Monsieur le Président
Résumé
Ce roman a fait date dans les lettres latino-américaines. Il est inspiré par le régime du dictateur Estrada Cabrera, figure historique du Guatemala au début du siècle. Monsieur le Président est la chronique politique et sociale d'un pays plongé dans les ténèbres de la tyrannie, où chacun vit sous la menace, obligé de choisir entre la mort et la compromission ; c'est aussi un roman d'amour. Sur un fond d'angoisse et de cruauté, l'amour donne à ce livre un incomparable élan lyrique.
Lu par :
Françoise Dufour
Genre littéraire:
Roman : au sens large et aventures
Mots-clés:
Littérature hispano-americaine
Durée:
11h. 53min.
Édition:
Paris, Flammarion, 1987
Numéro du livre:
16488
Produit par:
Bibliothèque Sonore Romande
ISBN:
9782080704559
Documents similaires
Lu par : Maria Roma Gasser
Durée : 6h. 12min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17892
Résumé:L'auteur part à la recherche de son père, à l'article de la mort et qui s'est pourtant enfui de l'hôpital. Un père extravagant qui longtemps sillonna l'Argentine pour le compte de la Paramount, inspectant les salles de cinéma et charcutant la pellicule pour complaire à la censure. Un père assez persuasif pour séduire Laura, somptueux modèle publicitaire qui lui avait préféré au départ un basketteur noir américain.
Lu par : Henri Duboule
Durée : 5h. 44min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13759
Résumé:Quatrième de couverture : L'atelier du temps est le roman de l'amour impossible et de la haine féconde entre mâles : le patriarche au sommet du pouvoir, Miguel Primero, impitoyable ; son fils, Miguel Secundo, qui n'a qu'un but, le dépasser pas tous les moyens ; et le fils de ce dernier, Miguel Tercero, victime et rebelle. Cinq voix très différentes prennent successivement la parole. C'est cette construction impeccable et une fin surprenante touchant à la métaphysique qui ont valu à Alvaro Uribe, le premier prix Antonin Artaud 2004. Dans ce roman de la bourgeoisie, véritable huis-clos où le mâle dominant impose sa dictature aveugle jusqu'à la destruction complète du noyau familial, on découvre, en outre, un Mexique résolument contemporain.
Lu par : Jacques Zurlinden
Durée : 16h. 41min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14471
Résumé:Un jeune Américain dévoré d'ambition débarque un jour sur la côte d'une petite république d'Amérique Centrale. Pour devenir planteur de bananes, il dépouille les paysans de leurs terres. A force de cynisme, de chantage, de trahison, de cruauté, il devient le ' Pape Vert ' et dirige un véritable empire.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 5h. 19min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16060
Résumé:Les Chiens de la nuit, c'est l'histoire de Mercedes (15 ans) et de son frère, Mingo (18 ans). La mort de leur mère les livre à eux-mêmes dans leur bidonville de Buenos Aires. Mercedes est moche, empotée mais elle est "brave, très gentille" ce qui, pour Mingo, signifie : "bonasse, gourde". Aussi laid qu'elle, "feignant de naissance et voyou par vocation", il se lance dans le vol à l'arraché, met sa soeur sur le trottoir (après l'avoir violée, histoire d'user de son privilège de frère) et commence ainsi sa résistible ascension. Si elle est agressive, la littérature de Medina ne se veut pas militante, bien intentionnée. Pour lui, "personne ne peut se considérer comme politiquement innocent. Les cafards, on ne les double pas. On peut tout juste essayer de les rattraper". Ce qu'il dit de Bukowski, "profeta del infierno" dans son essai Colisiones (1984), vaut pour sa propre littérature : "Il nous mène par la main sans rien exiger de nous, sans nous faire de propositions. Bienvenue à qui veut le suivre".
Lu par : Philippe Chabanon
Durée : 1h. 47min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 23531
Résumé:En 114 brefs chapitres, Jorge Volpi oppose un narrateur qui lui ressemble comme un frère, vit comme lui au Mexique, aux États-Unis et en Europe, à l’aventure atroce d’une jeune Irakienne, Leïla, mariée à un homme qui sera une des premières victimes de la guerre. Ayant perdu mari, père et enfant, Leïla part de Mossoul en direction de Kirkouk où elle espère retrouver ses frères, seuls membres de sa famille encore vivants. Aidée par un djinn rencontré sur le bord de la route, elle poursuit sa traversée de l’Irak, et inspire au narrateur une désespérance tantôt sourde, tantôt violente, et des réflexions sans complaisance sur son propre pays et le rôle de l’individu dans nos sociétés.
Lu par : Brigitte Cottens
Durée : 4h. 7min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14259
Résumé:Juan Pablo Castel est artiste peintre et meurtrier. C'est son histoire qu'il va dépeindre depuis sa cellule. Un autoportrait tout en taches sombres, bardé par endroit de couleurs violentes, d'éclairs de lucidité, que ni sa conscience ni les faits ne peuvent contenir. Un autoportrait au fusain, noir et gris, avec du rouge. Ce rouge qui prendra bientôt plusieurs significations, au fil de son témoignage et de sa volonté de se comprendre : le rouge de la passion et le rouge du sang. Car, dès le départ, Juan Pablo Castel nous dévoile tout. Il est l'assassin de la femme qu'il continue à aimer, malgré la mort, plus que sa vie.
