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Recherche par mot-clé: Sculpture

3 résultats.

Durée : 5h. 39min.
Genre littéraire : Arts
Numéro du livre : 78961
Résumé:Un roman qui raconte la création du groupe statuaire Les bourgeois de Calais de Rodin, inauguré en 1895 afin de rendre hommage à l'héroïsme de six habitants qui se sont livrés au roi d'Angleterre à l'issue d'un siège, au début de la guerre de Cent ans, pour que soient épargnés leurs concitoyens. L'amitié entre Rodin et Omer Dewavrin, maire de Calais et commanditaire de l'oeuvre, est relatée.
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 29min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 65054
Résumé:Monologue de l'écrivain et dramaturge Pascal Rebetez qui évoque l'univers et les cheminements de l'artiste Judith Scott. Pascal Rebetez est né à Delémont en 1956. Comédien de formation, il devient journaliste à la radio puis à la télévision pour des magazines culturels et de société. Il est l’auteur d’une douzaine d’ouvrages, nouvelles et recueils de poésie. « On m'appelait Judith Scott » est sa deuxième création inspirée par un auteur d’Art Brut. Fasciné par le "Plancher de Jeannot", œuvre exposée en 2004 à la Collection de l’Art Brut, il a écrit pour la scène « Les mots savent pas dire ».
Lu par : Manon
Durée : 1h. 32min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 34491
Résumé:« Je ne veux pas penser à toi, je ne veux pas. C'est pour cela que je tremble, parce que l'idée de toi, de toi maintenant quitté, cette idée-là m'obsède. Je suis pourtant sauvée, je vais vivre, ne plus me poser la question de mourir, je vais vivre, mais reste-t-il encore en moi quelque chose de vivant ? » Elle a tout abandonné pour lui. Elle avait du talent et commençait à être reconnue. Comme lui, elle est sculpteur. Mais elle est devenue sa servante. Insidieusement. Elle s'est oubliée, reniée et tente, au début de ce court roman intense, de prendre la fuite. On pourra évoquer (même si ce n'est pas du tout ça !) l'histoire Camille Claudel/Rodin. Mais le sujet est hélas assez universel. Et des femmes parfois en meurent sans que, autour d'elles, on ne se doute de la raison de leur suicide. Violaine Bérot raconte, avec son style reconnaissable et poétique, cette tragédie que représente le fait de devenir « personne ».