Contenu

Le plus court chemin d'un coeur à un autre: histoire d'une passion

Résumé
Voici l'histoire d'une passion : la musique. Et d'une conviction : quels que soient les lieux, les conditions de vie, la langue ou les idées, elle réunit les coeurs en les faisant battre, en les éveillant à la beauté, en les consolant, fût-ce un moment, de la détresse ou de la solitude. Cette passion, Jean-Claude Casadesus, né comme il le dit dans une « nichée de saltimbanques », a cherché à la partager partout, à la tête de l'Orchestre national de Lille qu'il a fondé et qu'il a conduit dans plus de trente pays et dans les festivals (Aix, Orange...), aussi bien que « dans une usine ou dans une prison ». Il est aussi l'invité des scènes les plus prestigieuses (Saint-Pétersbourg, Philadelphie, Prague, Londres, Vienne...). Son itinéraire croise celui des plus grands interprètes, de Menuhin à Teresa Berganza, de Rostropovitch à Jessye Norman - et, plus inattendus, Jacques Higelin, Manu di Bango, Khaled ou Youssou N'Dour. Il retrace ici toutes les étapes d'une carrière exceptionnelle et atypique, en nous conviant à un passionnant voyage dans le monde musical contemporain. La flamme de Casadesus emporte l'adhésion du lecteur. Acte d'amour, ce témoignage est aussi une belle profession de foi : La musique est le privilège de tous (... ). Un propos engagé qui gage que la musique est l'une des plus sûres réponses aux malentendus sociaux actuels. Un plaidoyer qui mérite qu'on l'écoute.
Genre littéraire: Biographie/témoignage
Durée: 7h. 12min.
Édition: Paris, Stock, 1997
Numéro du livre: 13950
ISBN: 9782234047549
CDU: 780.92 A/Z

Documents similaires

Lu par : Olga Cherix
Durée : 4h. 43min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 2339
Résumé:Ernest Ansermet est un chef d'orchestre suisse, né le 11 novembre 1883 à Vevey et décédé le 20 février 1969 à Genève. Il est professeur de mathématiques mais étudie parallèlement la musique, notamment avec Alexandre Dénéréaz et Ernest Bloch. Il s'initie à la direction d'orchestre à la tête de l'ensemble du Kursaal de Montreux, de 1912 à 1914, où il succède à Francisco de Lacerda. Ami de Charles-Ferdinand Ramuz, il participe en 1914 à la fondation des Cahiers vaudois. En 1916, il dirige ses premiers concerts d'abonnement à Genève. En 1918, il fonde l'Orchestre de la Suisse romande en groupant des musiciens professionnels. De 1915 à 1923, Serge de Diaghilev lui confie la direction musicale de spectacles des Ballets russes, ce qui le fait connaître dans le monde entier. Artiste engagé, Ernest Ansermet a eu une profonde influence sur la vie culturelle de Suisse romande. On lui doit de nombreux enregistrements englobant le répertoire classique et moderne et divers écrits de philosophie musicale, dans lesquels il défend la musique tonale.
Lu par : Victor Desarzens
Durée : 52min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 19543
Résumé:Voué à son art de toutes ses fibres, il crée l'Orchestre de chambre de Lausanne et en fait un ensemble de réputation internationale, renouvelant le répertoire romand et permettant au public, pendant la guerre, de découvrir Monteverdi. La musique, sous sa baguette, s'est élevée jusqu'aux registres de la «vraie vie», sur le chemin d'une espérance tout illuminée par les fins dernières.
Durée : 19h.