Lu par : Paul-André Rousseil
Durée : 2h. 4min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13535
Résumé:Entre burlesque et grotesque, une farce modernement irréaliste. Un chauffeur de taxi sous l'effet de la colère et d'un mystérieux fortifiant voit parfois ses forces se décupler: c'est un "champion à éclipses" (J. Meunier). Il a un seul but dans la vie, une idée fixe: retrouver Valentina et regagner le coeur de cet amour de jeunesse. L'histoire d'un héros brave et maladroit que veut "se réapproprier son histoire par effraction" (J. Meunier).
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 15h. 2min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18802
Résumé:La loterie du Tourisme, organisée par la ville de Buenos Aires, a fait une vingtaine de gagnants. Il s'agit d'une croisière et tous ces voyageurs improvisés, réunis par le sort et appartenant aux classes sociales les plus diverses, s'embarquent sur un navire dont ils ne savent ni la provenance ni la destination. Ce ne sont pas les seules inconnues de ce voyage qui s'annonce mal dès le départ. Une maladie mystérieuse s'est déclarée à bord, et voilà les passagers convertis en détectives. L'un d'eux, Pedro le Mage, déchiffre cette ronde où s'aventurent la poétesse Paula Lavalle, intelligente et cynique, le raffiné Raoul Costa, le professeur Lopez, l'adolescent Felipe, Claudia la résignée et Medran, l'insatisfait...
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 4h. 47min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18367
Résumé:La Neige de l'Amiral Maqroll le Gabier, dans les Andes, remonte le fleuve Xurando sur un rafiot, à la recherche d'improbables scieries qui devraient lui permettre de faire fortune dans le transport de bois. Sa quête sera vaine. Maqroll repartira donc pour l'aventure sans fin, dans le royaume de l'éphémère, vers nulle part.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 15h. 24min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18075
Résumé:L'action de ce roman se situe entre 1971 et 1974. L'écrivain et politologue Carlos Montemayor raconte ces trois années capitales dans la vie et l'oeuvre de Lucio Cabañas, un jeune instituteur amené, à former une guérilla dans les montagnes mexicaines afin de défendre les droits des paysans. il finira comme ses prédécesseurs - Emiliano Zapata, Genaro Vàsquez - criblé de balles, mais son histoire et sa légende sont devenues, au fil du temps, des modèles pour les luttes actuelles et peut-être aussi futures...
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 8h. 7min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18170
Résumé:"Purgatoire" raconte l'histoire d'Emilia Dupuy, dont la vie s'est brisée un jour de juillet 1977, près de la ville de Tucumán, dans le nord de l'Argentine. Avec son mari Simon, cartographe comme elle, ils étaient partis en mission dans cette région lointaine pour parachever la carte d'une route internationale à la demande de l'Automobile Club de Buenos Aires. C'est alors qu'ils sont arrêtés par les militaires en raison de leurs activités «suspectes», ils détiennent en effet, pour leur travail, des cartes topographiques de toute la zone. Après avoir été détenue et torturée, Emilia est libérée par les autorités grâce à l'intervention de son père, le Docteur Dupuy, l'un des intellectuels du régime, dont les idées guident l'action de la dictature. Emilia rentre à Buenos Aires où elle pense retrouver Simon. Mais Simon ne rentrera jamais. Le calvaire d'Emilia s'étend sur plus de trente ans. Elle part chercher son mari à Rio où un témoin dit l'avoir vu ; elle parcourt les bidonvilles de Caracas et de Mexico où elle croit pouvoir retrouver sa trace. Elle n'accepte pas les conclusions de l'enquête menée par des ONG après la chute de la dictature ni les déclarations de plusieurs soldats qui ont vu le cadavre de Simon dans le patio d'une caserne. Emilia pense que son mari est toujours en vie car elle «sent» sa présence. Tomás Eloy Martínez, l'un des intellectuels argentins qui a dénoncé avec le plus de force et d'indignation les crimes de la dictature militaire de son pays, nous raconte cette histoire d'amour et d'obsession dans deux cadres temporels alternés : celui de la dictature et, trente ans plus tard, celui des derniers jours d'Emilia, devenue bibliothécaire dans une petite ville du New Jersey. La narration passe d'un contexte à l'autre, d'une époque à l'autre, et nous offre, à la fois, une fresque historique des années noires de l'Argentine et le portrait intime d'une femme seule, déséquilibrée et hantée par son passé.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 8h. 33min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18071
Résumé:Yocandra vient « d'une île qui avait voulu construire le paradis et s'est transformée en enfer ». Née de fervents communistes cubains, elle s'est d'abord appelée Patrie, avant de se réinventer sous le nom de Yocandra. Quand elle parvient enfin à quitter l'île, elle rejoint Miami, comme tant de Cubains exilés. À Little Habana, c'est le vertige, l'urgence, à chaque instant, on espère, on prie, bientôt Cuba sera libre. Gagnée par l'amertume, Yocandra fuit Miami pour rejoindre Paris. Dès son arrivée, son quotidien est envahi par les Cubains. Partout où elle va, ils sont là, comme si elle n'avait jamais quitté Cuba. À l'hôtel Monaco, l'immeuble borgne où elle a élu domicile, on parle plus espagnol que français...