Contenu

Recherche par mot-clé: Roman -Histoire et critique

2 résultats.

Durée:10h. 39min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:31192
Résumé: Des milliers de châteaux ponctuent le paysage de France comme autant de témoins de son passé. "Châteaux d'hommes" ou "châteaux de femmes", féeriques, aristocratiques, campagnards, romantiques ou diaboliques, tous marqués par une histoire d'amour, de mort ou de guerre qui leur laissa son empreinte, ils font partie de notre imaginaire et de nos légendes. Juliette Benzoni nous conte près de soixante-quinze des plus symboliques d'entre eux ; de Josselin à Saverne en passant par Amboise, Bellême, Blaye, Bonneval, Cas-tries, Chambord, Château-Gaillard, Compiègne, Lunéville, Pau, Polignac, Vaux-le-Vicomte ou Uzès. Ces hauts lieux sont tous le décor de la vie d'un personnage exceptionnel, d'une aventure incroyable, d'un événement historique de premier plan. Pour les châteaux ouverts au public, le lecteur trouvera à la fin de chaque texte les périodes et horaires d'ouverture.
Lu par:Jean Frey
Durée:5h. 17min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:13723
Résumé: Le Rideau , c'est ce "tissu de légendes" que Don Quichotte (mû par la plume inspirée de Cervantès) déchire afin que puissent s'engouffrer dans la béance les grands bretteurs du roman moderne. "Appliquée à l'art, relève Kundera, la notion d'histoire (...) ressemble à un voyage entrepris pour explorer des terres inconnues et les inscrire sur une carte. L'ambition du romancier est non pas de faire mieux que ses prédécesseurs, mais de voir ce qu'ils n'ont pas vu, de dire ce qu'ils n'ont pas dit. "Pour l'auteur, ce qui importe alors, c'est moins l'origine de "l'explorateur" que la qualité de son regard lorsqu'il le porte sur ces nouveaux paysages. D'où sa dénonciation d'une vision "provincialiste" de la littérature, qu'explique notamment la possessivité des nations à l'égard de leurs artistes. Kundera en sait quelque chose, lui qui fut parfois classé parmi les auteurs slaves. "Ce déplacement dans un contexte qui n'était pas le mien, je le vivais comme une déportation", souligne-t-il.