Causa: échanger, partager, reconnaître
Résumé
Le journaliste, producteur et réalisateur S. Paoli et le lexicographe A. Rey s'interrogent sur l'usage fait des mots et de leur maîtrise dans le récit de notre histoire collective.
Pas disponible en CD.
Lu par :
Manon, voix de synthèse
Genre littéraire:
Essai/chronique/langage
Mots-clés:
Philosophie du langage
/
Lexicologie
/
Communication -Philosophie
Durée:
5h. 51min.
Édition:
Paris, J.-C. Lattès, 2015
Numéro du livre:
30133
Produit par:
Association Valentin Haüy
ISBN:
9782709629805
CDU:
100
Documents similaires
Lost in translation: un recueil illustré de mots intraduisibles à travers le monde
Sanders, Ella Frances
Lu par : Cyrille Caille
Durée : 35min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 31893
Résumé:Qui n'a pas un jour ressenti une émotion particulière sans parvenir à mettre un mot dessus?? Si votre cœur ne joue pas la même musique que celle nichée sur le bout de votre langue, si vous rêvez de partir à l'abordage du monde en vous laissant simplement bercer par sa poésie, ce livre est pour vous. Ella Frances Sanders nous convie à un voyage intérieur. Le recueil de mots illustré par ses soins explore la beauté sémantique de la langue au-delà des frontières. Comment appelle-t-on la quantité d'eau qui tient au creux de la main? La marque laissée sur la peau par un vêtement trop serré?
Pourquoi Sherlock s'appelle Sherlock: l'origine insolite des noms de héros de fiction
Lombard, Philippe
Lu par : Cyrille Caille
Durée : 4h. 17min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 33375
Résumé:Harry Potter, Mickey, Rambo, Blake et Mortimer... Les grands héros de fiction font partie de la mémoire collective. Mais, au fait, d'où tirent-ils leurs noms ? Sait-on qu'Indiana Jones doit son prénom au chien de George Lucas ? Qu'Ian Fleming voyait en "James Bond" un nom d'une grande banalité qu'il a emprunté à un ornithologue ? En 157 noms, d'Albator à X-Men, ce dictionnaire recense les personnages les plus célèbres du cinéma, de la littérature, de la bande dessinée, de la télévision, de la chanson, et invite à un voyage plein de surprises dans notre univers culturel.
Lu par : Manon
Durée : 2h. 13min.
Genre littéraire :
Numéro du livre : 34497
Résumé:Une réflexion philosophique sur les mots et le langage, émaillée de calembours et de traits d'esprit. ©Electre 2017
Lu par : Cyrille Caille
Durée : 9h.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 67539
Résumé:Les expressions apparaissent ici et là comme des champignons qui essaiment, évoluent, disparaissent ou ressurgissent parfois longtemps après. Elles naissent dans différentes couches sociales, mais pour ce qui est de leur sens – on aime bien comprendre ce que dit l'autre –, les différences s'estompent rapidement et les expressions finissent presque toujours par avoir leur équivalent dans une autre langue. Ce livre tente de recenser les expressions et leurs équivalents dans une quinzaine de langues. Environ 300 «contextes» placés sous des «étiquettes» pouvant englober diverses nuances.
Lu par : Giselle Mollet
Durée : 13h. 35min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 7946
Résumé:Au cours des siècles où l'unité linguistique et politique du monde romain entre en crise et où commencent à résonner ces langues que l'Europe parle aujourd'hui encore, la culture européenne médite de nouveau l'épisode biblique de la confusion linguarum , et tente de guérir la blessure de la Tour de Babel en essayant de récupérer la Langue Adamique, ou de la reconstruire comme Langue Parfaite. Quelques-unes des personnalités les plus marquantes de la culture européenne se sont consacrées à ce rêve et, bien que leurs utopies ne soient pas réalisées, chacune d'entre elles a produit des "effets collatéraux".