Genre littéraire : Arts
Numéro du livre : 19928
Résumé:L'orchestre, comment ça marche ? Quels sont les rouages de cette étrange communauté humaine et musicale ? On la perçoit comme une masse indifférenciée, sous le nom d'Orchestre philharmonique de Berlin ou d'Orchestre de Paris, négligeant trop souvent qu'il s'agit d'une réunion d'individualités. Qui sont ces musiciens d'orchestre, ces anonymes, ces sans-grade dont on oublie qu'ils sont de grands musiciens ? Ils représentent un paradoxe vivant : artistes et salariés, interprètes et exécutants, aristocrates et prolétaires. Est-ce par vocation ou par défaut qu'ils font ce métier ? Qui se soumet pendant ses études à l'excellence et à la compétition pour finalement fondre son talent dans un groupe ? Comment s'organise cette communauté fortement structurée et hiérarchisée (solistes et musiciens du rang, cordes et vents, c'est une vraie microsociété) ? Avec en point culminant le rapport au chef d'orchestre : pouvoir ou confiance ? Si un chef se montre parfois despotique, un orchestre peut facilement le dévorer tout cru. L'orchestre peut être le paradis ou l'enfer, ses membres peuvent se comporter comme une classe turbulente ou s'élever jusqu'à la transcendance : ce sont des êtres humains, avec leurs forces, leurs travers, leurs diversités, mais lorsqu'ils communient pour le même objectif, on se trouve devant la plus magique des inventions.
Durée : 3h. 48min.
Genre littéraire : Arts
Numéro du livre : 38552
Résumé:A l'occasion des 100 ans de l'AVDC, cet ouvrage relate son histoire et dévoile ses archives. Il propose aussi un questionnement sur le métier de chef de choeurs à l'heure actuelle.
Lu par : Henri Duboule
Durée : 4h. 48min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 17461
Résumé:Il a reçu tous les honneurs. Les plus hautes récompenses lui ont été décernées. Il a fréquenté les plus remarquables personnalités du spectacle et de la politique. Il s'est produit sur les scènes du monde entier, faisant partout des triomphes. En 2005, les Américains l'ont nommé artiste du siècle devant Elvis Presley, Frank Sinatra et Michael Jackson, et il figure à la quatrième place des célébrités préférées des Français en 2009. ...
Lu par : Sylviane Tastavi
Durée : 8h. 16min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 12503
Résumé:Pour la première fois, Caryl Chessman, auteur de « Cellule 2455, couloir de la mort », « A travers les barreaux » et « Face à la justice » ne fait pas oeuvre autobiographique. Faut-il croire pour cela que, selon la formule consacrée, les personnages décrits dans ce premier roman de l'écrivain condamné à mort n'offrent aucune ressemblance avec des personnages réels ? Non pas. Car le « gars Ted », élevé dans la violence et qui ne connaît d'autre loi que la violence, est le symbole même de tous ces gars à la tête brûlée que la société, par ses méthodes de répression aveugle, rejette, chaque jour davantage, vers la violence.
Durée : 5h. 7min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 75277
Résumé:La vie de Gaston Dreyfus, médecin militaire qui se porta volontaire en 1883 pour le Tonkin dans le cadre de la campagne d'Indochine, où sa conduite lui vaudra la Légion d'honneur.
Lu par : Pierre Biner
Durée : 10h. 40min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 14204
Résumé:La mauvaise vie qu'il décrit est la seule qu'il a connue. Il l'a gardée secrète en croyant pouvoir la maîtriser. Il l'a racontée autrement à travers des histoires ou des films qui masquaient la vérité. Certains ont pu croire qu'il était content de son existence puisqu'il parvenait à évoquer la nostalgie du bonheur. Mais les instants de joie, les succès, les rencontres n'on été que des tentatives pour conjurer la peine que sa mauvaise vie lui a procurée.
Lu par : Daisy Vallotton
Durée : 11h. 36min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 5673
Résumé:"Vivre avec Picasso" est à ce jour le portrait de Picasso le plus intime et le plus révélateur que l'on ait écrit. Pendant près de dix ans, Françoise Gilot a vécu auprès du grand peintre dont elle a eu deux enfants. Son livre est la description de ces années à la fois trépidantes, riches en surprises et pleines de tendresse. Françoise Gilot, peintre elle-même, rapporte avec minutie tous les aspects de la création artistique chez cet homme débordant d'idées, d'imagination et d'élans contradictoires. Mais c'est aussi Picasso, l'homme, qui apparaît ici : le compagnon de tous les jours, l'être irascible, le partisan, le père rempli d'angoisse pour son fils, le créateur superstitieux... Autour de lui sont campés quelques-uns des grands hommes de son époque : Matisse, Gertrude Stein, Eluard, Gide, Cocteau, Mirô, Chaplin. On y voit Picasso tenant tête et rusant aussi bien avec les marchands de tableaux qu'avec les nazis, qui interdisaient toute exposition de ses oeuvres pendant l'Occupation... Et ce n'est pas sans émotion qu'on y rencontre un Braque qui, par contraste, est tout en subtilité.
