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Terre d'exil et autres nouvelles

Résumé
Quatrième de couverture : De l'amour, Pavese ne retient que la sexualité, liée au sang et à la mort. Les femmes jouent avec les hommes qui les aiment ; elles les manipulent, les trompent, les rejettent... Une violence à peine contenue mise en valeur par le style nerveux et l'intensité de l'écriture.
Genre littéraire: Nouvelle
Durée: 2h. 7min.
Édition: Paris, Gallimard, 2003
Numéro du livre: 13448
ISBN: 9782070428670
Collection(s): Folio

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Lu par : Jean Frey
Durée : 3h. 42min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19731
Résumé:Une plume qui traduit l'errance teintée d'ennui, et l'impuissance de la jeunesse italienne, cherchant à vivre au contact de l'autre... en vain. Le métier de vivre recèle une solitude si angoissante... sentiment qu'il développera en 1952 dans une parution du même titre.
Lu par : Jean Frey
Durée : 5h. 5min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19723
Résumé:À la belle saison, comment s'enfermer entre quatre murs quand il fait si bon danser, marcher dans les rues de Turin ou se moquer des gens qui passent ? Le bel été, c'est le temps joyeux de la jeunesse, mais aussi de l'apprentissage doux-amer de l'existence pour les seize ans de Ginia qu'attire et effraie le monde des adultes, où l'étrange Amelia et le peintre Guido seront ses initiateurs. Le diable sur les collines raconte aussi l'histoire d'un été, celui d'étudiants heureux de se brunir au soleil sur le Greppo où chantent les grillons, tandis que le riche et jeune Poli cherche dans l'alcool et la drogue un sens à sa vie ou peut-être un dérivatif au vide de son âme. L'ennui. arme du diable, frappe en ville comme sur les collines les cercles de la jeunesse dorée où Clelia Oitana, l'héroïne d'Entre Femmes seules, a ses entrées de par son métier. Rien n'apaise cette «difficulté d'être» dont le grand romancier italien s'est fait le peintre attentif et sensible.
Lu par : Jean Frey
Durée : 5h. 42min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19722
Résumé:Le diable sur les collines raconte aussi l'histoire d'un été, celui d'étudiants heureux de se brunir au soleil sur le Greppo où chantent les grillons, tandis que le riche et jeune Poli cherche dans l'alcool et la drogue un sens à sa vie ou peut-être un dérivatif au vide de son âme. L'ennui. arme du diable, frappe en ville comme sur les collines les cercles de la jeunesse dorée où Clelia Oitana, l'héroïne d'Entre Femmes seules, a ses entrées de par son métier. Rien n'apaise cette «difficulté d'être» dont le grand romancier italien s'est fait le peintre attentif et sensible.
Durée : 4h. 29min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 19438
Résumé:Cesare Pavese est un écrivain italien. Il vit l'Italie fasciste de Mussolini à laquelle il s'oppose par l'intermédiaire du groupe antifasciste « Giustizia e Liberta » ; il est exilé en Calabre. Cet événement biographique est significatif dans sa production littéraire puisqu'il le pousse sans aucun doute à réfléchir sur l'existence humaine, à travers ses Dialogues avec Leuco notamment. Alors qu'il s'inscrit dans le mouvement néoréaliste de l'époque, il rompt avec ses formes caractéristiques pour ses Dialogues avec Leuco qu'il considère comme son chef d'œuvre. Ce travail, écrit entre 1945 et 1947, est divisé en vingt-sept dialogues qui mettent en scène des personnages mythiques, sauf exceptions comme Sappho ou Hésiode. Leuco, abréviation du mythique Leucotea (Ino, épouse du roi de Orcomeno Athamas) qui protège les naufragés fait également référence à son amour à la fois passionnel et frustrant pour Bianca Garuffi. Ce titre donne le ton de son ouvrage qui se veut une réflexion existentielle et personnelle à travers le support mythologique, en vue de protéger les hommes de leur naufrage, peut-on penser...
Lu par : Anik Friederich
Durée : 3h. 1min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13880
Résumé:Ce livre d'Erri De Luca, écrivain italien contemporain, comporte 18 nouvelles, et démarre par un poème en vers dédié à sa mère, Mamm'Emilia, et indirectement à toutes les mères (" parce qu'être deux commence par elles "). Et ces nouvelles évoquent des thèmes aussi universels que la solitude, l'engagement politique, la foi, la rencontre amoureuse...à travers des histoires faussement banales, et à travers elles, cherchent à mettre en exergue ce qui peut unir les hommes et leur permettre ainsi d'échapper à la solitude. Mais évidemment, la solidarité humaine ne fonctionne pas à tous les coups, parce qu'elle peut aussi se refuser, et on a dans ce livre l'illustration que les hommes savent tout aussi bien s'aimer que se déchirer..." Deux n'est pas le double mais le contraire de un, de sa solitude. Deux est alliance, fil double qui n'est pas cassé.
