La passion dans les yeux: souvenirs
Résumé
Andréa Ferréol connaît le succès dès 1973 en incarnant la plantureuse héroïne de La grande bouffe, de Marco Ferreri, dont elle dévoile les coulisses de tournage. Elle raconte les metteurs en scène célèbres pour qui elle tourne : Fassbinder, Comencini, Mocky, Schlöndorff, Scola, Greenaway. Omar Sharif, son grand amour, pour qui elle met de côté sa carrière en 1984.
Pas disponible en CD.
Lu par :
Manon, voix de synthèse
Genre littéraire:
Biographie/témoignage
Mots-clés:
Biographie
Durée:
6h.
Édition:
Paris, Archipel, 2016
Numéro du livre:
36178
Produit par:
Association Valentin Haüy
ISBN:
9782809818499
Documents similaires
Lu par : Andrée Genoud
Durée : 8h. 4min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 13646
Résumé:Quatrième de couverture : « En scène » depuis l'âge de deux ans et demi, Marina Vlady donne sa première réplique à Gaby Morlay devant une caméra à l'âge de dix ans... 24 images/seconde est l'occasion de « tourner » avec elle autour du monde, d'Espagne en Italie et d'Afrique en Russie, d'évoquer maintes grandes figures du cinéma mondial : John Huston, Alberto Sordi, Anna Magnani, Marcello Mastroianni..., pratiquement tous les acteurs de cette génération ou de la précédente, autant de metteurs en scène, aussi divers que Jean-Luc Godard, Ettore Scola, Marco Ferreri ou Orson Welles.
Lu par : François Blanchard
Durée : 8h. 23min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 70551
Résumé:L'auteur retrace le parcours de Albert Londres, journaliste reconnu pour son intégrité et dont les reportages donnèrent une voix aux opprimés de la première moitié du XXe siècle. L'originalité et l'influence de ses travaux sont mises en lumière, ainsi que leur contexte de publication.
Lu par : Jacqueline Büel
Durée : 5h. 36min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 3307
Résumé:A partir de 1863, Adèle Hugo, la fille, qui portait le prénom de sa mère et qui avait, alors, trente-trois ans, devint dans sa famille celle dont on ne parlait qu'à voix basse et dont on évitait de prononcer le nom devant qui que ce soit. Elle était partie, subrepticement, pour Halifax, en Nouvelle-Ecosse, afin d'y rejoindre cet Albert Pinson qu'elle souhaitait ardemment épouser et qui ne voulait pas d'elle. Elle annonce aux siens un mariage qui n'a pas eu lieu et auquel les Hugo avaient d'abord cru. Dès qu'il s'avère qu'Adèle a menti, son père en reçoit une blessure où domine le ressentiment. Si libéré qu'il fût de bien des préjugés, restait en lui, aiguë, exigeante, une certaine idée de la respectabilité bourgeoise et de "l'honneur" familial que la conduite d'Adèle avait, à ses yeux, entachée. Grâce à l'amitié du cher Jean Hugo, j'ai pu réunir ici pas mal de documents inédits sur cette lugubre histoire. J'ai laissé parler les textes, réduisant à l'extrême le commentaire ; juste ce que réclamait l'intelligibilité des pièces. Refus délibéré d'un récit romanesque.
Lu par : Claude Garnier
Durée : 9h. 14min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 31121
Résumé:La jeunesse de Victor Hugo.
Lu par : Anne-Marie Schaltegger
Durée : 6h. 28min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 19773
Résumé:Autodidacte de génie Pierre Grimblat est tout à la fois : Résistant, homme de radio, de scène, de télévision, poète, publicitaire, producteur et réalisateur dans le cinéma... Des années 40 aux années 2000, Mes vies de A à Z propose une promenade amoureuse au gré de ses rencontres (de Boris Vian à Serge Gainsbourg en passant par Jean Poiret, d'Hervé Bourges à Raymond Queneau au détour d'Eddie Barclay, Toscan du Plantier ou encore François Truffaut...), de ses amours (ses épouses comme ses escapades sans lendemain), de ses projets à succès (Slogan, Navarro, L'Instit, Les Cœurs brûlés...) mais aussi ses échecs (Dites-le avec des fleurs, L'Empire de la nuit), ses émissions (Avant premières, Lila Colibri...)... Sans regret sur ces 1001 vies passées, Pierre Grimblat nous livre sans faux-semblant son regard alerte et amusé sur cette carrière incroyable qui est la sienne. C'est son fidèle complice Gérard Mordillat qui en signe la préface. C'est un florilège de ses poèmes qui conclut ce périple. Poète, cinéaste, auteur, producteur avec sa société Hamster, Pierre Grimblat est, depuis plus d'un demi-siècle, l'une des figures les plus originales du monde du spectacle.