Lu par : Colin Hubert
Durée : 2h. 3min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 70673
Résumé:En dialoguant avec le jeune philosophe espagnol Javier Bassas, Jacques Rancière explicite deux idées qui sont au cœur de son travail. Les mots ne sont pas des ombres auxquelles s’oppose la réalité solide des choses. Ils sont eux-mêmes des réalités dont l’action construit ou subvertit un ordre du monde. Et l’écriture n’est pas l’illustration de la pensée. Elle est un travail de la pensée qui défait le tissu consensuel des rapports entre le perceptible et le pensable et ébranle les hiérarchies entre les modes de discours. Dans l’écriture philosophique comme dans les processus d’émancipation politique, il s’agit de construire des plans d’égalité en détruisant les barrières qui enferment les humains, leur expérience et leur pensée dans des mondes séparés. C’est ainsi tout un discours de la méthode égalitaire que Jacques Rancière développe ici et que Javier Bassas l’amène à préciser en confrontant ses analyses à d’autres entreprises théoriques : marxisme althussérien, phénoménologie ou déconstruction derridienne.
Lu par : Simone Reeve-Gagnebin
Durée : 3h. 57min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 20739
Résumé:Toxiques ou bienfaisants, libérateurs ou aliénants, les mots comptent autant que les actes. Partant de ce constat. le philosophe Michel Lacroix élabore dans ce livre un plaidoyer pour une éthique du langage, dans le domaine privé, entre amis, au travail ou en famille. Une éthique qui n'aurait pas pour critère de jugement la sagesse ou la vérité, mais l'impact émotionnel chez l'individu. Comment faire vivre cette éthique dans la durée ? En s'écoutant. en remettant en cause ses habitudes langagières, en résistant aussi à autrui quand il le faut, mais sans véhémence, en osant dire non et en ayant soin de dissocier ce qui est dit de la nature propre de l'individu, sans jamais user de violence. comme dans l'apprentissage d'un art martial... À cette condition et en remettant au goût du jour la courtoisie. les égards et la considération, on peut espérer. selon l'auteur, endiguer la dégradation des relations sociales et les pratiques déshumanisantes au travail.
Lu par : Manon
Durée : 8h. 48min.
Genre littéraire :
Numéro du livre : 34853
Résumé:La langue arabe offre à la langue française force mots, sans que personne ne s'en doute. Que la langue arabe vienne en troisième position après l'anglais et l'italien a de quoi surprendre. Dans l'alimentation, par exemple, une pastèque, des artichauts, des aubergines, des épinards à l'estragon, une mousseline, un sorbet arrosé de sirop, en buvant de la limonade ou une orangeade, pour finir avec un café, sans sucre, et un alcool, tout cela vient du monde arabe. Pour la mode, une jupe de coton, un gilet de satin, un caban ou une gabardine... Pour le savant, l'algèbre, les algorithmes, les chiffres... Tous les domaines de l'existence sont ainsi répertoriés pour rappeler les mots arabes que nous utilisons, qu'il s'agisse de la flore, de la faune, des parfums et bijoux, de l'habitat, des transports, de la guerre, des couleurs, des fêtes, de la musique, des lettres et des arts, des religions, etc. Sans oublier les effets sur notre langue de la colonisation, de la guerre d'Algérie, du rap... Pour Lavisse, "Nos ancêtres les Gaulois" étaient avant tous des barbares et sans les Romains et la civilisation arabe, qui a irrigué tous le Moyen-Age, la Renaissance aurait encore tardé. Jean Pruvost nous offre une nouvelle fois l'occasion de nous plonger dans le grand voyage des mots de la langue française.
