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38072 résultats. Page 1383 sur 1904.

Lu par : Alain Bertrand
Durée : 4h. 3min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 26195
Résumé:Les "si brèves années de gloire" sont celles de la décennie qui précède le début de la guerre civile libanaise, en 1975. Fils de filateurs ruinés, l'aventureux Ghaleb Cassab n'a de cesse qu'il n'ait relevé la fortune de sa famille et conquis, ce faisant, la femme aimée que sa pauvreté lui interdit d'épouser. II y parviendra de la plus rocambolesque façon, en allant enlever les machines d'une usine sous séquestre à Alep, en Syrie. Remontées à Beyrouth dans la filature familiale à l'abandon, elles feront bientôt de lui un homme riche et courtisé. Mais déjà la guerre est là, qui fracasse les rêves de bonheur. Qu'importe, au milieu des combats les machines seront, une fois encore, déménagées et emportées dans la montagne, dans l'espoir que le temps reviendra où l'on pourra imaginer "l'avenir et une descendance heureuse".
Durée : 12h. 16min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 29913
Résumé:Malgré la détermination du pharaon Sésostris, malgré le efforts conjugués de ses généraux qui cherchent - en vain - le coupable, malgré les incantations quotidiennes et les soins de la reine et des sept prêtresses de la déesse Hathor, le bel acacia d'Abydos se meurt... Mais parmi ces prêtresses, la plus mystérieuse, celle qui hante les nuits du jeune scribe Iker, a une idée : pour sauver l'" arbre de vie ", il faut construire à Dachour une nouvelle pyramide incarnant Osiris. Sésostris est d'accord, ils trouvent ensemble l'endroit idéal, les travaux vont pouvoir commencer, sous le regard bienveillant d'Isis. Ce qu'ils ignorent l'un et l'autre, c'est qu'un triple complot se trame contre lui : d'une part, l'Annonciateur, ce barb diabolique qui prêche aux tribus du désert, a décidé d prendre le pouvoir en faisant assassiner Pharaon ; d'autre part, à la Cour même du roi, un traître ambitieux et voleur n'a plus qu'une solution, éliminer son maître ; enfin Iker lui-même, trompé par les apparences, croit le moment venu de régler ses comptes. Or Sésostris est rarement seul, jusqu'au jour où l'occasion se présente...
Lu par : Manon
Durée : 7h. 4min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 29220
Résumé:Grand reporter, l'auteure fait partie des rares journalistes à couvrir le conflit syrien en immersion grâce à sa longue connaissance du pays et à ses nombreux contacts avec les activistes. Après avoir témoigné de la façon dont la rébellion était menée au quotidien elle estime, en conclusion, que l'Etat islamique est "la créature de Bachar al Assad, son meilleur allié, son alibi".
Lu par : François Goy
Durée : 3h. 10min.
Genre littéraire : Roman terroir
Numéro du livre : 21783
Résumé:" La fin du monde, ça sera quand le Soleil et la Terre se mélangeront pour former la même soupe lumineuse. Dans le Mercantour, au nord de la Provence, là où les Alpes commencent à fatiguer, c'est souvent la fin du monde. Surtout l'été. Ce jour-là, par exemple. L'air ébouillantait tout. Les yeux, les bras, les jambes, mais aussi les poumons. C'est pourquoi il respirait à petites goulées, Marcel Parpaillon, en montant le sentier pente qui menait à la bergerie, aux Hautes-Cougourdes. Il avait l'air de rigoler, mais c'était le soleil qui l'aveuglait. Au-dedans de lui, la peur battait du tambour et même plusieurs tambours. Il marchait lentement, car il tenait à peine sur ses jambes. A cause de son âge, quatre-vingts ans bien sonnés, et d'un mauvais pressentiment, depuis les cris qui, quelques minutes auparavant, avaient crevé le ciel, du côté de la bergerie. "
Lu par : Arantza Urrejola
Durée : 1h. 28min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 25472