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 5h. 16min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 14512
Résumé:Présentation de l'éditeur : Dimitri Chostakovitch (1906-1975), le musicien le plus célèbre d'URSS, développa tout au long de sa vie un style musical fondé sur l'ambiguïté : marches grotesques, danses macabres, thèmes ironiques, mélodies hésitantes, climats délétères abondent dans ses partitions où la recherche d'une expression directe n'exclut pas la distanciation, où le tragique est souvent mêlé à l'humour. Et s'il multipliait les déclarations convenues, donnait à ses partitions des titres conformistes et de fausses dédicaces, comme autant de signes d'allégeance, c'est qu'il devait composer avec le régime soviétique qui le terrifiait et qu'il combattait à sa manière. Il sauvait sa dignité et celle de ses compatriotes par des oeuvres à clés, dont il espérait voir la vérité éclater au grand jour. On ne peut donc comprendre l'oeuvre et la vie de Dimitri Chostakovitch sans tâcher de saisir le contexte dans lequel elles prirent place : une époque de terreur et de faux-semblants. Pour écrire ces "douze journées de Dimitri Chostakovitch", Bertrand Dermoncourt a écarté les commentaires politiques et propagandistes qui courent encore sur le compositeur, et privilégié les témoignages directs, la plupart inédits, dans l'espoir d'offrir au lecteur un portrait honnête et fidèle de cet immense musicien à la personnalité complexe.
Lu par : Robert Catani
Durée : 5h. 56min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 29384
Résumé:Le temps est venu de rendre justice à une femme d'exception dont le parcours a trouvé sa cohérence entre sa passion pour la musique et sa Villa Provençale où, pendant la dernière guerre, elle a recueilli des dizaines d'artistes proscrits. Située dans un parc que tous les Marseillais et les touristes connaissent sous le nom de "Campagne Pastré", cette maison a abrité un personnage emblématique de la résistance au totalitarisme. La comtesse Lily Pastré (1891-1974), riche héritière marseillaise, femme excentrique, romanesque, généreuse et grande mélomane, s'engage entre 1939 et fin 1942 dans une résistance qui ne dit pas son nom. Elle transforme sa maison de Montredon à quelques kilomètres du centre-ville de Marseille en refuge pour les artistes et les intellectuels en danger. Les peintres Rudolf Kundera, Christian Bérard, André Masson, les écrivains Lus Dietrich, Lanza des Vasto, les chorégraphes et chanteurs Boris Kochno, Edith Piaf, et surtout les musiciens Clara Haskil, Youra Guller, Samsom François Jacques Ibert, Pablo Casals, Manuel Rosenthal, Félix Raugel ou Darius Milhaud ont trouvé chez elle le gîte, le couvert et la possibilité de se consacrer à leur art. Elle adhère au Comité de secours américain de Varian Fry et fonde en 1940, dans le tourbillon de l'exode, "Pour que l'esprit vive", une association de soutien aux artistes. En 1948, aux côtés de Gabriel Dussurget, elle soutient la création du festival d'art lyrique d'Aix-en-Provence et prouve une fois encore son engagement pour le rayonnement de la musique. Lily Pastré meurt en 1974 à Marseille et la ville, sous la mandature de Gaston Deferre, devient propriétaire de sa maison et de son parc. Pour livrer le récit de cette vie hors-norme, l'auteur s'est appuyée sur une documentation exhaustive ainsi que sur les entretiens qu'elle a menée auprès de ceux qui ont cotoyé Lily Pastré.