Lu par : Christophe Schenk
Durée : 6h. 19min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 69657
Résumé:En mai 1941, Annemarie Schwarzenbach embarque à Lisbonne pour le Congo, devenu désormais le cœur de la France libre. Mais en Afrique la guerre de propagande fait rage entre l’Allemagne d’Hitler et la Résistance. Débarquée à Brazzaville dans l’espoir de rallier les « Forces de la liberté », la journaliste est suspectée d’être un agent nazi, et n’échappe pas à la censure. Les Forces de liberté regroupe des textes écrits par Annemarie Schwarzenbach au cours des neuf mois et demi que dure son voyage. Pour la plupart inédits en français, ces reportages, récits et poèmes interrogent son rapport à la vérité, tout en donnant à lire la réalité peu connue du continent africain durant la Seconde Guerre mondiale. Ils accueillent aussi l’évocation de parfaits moments de plénitude, la description de contacts miraculeux avec le fleuve, la jungle et la brousse.
Lu par : Clelia Strambo
Durée : 3h. 43min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 77468
Résumé:Voici trente-deux proses brèves qui révèlent Robert Walser en homme-orchestre, capable d’illustrer le genre du feuilleton dans toute sa bigarrure et sa mobilité. Tour à tour chroniqueur, épistolier, penseur, paraphraseur, flâneur, conteur, il observe l’animation d’une gare, médite sur la montée des nationalismes, perce à jour la comédie humaine ou surprend une sulfureuse «buveuse de larmes». Léger, attentif, ce narrateur changeant n’est jamais où on l’attend. Sa fine ironie, sa lucidité ouvrent une brèche dans le quotidien. C’est là qu’il invite le lecteur à le rejoindre: «J’appartiens de toutes mes fibres au présent.»
Lu par : Clélia Strambo
Durée : 1h. 29min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 76475
Résumé:Qui n'a pas un jour voulu être chat ? Tout à la fois gracieux, agile et indifférent, le chat attire à lui toutes les convoitises. 10 raisons de vouloir être chat sont autant de manières d'être convoquées pour échapper à pas feutrés à sa condition d'homme. Pour s'extirper d'un quotidien tapissé d'obligations assommantes, pour vaincre la lassitude, s'offrir le luxe de se prélasser sans se préoccuper du temps qui passe, pour déclarer un je t'aime sans bégayer, pour disposer de son corps sans contraintes, pour régler ses problèmes de vue, se satisfaire de sa simple existence, et enfin pour le simple fait de l'écrire, parce que l'écrire c'est déjà l'être un peu. Fin observateur des scènes de la vie courante, l'auteur puise dans ses souvenirs, de l'enfant à l'adulte, et revient sur les circonstances où s'est exprimé le désir d'être chat. Par sa langue rugueuse, son style impudique et juste, il nous fait part de son admiration pour cet animal tant fascinant qu'enjôleur pour enfin s'extraire de la monotonie. En une tentative d'incarnation, Valério Romão invite chacun à quitter sa peau d'humain, l'espace d'un instant, le temps d'une lecture.
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 1h. 33min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 75096
Résumé:Isabelle Cornaz a vécu longuement à Moscou où elle a travaillé en qualité de journaliste. Se remémorant les détails de sa vie moscovite, elle dresse, dans La nuit au pas, un portrait ambivalent de la ville. S'y dévoile le corps de Moscou, ses cours intérieurs, ses lieux invisibles et les marques de sa gentrification. Le récit s'éloigne ponctuellement de la capitale depuis la proche banlieue jusqu'au cercle polaire, en survolant les villes secrètes de Russie. Entre le songe des souvenirs et la réalité de la guerre qui traverse le récit comme des déflagrations, on avance au pas dans ce paysage désormais inaccessible à l'auteure. "J'ai commencé ce texte en me questionnant sur mon rapport à la ville, sur le désir et la difficulté de la saisir, d'en décrire les pulsions et les motifs - et je l'ai terminé avec le sentiment d'un territoire sombrant, s'autodétruisant au point de se dissoudre". La nuit au pas est un récit sur notre rapport à l'espace, à la mémoire et à la disparition.