Résumé:Magdalena est l'épouse de Pieter van Beyeren, administrateur de la Compagnie néerlandaise des Indes orientales. Issue d'une famille de riches armateurs, Magdalena est rigoureuse, soucieuse d'ordre et d'économie, maîtresse d'elle-même et de son foyer. Elle aurait pu succéder à son père si le commerce n'était réservé aux hommes, et la place des femmes à la maison. C'est sur un espace intérieur qu'elle semble s'être repliée. Intérieur où elle s'est fait représenter vue de dos, à son clavecin, près d'une fenêtre éclairant une enfilade de pièces qui respirent le calme, dans un tableau au charme presque irréel peint par un artiste du temps, Emanuel de Witt. Ce décor a ses secrets, que livre le journal intime de Magdalena. Sa déception de n'avoir pu succéder à son père, née sans héritier mâle. Sa rencontre avec Pieter. Toutes les failles intimes de son existence. Un souvenir qui l'oppresse, emplit ses nuits d'angoisse: le meurtre dont elle a été témoin, enfant. Et d'autres infortunes autour d'elle. Sa sœur Judith, qui se morfond de ne pouvoir enfanter. Ses filles, Catherina et Elisabeth, pour lesquelles Magdalena songe à des mariages délicats à arranger. Enfin, son propre sort en tant qu'épouse, quand Pieter décide brutalement de renoncer à tout commerce de chair avec elle, pour ne pas risquer encore une fois de la perdre en couches. A ces inquiétudes personnelles se mêle le récit des efforts d'une famille d'armateurs pour conserver le bien-être.
Lu par : Brigitte Bahurel
Durée : 1h. 1min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 25308
Résumé:Tout jeune retraité, le narrateur prend Léo sous son aile, un petit vieux de 99 ans qu'il croisait à la maison de retraite. Le récit de leur vie à deux à travers les détails significatifs de la vie quotidienne.
Lu par : Jacqueline Grau
Durée : 4h. 38min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 26198
Résumé:Qui est l'auteur du dessin que l'acteur Gérard Desarthe achète sur un marché normand en juillet 2010 ? D'où vient ce pastel figurant un jeune arabe ? Le nom de William Burroughs y est-il inscrit comme une signature ou comme une dédicace ? Mona Thomas, amie de l'acteur et critique d'art, flaire aussitôt l'énigme et mène l'enquête, intriguée par des indices aussi mystérieux que prometteurs. Pourquoi ce portrait a-t-il fait un si long trajet et n'est répertorié dans aucun catalogue ? Mona Thomas se voit embarquée dans le Tanger des années 1950, lieu d'élection de la Beat Generation, qui y vivait alors une aventure artistique hors du commun où paradis artificiels, prostitution, homosexualité, fêtes et rencontres se mêlaient dans une apparente harmonie. Elle y croise, parmi tant d'autres, l'écrivain américain Paul Bowles, revisite l'oeuvre et l'existence torturée de Francis Bacon, et approche Ahmed Yacoubi, jeune peintre et modèle tangérois vers qui tout converge. La quête de Mona Thomas est devenue un livre haletant, séduisant, qui interroge la vie au coeur de la création artistique, la place du modèle et celle du mécène, l'amour et sa part d'autodestruction, et dit une époque et un contexte où, pour 500 pesetas, on préférait s'offrir un garçon plutôt qu'un tableau. Elle pose également des questions essentielles : comment authentifier une oeuvre ? Qui décide de sa valeur ? Comment considérer les « rebuts » de l'artiste ? Mais alors, qui est l'auteur du dessin ? L'hypothèse que propose Mona Thomas est pour le moins audacieuse et porte le lecteur vers un épilogue sidérant et lumineux.
Durée : 9h. 4min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 22866
Résumé:Le 11 avril 1770, le jeune Mozart, âgé de 14 ans, entend le célèbre Miserere d'Allegri, dont la partition est tenue secrète. De retour chez lui, il en retranscrit, de mémoire, l'intégralité. Comment est-il possible de mémoriser une telle pièce ? Que se passe t-il dans la tête de celui qui écrit, de celui qui écoute ? Est-ce une aptitude technique ? Emotionnelle ? Peut-on expliquer le génie de Mozart ? Et que sait-on aujourd'hui des enfants prodiges ? A partir des épisodes les plus emblématiques de la vie de Mozart, Bernard Lechevalier explore les mécanismes de la perception musicale. Nous faisant entrer avec lui dans le cerveau de Mozart, il montre ce que veut dire " avoir de l'oreille " ou " chanter juste ". Et qu'il existe une intelligence de la musique.