Durée : 4h. 30min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13643
Résumé:Quatrième de couverture : Deux récits, Famille et Bourgeoisie, recréent les microclimats de la bourgeoisie italienne des années 60. Une décadence inexorable y affecte en sourdine les relations entre les êtres. Dans un style drôle et faussement naïf, Natalia Ginzburg décrit le délitement des liens familiaux, sur le mode de l'insouciance pour les jeunes générations ou de la résignation pour les plus âgés. Elle capte avec une irrésistible lucidité les fractures intimes entre mari et femme, entre enfants et adultes.Ecrit dans un langage parlé d'une saveur délicieuse, ce livre est une plainte murmurée douce-amère où l'on ne sait ce qui l'emporte du comique ou des larmes.
Lu par : Francine Crettaz
Durée : 5h. 42min.
Genre littéraire : Nouvelle
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Lu par : Françoise Golaz
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Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 39495
Résumé:Acclamé comme véritable chef-d’œuvre, Prophétie, qui ouvre ce recueil, traite des difficultés d’un fils qui accompagne son père tout le long d’une maladie aussi éprouvante qu’incurable. Veronesi nous conduit dans son monde où règnent l’obsession du mal, l’amour, la mort. On saisit les personnages au tournant de leur vie, ou à l’époque de leur maturité tourmentée, hantés par des questions irrésolues aux conséquences parfois dramatiques. Un briquet atterrit dans le moteur d’une voiture, une vieille voix au téléphone veut parler à une inconnue, une simple promenade à Paris se termine par l’inquiétante traversée à pied des Champs-Élysées... Il faut le lire pour le croire. Ce que vivent les protagonistes de ces nouvelles est banal et extraordinaire à la fois, si bien que l’on a envie d’accompagner ces gens ordinaires pour donner un sens à ce qu’ils font. Magistral.
Durée : 9h. 47min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13867
Résumé:
Lu par : Adriana Evequoz
Durée : 10h. 58min.
Genre littéraire : Nouvelle
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Résumé:Dans Nouvelles romaines, Moravia se mue en conteur, dans le cadre d'une tradition typiquement italienne, et en conteur uniquement livré au plaisir de raconter. Pacifié, il retrouve une connivence foncière avec le petit peuple de Rome, sa patrie profonde et pittoresque, et le lieu d'un certain bonheur d'être, dans une dolce vita qui n'a rien de fellinien.
Durée : 2h. 43min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 65852
Résumé:C’est dans son village natal, près de Belluno, que Dino Buzzati, atteint d’un cancer, va passer les derniers mois de sa vie. Conscient que l’échéance fatale est proche, il écrit alors une série de textes courts qui marquent l’aboutissement de ses réflexions majeures. La métaphore de la vie militaire, vers laquelle il revient ici après son célèbre Désert des Tartares, est le moyen pour le grand écrivain italien de se pencher sur les thèmes du sacrifice, de l’obéissance, de la fatalité, de la grandeur, de la vacuité… Derrière l’apparente retenue, l’impassibilité à la fois inquiétante et ironique de ces récits, l’émotion est tangible. On veut bien croire Buzzati lorsqu’il déclare que son « régiment » est prêt à partir. C’est l’« avis de départ » d’un voyageur immobile. Un recueil de nouvelles qui apparaît comme l’apothéose d’une oeuvre tout entière vouée au mystère de la vie… et de la mort.
Lu par : Daniel Burnand
Durée : 4h. 18min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 3640
Résumé:Parmi les cauchemars dont les esprits de la nuit s'amusent à tourmenter les humains, le rêve de l'escalier est un des plus efficaces dans sa simplicité. La rampe se dérobe sous la main du dormeur, se fragmente, se pulvérise, les marches hautes comme des tours se creusent en abîmes ou s'amenuisent en barreaux ployant au-dessus du vide - et l'épouvante serre le coeur du dormeur qui s'y croit cramponné. Cette suite d'espoirs déçus, de certitudes anéanties, de vains efforts incessants a d'autant plus de prix, disent les esprits nocturnes, qu'elle renferme une allégorie de la vie. Il en est de même, en vérité, pour les vingt-quatre autres textes (contes, récits, variations) du recueil auquel Le Rêve de l'escalier donne son titre. De la réalité quotidienne et du pseudo-réel qui hante le sommeil au vrai fantastique, la marge est souvent étroite. Dino Buzzati excelle à glisser de l'une à l'autre, à suivre les méandres des distorsions temporelles, à faire résonner le tic-tac de la pendule fantôme annonciatrice de l'avenir, à chausser les lunettes qui révèlent Les Vieux clandestins, à brancher la télévision-vérité des Inventions, à écouter chiens et vieille auto. , L'humour comme dans l'apologue gai de L'Epouse ailée, l'observation désabusée d'Icare ou de Lettre d'amour, l'ironie amère inspirée par les conflits de générations et le Temps dévoreur des êtres, sont d'autres facettes qu'offre ici le talent d'un des meilleurs écrivains italiens contemporains.