoliennes, l’UDC, les «cas sociaux », les anglicismes. Ce livre se lira aisément et plaira, à n’en pas douter, à beaucoup de lecteurs…
Durée: 3h. 51min.
Édition: Orbe, B. Campiche, 2018
Numéro du livre: 36987
ISBN: 9782882414298

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Durée:5h. 58min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:66676
Résumé: Tous deux sont valaisans, tous deux sont des hommes politiques, tous deux appartiennent au PLR, fusion du Parti libéral suisse et du Parti radical-démocratique. Parmi le ssujets abordés : - L'État social, L'Europe, Le libéralisme aujourd'hui, Culture et médias, Service public ou service au public, etc.
Durée:8h. 55min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:33767
Résumé: Dans ce livre, 17 jeunes chercheurs en sciences politiques ou sociales ont choisi de répondre à 15 questions qui fâchent ou que tout le monde se pose : les étrangers volent-il notre travail ? Les citoyens sont-ils trop bêtes pour voter ? Peut-on tout dire au nom de la liberté d'expression ? En utilisant des outils scientifiques, mais les rendant accessibles au grand public, les auteurs ont eu à coeur de proposer une réflexion exigeante mais claire qui permet d'aborder de manière sérieuse des questions qui ne cessent de revenir dans le débat citoyen. Un livre audacieux et stimulant, illustré par le célèbre dessinateur Mix & Remix.
Durée:3h. 58min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:69853
Résumé: Nous voici les témoins et les acteurs d’une époque qui court, hors d’haleine, à la recherche de son monde d’après. En quelques mois, le socle qui portait nos prospérités, nos projets, nos libertés, s’est brusquement ébranlé sous le souffle de la crise sanitaire et économique. La vague pandémique a heurté la vague verte. L’écume sociale des vies brisées nous a rappelé que pour sauver la Terre, nous devions d’abord nous sauver nous-mêmes. Puisqu’il nous faut préserver l’essentiel et reconstruire ce que la crise a fragilisé dans nos vies, tournons le dos à l’angoisse une fois pour toutes. À la fois réflexion sur l’avenir du socialisme et sur le sens de l’action politique, cet ouvrage aborde les moyens de conjuguer ensemble l’urgence climatique et les nouvelles urgences sociales. Nos rues, nos places, nos quartiers, nos voisins incarnent les points de départ de cette réflexion. C’est ici, en ville, que les forces de gauche bâtissent les nouvelles solidarités. La ville, quelle qu’elle soit, se situe autant au cœur des défis environnementaux que des luttes sociales qui nous guettent. C’est en son sein que nos utopies peuvent se réaliser, depuis là que la voix citoyenne porte le plus loin.
Lu par:Madiana Roy
Durée:6h. 1min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:73618
Résumé: Ce ne sont pas des mémoires, juste des histoires. Elles sont vraies autant qu’un souvenir peut l’être. Un récit bouleversant, authentique, dans lequel Pierre-Yves Maillard nous fait découvrir la naissance de sa conscience politique où la solidarité sera toujours reine.
Durée:43min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:19545
Résumé: Il a créé le canton du Jura avec un groupe d'amis clairvoyants et tenaces et avec l'appui militant d'une très large part de la population jurassienne. Au cours de cet entretien, Roland Béguelin s'exprime avec ce mélange d'enthousiasme et de maîtrise qui fait sa force. Il se présente ici tel que les militants jurassiens l'ont connu en pleine action: clair, précis, stimulant, mais aussi très discret sur les ressorts profonds de sa personnalité, qu'il faut tenter de lire derrière une dialectique rodée qui fait honneur à la langue française.
Durée:4h.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:34088
Résumé: A petites étapes, denses et documentées, Pascal Broulis entraîne ses lecteurs dans les labyrinthes du pouvoir, les guidant d'anecdote en anecdote vers le seul pouvoir convaincant: la démocratie.
Durée:8h. 55min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:65159
Résumé: Un homme est assis au bord de la mer et médite sur sa vie. Il est lassé des projecteurs de la politique et des faisceaux de lumière du monde médiatique. Neuf mois le séparent des élections. Une éternité pour celui qui doit traverser l’enfer. Afin de se préserver du désespoir qui le gagne, il écrit. De courtes notes, des pensées saisies au vol, des observations et de plus en plus de poèmes. Une matière brute destinée à servir de base à un livre à venir. Ce travail rédactionnel l’accompagnera jusqu’à la fin abrupte et brutale de son parcours politique et permettra sa renaissance en tant qu’être humain. Cet homme s’appelle Oskar Freysinger. Il fut fondateur de parti, parlementaire fédéral et membre du gouvernement d’un canton alpin, vécut une campagne électorale qu’il aborda comme le Titanic fonçant sur son iceberg et … y survécut. Dans ce livre, il rend compte d’une plume décomplexée, drôle et lucide de sa mise à mort publique et de l’art de cultiver des roses sur la fumassière de la politique.