Lu par : Joël Martel
Durée : 4h. 15min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 33691
Résumé:Victor Hugo rêvait d'être « Chateaubriand ou rien ». Sa vie et son œuvre dépasseront cette ambition. Il sera un océan à lui seul : romancier, poète, dramaturge, pamphlétaire, académicien, pair de France, député. Tout en conservant le génie de l'enfance, Victor Hugo empoigna le XIXème siècle, combattit les injustices, la peine de mort, et toutes les formes d'aliénation. Il croyait au mouvement, au progrès. Son défi était de n'avoir jamais peur. Malgré les épreuves, les deuils familiaux, l'exil, Victor Hugo choisit de vivre : « Je suis celui que rien n'arrête/Celui qui va ». Il mit sa force, son souffle dans l'amour des siens, la conquête des femmes, la création et la passion de l'humanité : « Ma vie est la vôtre, votre vie est la mienne, vous vivez ce que je vis ; la destinée est une. » Passer un été avec Victor Hugo ce n'est pas seulement se reposer à l'ombre d'un géant mais aussi voyager en sa compagnie, aimer jusqu'à l'épuisement et partager son sens de l'humour loin de l'image scolaire.
Lu par : Henriette Kunzli
Durée : 6h. 50min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 15969
Résumé:L'enfance et l'adolescence de Malek, petit Algérien ballotté par l'histoire : son père meurt pendant la guerre d'Algérie, son grand-père se trouve dépossédé de ses terres, lui et son frère sont placés en orphelinat. Il comprend que le savoir lui permettra de se sauver. Son bac en poche, il étudie à Constantine puis à Paris avant de revenir en Algérie où il doit faire face à l'intégrisme.
Lu par : Manon
Durée : 4h. 39min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 30261
Résumé:"Richie". C'est ainsi que ses étudiants le surnommaient, scandant ce prénom, brandissant sa photo, comme s'il s'agissait d'une rock star ou d'un gourou. Le soir de sa mort énigmatique dans un hôtel de New-York, une foule de jeunes gens se retrouva, une bougie à la main, devant le temple de la nomenklatura française, Sciences Po. Quelques jours plus tard, le visage mélancolique de Richard Descoings couvrait la façade de l'église Saint-Sulpice. Sur le parvis, politiques, grands patrons et professeurs défilèrent silencieusement, comme si l'on enterrait un roi secret. Au premier rang, l'épouse et l'amant du défunt directeur pleurèrent ensemble sa disparition. Après des années d'enquête, Raphaëlle Bacqué nous livre ce destin balzacien : l'ascension vertigineuse au cour de la vie politique française d'un fils de bonne famille, amateur de transgression. Un de ces hommes qui traversent leur temps et le transforment. Il a fait de Sciences Po le vivier de tous les pouvoirs. Distribuant à l'élite des cours rémunérés, faisant de son conseil d'administration une pièce maîtresse de l'échiquier politique, le Tout Paris l'adorait. Mais il a aussi ouvert les amphithéâtres aux élèves des banlieues. Envoyé ses étudiants dans les universités les plus prestigieuses du monde. Changé la vie de milliers de jeunes gens. Tout juste s'interrogeait-on sur ce directeur homosexuel, pourtant marié à une femme dont il avait fait sa principale adjointe. Monarque éclairé mais omnipotent, encensé par les médias puis brûlé avec le même entrain, personne ne l'a percé à jour. Raphaëlle Bacqué nous entraîne aujourd'hui sur ses pas ; dans les boîtes du Marais, les cabinets ministériels de la gauche et les salons sarkozystes ; dans les soirées étudiantes déjantées, les bureaux du conseil d'Etat, les couloirs de la Cour des comptes et les plus grandes universités du monde ; dans ses nuits solitaires réchauffées par des substances interdites. Personne n'a résisté à la folie de Richard Descoings. Surtout pas lui.