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Films

Ondes de choc [3] : Journal de ma tête de
par Meier, Ursula
(2018)

"Ondes de choc", quatre films destinés à la télévision par quatre cinéastes suisses. Quatre voyages, dont le point de départ est un fait divers réel survenu en Suisse, et dont la ligne d’arrivée se confond avec celle de l’imaginaire. - Quelques minutes avant d’abattre froidement son père et sa mère, Benjamin Feller, un jeune homme de 18 ans apparemment sans histoire, envoie par la poste à sa professeure de français son journal intime dans lequel il confesse et explique son double meurtre. L’enseignante se retrouve interrogée par la justice, puis bientôt confrontée à ses propres doutes. Et si son goût pour une littérature hantée par les tourments de l’âme humaine l’avait rendue aveugle sur la détresse de son élève, et sur ce qui se cachait derrière la prose fiévreuse qu’il lui avait fait lire bien avant son crime?

Ondes de choc [1] : La vallée de
par Bron, Jean-Stéphane
(2018)

"Ondes de choc", quatre films destinés à la télévision par quatre cinéastes suisses. Quatre voyages, dont le point de départ est un fait divers réel survenu en Suisse, et dont la ligne d’arrivée se confond avec celle de l’imaginaire. Pour "La Vallée", Jean-Stéphane Bron s'est inspiré de l'histoire vraie du drame de l'A1. Riyad et son ami Zaïd quittent leur cité de la banlieue de Lyon, pour un raid en Suisse. Ils doivent voler deux grosses cylindrées pour le compte de Chérif, un caïd du quartier. Mais l’expédition tourne mal. Pris en chasse, Riyad s’enfonce dans la montagne pour échapper à la police. La traque continue au coeur d’une vallée perdue, hostile, dans laquelle Riyad cherche désespérément le chemin vers la France.

L'enfant d'en haut de
par Meier, Ursula
(2012)

Simon, 12 ans, vit seul avec Louise, dans une vallée industrielle de Suisse. Tous deux vivent grâce au petit trafic d'équipements de ski de Simon, qui vole le matériel dans la station de ski située en haut de la vallée et le revend ensuite à ses petits voisins ou à des automobilistes au bord des routes. Louise, qui papillonne d'amant en amant, perd son travail et devient progressivement dépendante de Simon. On apprend peu à peu, dans une chronique de la petite misère quotidienne, l'histoire compliquée de ce lien familial : Louise est en réalité la mère de Simon et lui impose de dire qu'il est son petit frère. Le film s'attache à montrer les liens affectifs des deux protagonistes entre déchirement, conflit, réconciliation et affection mutuelle. Simon, sous des aspects de grand débrouillard sans scrupules malgré son jeune âge, reste un enfant fragile à la recherche d'un lien maternel brisé. Louise, bien que frivole et inconsciente, est, quant à elle, tiraillée entre son goût pour l'indépendance et la nécessité de protéger Simon.

La petite chambre de
par Chuat, Stéphanie
(2011)

C'est une histoire de cœur. Celui d'Edmond n'est plus très solide. Mais il bat au rythme d'une indépendance farouche, celle qui lui fait refuser l'idée même d'entrer en maison de retraite, celle qui le pousse à refuser les soins de Rose, qu'on lui envoie comme infirmière à domicile. Papy fait de la résistance ? La jeune femme lui tient tête. Elle sait le tumulte qui saisit un coeur quand il faut accepter l'inacceptable. Le sien n'est pas encore remis. Un jour, une mauvaise chute oblige Edmond à accepter l'aide de Rose

Le temps d'Anna de
un film de Greg Zglinski ; scénario et dialogues de Noémie Kocher et Henri Helman
(2016)

Canton de Neuchâtel, 1917 à 1933. Un jeune horloger tombe éperdument amoureux d’une mystérieuse jeune femme. Jean et Anna se marient, s’aiment à la folie et traversent tout ensemble. Portés par leur bonheur et les amis qui font route à leurs côtés. Jean veut inventer une nouvelle montre étanche. L’avenir est plein d’espoir. Mais Anna semble soudain atteinte d’un mal étrange, qui empire chaque jour. L’amour de Jean parviendra-t-il à la sauver?

Distribution : Mathieu Simonet (Jean Schaeffer), Gaëlle Bona (Anna von Rohr), Isabelle Caillat (Elisabeth Grimm), Jean-Charles Clichet (Abraham Blum), Baptiste Coustenoble (Gaspard Sandoz)