Recherche par mot-clé: Sociologie
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Lu par : Flory Lambelet
Durée : 8h. 11min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 11196
Résumé:Le bouillon de poulet (chicken soup) est, aux Etats-Unis, un reconstituant très populaire. Un breuvage qui fait chaud au coeur. Voici le meilleur fortifiant pour l'âme jamais publié ! Sa recette ? Des histoires vraies qui sont autant de leçons d'espoir, d'abnégation et d'humour, et dont la simple lecture redonne de l'énergie. Parce qu'il suffit parfois d'un sourire, d'un geste pour ensoleiller une journée entière, apaiser des souffrances, libérer des émotions, cet ouvrage est un formidable cocktail de vitamines pour le coeur et l'esprit. Ces nouvelles histoires sont dédiées plus spécialement à la femme, à toutes les femmes : la femme-mère, la femmeamante, la femme-épouse, la femme-femme... Véritable phénomène éditorial, ce livre a eu un succès retentissant dans le monde entier.
Lu par : Jean Frey
Durée : 1h. 49min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 13023
Résumé:"Réfléchir sur la mort, c'est réfléchir sur la vie. C'est viser un autre art de vivre." Pour cela, Bernard Crettaz souhaite "libérer la mort de tous les ghettos où elle se trouve enfermée: médicaux, psychologiques, religieux, sectaires, médiatiques". Cette entreprise, le sociologue valaisan s'y attache depuis de nombreuses années, lui qui a fait partie des fondateurs de la Société d'études thanatologiques de Suisse romande, en 1982. Son dernier livre, Vous parler de la mort, reprend ses thèmes favoris, dans une suite de méditations. Il évoque aussi bien certains rituels que ses propres expériences, comme celle du décès de son épouse.
Lu par : Michel Joyet
Durée : 11h. 37min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 12172
Résumé:Événement majeur de notre siècle, le nazisme demeure également une énigme majeure posée aux historiens. Entre l'omnipotence diabolique de Hitler et la description de son pouvoir comme celui d'un « dictateur faible » face à un appareil d'État tout-puissant, Ian Kershaw risque une vision nouvelle. Ce qui devient objet d'histoire, ce n'est plus Hitler, mais sa position exceptionnelle qui excédait la mesure d'un individu sans qualité, tribun de brasserie, déclassé social, artiste raté. Hitler exerçait une autorité charismatique, fondée sur la perception, toujours renouvelée, par la masse de qualités, d'une mission, d'un héroïsme supposés du chef. Le charisme permet enfin de tenir ensemble tous les traits que les interprétations précédentes avaient jusqu'alors séparément soulignés: le pouvoir de Hitler résultait de la collaboration, de la tolérance, des faux espoirs ou de la faiblesse de tous ceux qui, en Allemagne, occupaient une position de pouvoir ou d'influence tous reportèrent leurs attentes ou leurs ressentiments dans la personne du dictateur. Il devint l'emblème de l'activisme, la source de l'autorité légitime, l'instance de confirmation ou de sanction des faits et gestes de quiconque agissait selon les intentions qu'il prêtait au Führer. De cela résultait une combinaison sans précédent d'instabilité institutionnelle et de dynamisme hors du commun, qui, incapable de stabilisation dans des formes légales, finit dans l'autodestruction.
Lu par : Giselle Mollet
Durée : 6h. 55min.
Genre littéraire : Sciences/technologie
Numéro du livre : 6981
Résumé:La peur du loup a été maintes fois exploitée. Depuis les meneurs de loups qui rançonnaient les voyageurs jusqu'à la récente "bête des Vosges", en passant par les loups-garous et les expressions d'aujourd'hui, ce bel ouvrage vous fait découvrir un univers, témoin de la richesse des mentalités populaires.
Lu par : Diane Perrot
Durée : 6h. 41min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 3964
Résumé:De la cuisine de jadis, préparée par les femmes, au feu de bois : chaleur douce, pénétrante, présences tutélaires, la "cuisine du coeur", à la haute gastronomie : un peu froide, esthétique, élaborée par ces messieurs les virtuoses. Du repas solitaire : au restaurant, sur un chantier, dans un parc, la nuit quand on se relève, aux repas de l'enfance : en famille, heureux ou tournant à la tempête. Repas du dimanche, paisible, à "l'Auberge du bel Eté". Ou triste réfectoire gériatrique. Mais il y a aussi ce repas, la Cène ("Prenez et mangez, ceci est mon corps"). Et ce repas encore, à Emmaüs, le soir même du dimanche de Pâques. Repas à Paris. En province. Petits restaurants populaires. Dîners d'apparat. Sandwiches ou grands menus. Cosmique est l'acte de manger ! Haldas dit tout cela, et bien d'autres choses encore : le wagon-restaurant (rêveur), l'avion (désopilant). Repas ratés et festins somptueux. Mais aussi l'amitié, indissociable de tout vrai repas (à l'inverse des "repas d'affaires"). Et il rappelle, en passant, que les mots saveur et savoir ont, en latin, la même origine, sapere. Quels horizons ! Bref, des repas comme manifestation, par excellence, de la condition humaine. Telle est cette légende. Où le quotidien, le burlesque et le sacré, de par la voix de l'auteur ne font qu'un.