Durée:29min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:5407
Résumé: "La paix menace de devenir plus dangereuse que la guerre. Une phrase cruelle, mais pas cynique. Nos routes sont des champs de bataille, notre atmosphère est envahie de gaz toxiques, nos océans sont des cloaques, nos champs sont pollués par les pesticides, le Tiers-Monde est pillé - de pire manière que l'Orient par les croisés autrefois : pas étonnant qu'il nous fasse chanter à présent. Ce n'est pas la guerre, c'est la paix qui est mère de toutes choses, la guerre naît de la paix non maîtrisée. La paix, voilà le problème que nous devons résoudre. Le coeur de l'économie de marché, c'est la concurrence, la guerre économique, la lutte pour les marchés. L'humanité explose comme l'univers où nous vivons, nous ne savons pas comment ce sera quand dix milliards d'humains habiteront la terre. (...) Peut-être l'expérience du marxisme est-elle venue trop tôt. Que peut faire l'individu ? Que faire à présent ? C'est aussi ce que vous demandez." Vàclav Havel.
Durée:8h. 33min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:4063
Résumé: Cette petite musique qui fait la réussite d'un récit, cette écriture qui module sur les notes grises du quotidien et nous saisit plus que tout artifice de style, ce souffle régulier, obstiné, dans le parcours d'un microcosme, Michel Bühler les maîtrise de la première à la dernière page de La Parole volée. Les saisons montent et descendent comme un lent mouvement de marée. Les montagnes se rapprochent et s'éloignent selon les brumes, tantôt barrières qui claquemurent, tantôt promesses d'espace. Des hommes passent de l'usine au café, de la bourrasque de neige à la cuisine, incapables, par timidité, de s'exprimer sur leur travail, ni sur l'angoisse de le perdre. La moindre discussion briserait un équilibre morne et délicat. La vie quotidienne de Sainte-Croix, son langage, son cadre naturel, sa manière de penser, ses mythes, ses surnoms, ses lieux, l'articulation entre les autochtones, les frontaliers et les immigrés, ne sont pas décrits mais éprouvés, intériorisés, invoqués avec une sourde magie, si bien que peu de localités de notre pays et aucune communauté ouvrière si précisément désignée n'ont jamais été peintes avec cette vérité par un écrivain romand. À cet égard, "La Parole volée" fait date dans notre histoire littéraire, comble un manque, inscrit Bühler dans la plus haute tradition du roman social.
Durée:4h. 44min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:16842
Résumé: Que nous est-il arrivé ? Je compare l'aujourd'hui avec ce que nous espérions - les gens de ma génération, ou une partie d'entre eux. Si l'on nous avait dit, quand nous avions votre âge: "Voilà ce que sera le monde, dans quarante ans", en décrivant ce début de millénaire tel qu'il est sous nos yeux, nous aurions éclaté de rire, nous aurions crié au fou! Avec les promesses que nous avions dans les mains, avec notre énergie, notre ardeur, nous allions évidemment bâtir une Terre fraternelle, débarrassée de la pauvreté et de la faim, une Terre d'hommes et de femmes égaux! Et nous ne courions pas après une lointaine utopie, non: le meilleur était en marche, il naissait sans heurts, sous nos pas. Il n'y avait qu'à continuer dans la direction indiquée par les mouvements sociaux d'avant et d'après guerre, il n'y avait qu'à approfondir le sillon que d'autres avaient ébauché avant nous! Au lieu de cela, le spectacle de maintenant. Une révolution a eu lieu. Pas celle que nous espérions. Nous avons échoué, nous nous sommes fait baiser, profond. Par qui? Comment?
Durée:3h. 26min.
Genre littéraire:Nouvelle
Numéro du livre:19282
Résumé: Par ma fenêtre, le vert profond du pré ; plus loin un enchevêtrement gris de troncs et de branchages. Le ciel est plombé. Par une feuille encore, dans le bosquet qui sépare ma maison du vaste plateau des Granges. La radio, tout à l'heure, annonçait de possible chutes de neige jusqu'à mille mètre d'altitude. Tout pourrait être à nouveau blanc, demain matin. Je sais qu'en bas, en Plaine, du côté d'Yverdon ou de Lausanne, les pommiers et les cerisiers sont déjà couverts de fleurs, la sève impérieuse charrie ses flots, riches de sucre, entre bois et écorce. Les champs de colza étalent leur jaune pétant à côté des pousses de blé tendre, les marroniers et les tilleurs défroissent leur feuillage pour l'offrir à la caresse du soleil. En bas, la chaleur, les parfums entêtants, la joie du renouveau, l'herbe grasse.
Durée:2h. 36min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:73560
Résumé: Dans son récit Les Maîtres du vent, le chanteur, écrivain et défenseur de nobles causes, relate la croisade menée par les opposants pour tenter de saborder ce projet qui a divisé la population entre deux camps presque égaux. «Il s’agit là d’un texte partisan. Oui, j’utilise parfois des termes qu’on pourra juger excessifs. Je les assume.» Le narrateur annonce la couleur. C’est l’indignation, la colère, une infinie tristesse qui ont mobilisé sa prise de position et son coup de gueule.