Lu par : Armelle Mornet
Durée : 2h. 2min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 29539
Résumé:A partir d'un conte de fée, cet album a vocation à permettre à l'enfant une meilleure maîtrise des règles d'accord du participe passé. Sont traités dans cet ouvrage les participes passés où la finale orale correspond à : é, i, u, un autre ouvrage traitera des participes passés où la finale écrite ne correspond pas à l'oral. [source ALS]
Durée : 5h. 5min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 24350
Résumé:Alex Taylor nous fait partager son amour des langues dans tout ce qu'elles ont d'imprévisible, d'invraisemblable, d'intraduisible même. Saviez-vous que la langue la plus parlée au monde, le mandarin, n'a pas de mots pour "oui" ou "non" ? Que l'on ne dit pas "je t'aime" de la même façon ailleurs ? Saviez-vous que de vastes pans de l'humanité vivent très bien sans les fioritures extravagantes que constituent les verbes "être" et "avoir" ? Que les Japonais n'ont pas de mot pour "eau" ? Que les Néerlandais ne se font pas de sourires, mais des "rires luisants", et que, contrairement à ce que l'on pense, le français est une langue infiniment plus drôle que l'anglais ? Alex Taylor, polyglotte curieux et passionné, nous dit avec une touche d'humour typiquement british pourquoi l'indicible beauté des langues le laisse parfois "tout ouïe, bouche bée"
Lu par : Manon
Durée : 44min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 29676
Résumé:Les répliques pleines d'humour de lycéens du 93 (Aulnay-sous-Bois) recueillies par l'auteure, professeure de français. Ces courts échanges mêlent l'ironie à l'envie d'apprendre et de s'en sortir.
Durée : 4h. 26min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 25559
Résumé:Eléments d'étude de nouvelles formes romanesques.
Lu par : Janine Brenier
Durée : 19h. 20min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 21332
Résumé:Née en 1652, arrachée, à dix-neuf ans, à son Palatinat natal pour être mariée au frère de Louis XIV, Charlotte-Elisabeth étonna la cour par ses façons rustiques et ses propos cocasses mais sut gagner la sympathie du roi. Ni l'indifférence courtoise de Monsieur, ni les intrigues des courtisans, ni, plus tard, la mise à sac de son pays d'origine par les troupes françaises ne lui firent oublier ses devoirs. Mais, quand Louis XIV obligea Philippe d'Orléans à épouser une de ses bâtardes, elle osa un esclandre et vécut désormais à l'écart. Ses joies et ses peines, Liselotte les confia chaque jour à ses parents d'Allemagne dans des lettres qui forment la chronique la plus dense, la plus animée et sans doute la plus véridique du règne de Louis XIV.
Lu par : Pascal Parsat
Durée : 1h. 27min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 21957
Résumé:A un jeune homme qui lui demande s'il doit consacrer sa vie à la poésie, Rainer-Maria Rilke, âgé de vingt-huit ans, adresse un véritable " guide spirituel ". De 1903 à 1908, il revient inlassablement sur les questions essentielles qui se posent au poète, au créateur. Ces dix lettres sont à la fois un moyen d'accès privilégié à l'univers de Rilke et un manuel de la vie créatrice de portée universelle.
Durée : 6h. 24min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 28656
Résumé:Cet entretien est l'occasion pour le poète breton d'évoquer sa vision de la poésie : un engagement à transmettre sa parole et celle des autres en parcourant le monde, mais également l'amour, l'amitié, la mort, le partage, l'enracinement et le voyage.
Lu par : Manon
Durée : 3h. 15min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 28284
Résumé:Présentation de la versification, discipline rigoureuse qui s'est sans cesse modifiée au cours des âges : prosodie, métrique, rime, formes fixes, etc.