Lu par : Rosemarie Margot
Durée : 5h. 1min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 3619
Résumé:"A quoi, à qui pourrait songer Rose Marie Albach-Retty dans cette nuit du 28 au 29 mai ?" Aux premières émotions d'actrice, à sa famille, à ses amours, à ses voyages, à ses triomphes, mais aussi à sa fragilité nerveuse et aux trop nombreuses fêlures de son existence...
Histoire de la grandeur et de la décadence de Marie Isabelle, modiste, dresseuse de chevaux, femme d'affaire, etc.
Houbre, Gabrielle
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 7h. 56min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 13781
Résumé:Marie Isabelle est aujourd'hui totalement oubliée. Elle a pourtant été à l'origine d'une révolution culturelle. En achetant sa méthode de dressage et en lui demandant d'aller enseigner dans la prestigieuse Ecole de cavalerie de Saumur, l'armée de Napoléon III rompt exceptionnellement la logique d'exclusion des femmes, décrétée en 1793. En habilitant cette femme, civile et roturière, comme experte dans un domaine statégique(on fait encore beaucoup, à cette époque, la guerre à cheval) et à un moment critique(la guerre de Crimée), le ministre blesse l'identité aristocratique et guerrière des officiers et des écuyers. L'aventure tumultueuse de Marie Isabelle à Saumur ne peut donc être que la chronique d'un échec prévisible.
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 6h. 42min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 13780
Résumé:Liliane Bettencourt est sans doute l'inconnue la plus célèbre de France. Pour la première fois, Bruno Abescat, grand reporter à L'Express, pénètre dans l'intimité et perce les secrets de la famille la plus riche de l'Hexagone. Ses loisirs, ses propriétés, son patrimoine. On découvre surtout comment Eugène Schueller, à partir de teintures concoctées dans sa cuisine, a bâti L'Oréal, l'empire mondial de la beauté. L'histoire d'un homme. L'histoire du XXe siècle. Dop, Monsavon, Ambre solaire; l'hygiène, les congés payés, la libération de la femme... Mais aussi la saga de deux dynasties qui se rencontrent. Y compris aux heures les plus sombres du siècle - la Cagoule, Vichy...
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 4h. 24min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 12747
Résumé:Que peut éprouver une fille pour une mère qui a refusé de tenir son rôle de mère afin de rejoindre la scélérate organisation de Heinrich Himmler?" C'est à cette terrible question que s'efforce de répondre Helga Schneider dans Laisse-moi partir, mère (Lasciami andare, madre), un livre ouvertement autobiographique. Née en Allemagne, Helga a 4 ans lorsqu'en 1941 sa mère abandonne le foyer familial pour s'engager dans la SS. La vie de la petite fille est bouleversée. Son père se remarie avec une femme qui éprouve pour elle et pour son frère cadet une profonde et durable antipathie. Et en décembre 1944, les deux enfants sont hébergés par Hitler dans son bunker en compagnie d'une centaine de leurs camarades. Le führer leur serre la main et les regarde droit dans les yeux: "Je me sentais comme hypnotisée par un serpent." Après avoir passé son adolescence en Autriche, Helga épouse en 1963 un Italien et abjure dès lors sa culture d'origine, en allant jusqu'à renier sa langue maternelle. C'est donc en italien qu'elle a écrit tous ses livres. (Marco Sabbatini / Le temps)
Lu par : Marie-Louise Bardet
Durée : 7h. 32min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 16581
Résumé:Pendant un mois et demi, l'animateur télé a accompagné sa mère vers la mort. Il raconte dans ce livre, chacune de ces journées et cinquante-cinq ans de complicité.Ce livre est le récit au jour le jour d'une mort programmée. C'est l'histoire d'un lien unique entre un fils au destin hors du commun et une mère au caractère exceptionnellement fort. Écrit à l'instant et à l'instinct, c'est également un témoignage de société brutal et sans concession.C'est surtout la peinture de cinquante-cinq ans de complicité passionnelle qui mèneront à une fin bouleversante. Des dizaines de souvenirs drôles ou touchants, légers ou pesants, mais toujours hors normes. Des morceaux de vie semblant extraits d'un roman populaire, et pourtant bien réels. Un va-et-vient continu entre le futile et l'infiniment grave.