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Ombre sultane

Résumé
" Il faut se laisser porter par cette écriture méditerranéenne pour comprendre l'infinie blessure et la longue bataille des épouses, du rêve de dévoilement à la décision de jeter le voile, de la colère des hommes face à une jeune femme "nue", au rire d'une jeune femme, cheveux au vent. Assia Djebar, oscillant entre espoir et désespoir, n'en a pas fini de dire la nuit des femmes et leur lutte pour pouvoir, enfin, regarder le soleil en face. " L'amour, la fantasia, Ombre sultane et Vaste est la. prison forment les trois premiers volets du " Quatuor d'Alger ", vaste fresque aussi singulière que fascinante où s'entremêlent l'histoire algérienne, l'autobiographie et la mémoire des femmes.

Pas disponible en CD.

Durée: 5h. 38min.
Édition: Paris, Albin Michel, 2006
Numéro du livre: 22055
ISBN: 9782226169914

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Résumé:En 1954, Mohammed Dib publie L’incendie, un texte qui deviendra un classique de la littérature francophone du Maghreb. Ce roman, qui fait partie de la trilogie inaugurée par La grande maison (1952) et clôturée par Le métier à tisser (1957), prolonge et complète le programme de l’auteur. Le lecteur retrouve ainsi le personnage d’Omar, jeune garçon de Tlemcen qui est témoin des bouleversements que connaît la société algérienne pendant les années 1930. En ce sens, le fil narratologique incarné par cet enfant transmet une idée de progression chronologique entre les deux premiers volumes de la trilogie qui dépasse clairement la simple mention des repères temporels historiques. C’est une impression de vécu qui ressort, à partir de la présence en filigrane d’Omar, comme si le lecteur pouvait participer aux expériences initiatiques du garçon. Cependant, la cohérence de la trilogie ne vient pas uniquement de ce choix narratologique de l’auteur. Il est aussi question dans ce texte d’un engagement politique consacré à la mise en lumière des souffrances du peuple algérien pendant ces années passées sous la colonisation française. À l’aube de la Seconde Guerre Mondiale, la tension entre les colons français et le peuple algérien ne cesse de s’intensifier et l’auteur choisit de focaliser son regard sur le milieu rural, où les propriétaires terriens, les cultivateurs et les fellahs s’affrontent. Cette décision participe au projet de montrer l’évolution politique et sociale de l’Algérie : « La grève des fellahs venait d’éclater. Arraché à soi, à son inertie, et entraîné tout d’abord très lentement, au sortir d’un long et lourd sommeil, le pays avança dans la vie. »[1]. La protestation des ouvriers agricoles face à la misère dans laquelle l’exploitation des colons les a submergés devient un élan dans la lutte du peuple pour sortir de l’oppression. L’incendie qui donne le titre au roman évoque aussi bien l’événement qui marque cet été 1939 dans Bni Boublen que la révolte qui commence à se développer dans les esprits des paysans algériens.
Durée : 1h. 33min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 23530
Résumé:"Personne ne sait ton nom ni d'où tu viens. Tu n'as même pas un sobriquet, méchant ou sympathique. Ni de chien ou de chat pour te tenir compagnie. Tu n'es qu'un fantôme, une silhouette morte, une ombre creuse qui se traîne sur les trottoirs de S..." Un homme, la cinquantaine cassée, arrive, un soir de pluie, dans une ville qu'il ne connaît pas. Sac au dos et jambes usées, Jean-Jacques Serrano va errer dans ses rues, ses avenues. Il n'a plus de papiers, de montre, de but, sinon celui de se fuir et de se séparer de tout. De tout, sauf de son chagrin.
Lu par : Alain Burnand
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:À 18 ans, Nadia aime la beauté, l'amour, la vie, la mer... Elle se brisera sur de terribles récifs. Nadia, l'héroïne, jeune, belle, frémissante devant les promesses de la vie et rebelle déjà au destin qu'on lui impose. Salim et ses 15 ans, la petite soeur Fériel, et surtout Djamel le grand frère, enfermé dans une autre histoire. Puis c'est la rencontre avec Karim le faible, l'amour en secret et ses dramatiques conséquences avec, au bout, la mort sous les jets de pierre du grand frère vengeur et gardien de la tradition.