Lu par : Paula Viala
Durée : 3h. 21min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 25882
Résumé:Comment naissent les mots ou les emplois nouveaux de mots déjà existants ? Comment se forment-ils ? Quelle est leur utilisation en littérature ? Selon quelles modalités entrent-ils dans les dictionnaires ? Les néologismes font partie de la vie de tous ceux qui parlent, lisent, écoutent, écrivent, et le fonctionnement même de la langue doit permettre la néologisation sous peine de conduire à une langue morte. Indispensables, les néologismes relèvent de l'étude du système linguistique et impliquent une réflexion sur leurs conditions d'émergence, leurs usages et leurs fortunes très diverses, afin d'observer comment vit notre langue.
Durée : 4h. 20min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 21424
Résumé:"Ne crois pas, ne crois pas, Alfred, que je puisse être heureuse avec la pensée d'avoir perdu ton cœur. Que j'aie été ta maîtresse ou ta mère, peu importe. Que je t'aie inspiré de l'amour ou de l'amitié ; que j'aie été heureuse ou malheureuse avec toi, tout cela ne change rien à l'état de mon âme à présent. Je sais que je t'aime et c'est tout. Veiller sur toi, te préserver de tout mal, de toute contrariété, t'entourer de distractions et de plaisirs, voilà tout le besoin et le regret que je sens depuis que je t'ai perdu." George Sand à Alfred de Musset, Venise, le 15 avril 1834.
Lu par : Christiane Dulit
Durée : 4h. 35min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 23742
Résumé:"Des milliers de lecteurs à travers le monde auraient payé cher pour être à notre place et nous, les deux nigauds, nous ne nous étions rendu compte de rien, du genre : "sympa, le pépé américain, tu ne trouves pas ?" Un jeune couple, lui écrivaillon trempant dans la pub, elle, agent immobilier remportant ses marchés grâce à la mise en valeur de sa poitrine, rencontrent en vacances Sebastian Bruckinger, un écrivain américain extrêmement célèbre qui fuit la renommée et se mure dans le silence. Le grand écrivain les invite chez lui... À partir de cette trame où plane l'ombre de Salinger, Éric Neuhoff bâtit un roman comme il sait si bien les faire, un livre où la désillusion se cache sous des chemises Brooks Brothers et où le salut par la littérature fait figure de rédemption existentielle. Neuhoff a gardé ce style néo-hussard qui ravit et irrite à la fois, ce regard cruel, cet humour morbide, cinglant, mélancolique et surtout cette "futilité profonde", la marque de fabrique des adolescents géniaux dont on espère qu'un jour ils deviendront de grands écrivains. Éric Neuhoff a aujourd'hui plus de quarante ans, Un bien fou est son cinquième roman.
Lu par : Jacques Chabanne
Durée : 3h. 30min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 24415
Résumé:Composé par une jeune femme de vingt-cinq ans, ce premier roman sensible et ténu est le récit d’une passion double: pour un pays et pour un homme. Il est imprégné des mille couleurs et odeurs de l’Afghanistan, terre violente et envoûtante où l’amour peut germer. Le grand amour est un voyage. Et les vrais voyages ressemblent à l’amour. C’est à la rencontre des deux que nous invite Ingrid Thobois à la faveur de son court récit : la fin de l’un et la découverte de l’autre. En posant nos pas, précautionneux, dans les mots de la narratrice, nous visitons l’Afghanistan, de Kaboul à Djallabab. Un Afghanistan intime, grêlé par la guerre certes, mais étranger aux représentations que nous fournit l’actualité télévisuelle. La jeune femme est arrivée là peu après l’intervention américaine, pour donner des cours de français. Elle s’est éprise d’un autre expatrié, beaucoup plus âgé, et marié. Si cette liaison a pour elle le goût de l’inédit, ses affres sont le lot de toutes les passions: escapades érotiques, manque de l’autre, soif d’absolu, espoir de vivre un jour ensemble, promesses insensées, désillusions et souffrance. Quand la narratrice succombe finalement au charme de sa terre d’exil, elle se déprend de celui qui l’attachait à l’homme qui lui a fait subir mille morts. Certes, la rencontre avec «le Prince» ne suffit pas à lui faire oublier son amant, mais l’Afghanistan la transporte, la galvanise. C’est l’âme dépaysée qu’elle rencontre des êtres qu’un sourire, une parole, un geste gravent dans sa mémoire et que sa langue tenue grave en la nôtre.