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Recherche par mot-clé: LITTÉRATURE CUBAINE

61 résultats. Page 2 sur 4.

Lu par : Jean Frey
Durée : 33h. 19min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 35314
Résumé:Voici la somme de toute une œuvre et de toute une vie, celle de José Lezama Lima, l'un des plus grands représentants du baroque latino-américain. Avec Paradiso, il nous donne en même temps qu'une fiction pure (les enchevêtrements entre les péripéties des différents personnages et une mouture du narrateur lui-même), un traité de théologie, une vertigineuse suite d'images poétiques, une érudite réinvention de l'écriture et finalement, un document sur La Havane des années quarante et cinquante, lorsque s'amorcent les premiers soubresauts révolutionnaires. Ce livre, sans nul doute un des plus fondateurs de la littérature sud-américaine d'aujourd'hui, représente une magnifique ouverture sur l'universel métissage des cultures.
Lu par : Camille Croset
Durée : 4h. 2min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 35154
Résumé:La Havane que vous découvrirez au fil de ces pages est celle que j'ai connue, celle de mes aventures, mais aussi celle de mes lectures, de mes écrivains de prédilection et de mes fantômes – des fantômes que j'ai choisis, ou de ceux qui m'ont choisie. C'est La Havane de ma mère, et en l'absence de ma mère, La Havane est devenue ma mère, une mère lointaine et à jamais regrettée. C'est La Havane bagarreuse et bambollera (tapageuse) de mon père. La Havane particulièrement fervente et joyeuse de ma grand-mère. La Havane de ma génération, née – année fatidique – en 1959. La Havane de la pénurie et du désarroi, la ville de la fête et celle des sévices. La ville des évasions, des rencontres et des retrouvailles provoquées. La ville bordée par la mer, tour à tour d'or ou d'argent, […]. La ville des infortunes, des persécutions, des crimes passés sous silence, des vols quotidiens que l'on commet pour survivre. La ville des grands amours et des orageuses déceptions, des passions, de la douleur, du souvenir, de l'oubli... J'ai recréé les mystères de cette ville, ceux qui m'ont séduite, en les mêlant à des êtres et des situations de fiction, nés de l'imaginaire populaire ou de ma propre invention.
Lu par : Jean Frey
Durée : 14h. 29min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 34888
Résumé:De l'enfant nu qui mange de la terre dans une vieille ferme de Holguin à l'exilé cubain qui, à quarante-sept ans, malade, se donne la mort à New York, l'existence de Reinaldo Arenas est guidée par l'anticonformisme viscéral de qui a osé prendre tous les risques.Vibrant témoignage sur les exactions de la dictature castriste, Avant la nuit est une œuvre littéraire à part entière composée avec fureur et poésie. Elle est traversée de ses principaux thèmes de prédilection : une recherche éperdue de beauté, encore la lune, toujours la mer, et une sexualité débridée comme manifestation absolue de liberté et, dans son cas, de résistance.Porté à l'écran par Julian Schnabel, Avant la nuit a obtenu le Grand Prix spécial du jury 2000 à la Mostra de Venise.
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 4h. 20min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 34744
Résumé:En vingt-quatre heures et une centaine de pages, s'accumulent des années de souvenirs et d'anecdotes de la vie à El Condado un barrio de Santa Clara, une ville de province à Cuba. Une concentration du temps et de l'espace, impensable pour les romanciers de La Havane où la métropole dilue tout. Mais aussi une sublimation de la marginalité dans le creuset infernal du barrio. L'une et l'autre donnent toute sa profondeur et son authenticité au regard ironique et attendri que porte Lorenzo Lunar sur le processus de banalisation de la marginalité dans la société cubaine et les codes, les comportements et les souffrances qu'il impose.
Lu par : Anne Guillemant
Durée : 5h. 21min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 34600
Résumé:"Alma Desamparada songea à son père. Pourquoi était-il allé fourrer sa queue dans la chatte de sa mère ? Pourquoi avoir craché sa sauce dedans ? Pourquoi sa mère avait-elle ouvert les jambes ? Pour l'avoir, elle ? Mettre au monde une crève-la-faim ? [...] Plus d'une fois on lui avait présenté tel ou tel type comme étant son père. - Voilà ton père, ton foutu père, lui avait dit sa mère le jour de ses six ans, alors que son parrain débarquait avec un gâteau trop sucré. Alma aurait donné n'importe quoi à présent pour une miette d'un gâteau pareil, même rance. Un sirop fruité imaginaire coula dans ses veines fragiles. Il avait été question si souvent de l'identité véritable de ce maudit père. Le coup des poubelles ou du panier abandonné devant la porte, elle n'y croyait plus. Si le type du gâteau était son père, elle s'en foutait purement et simplement. "
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 13h. 48min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 34395
Résumé:Cuba, 1 977. Sur la plage d'une île à l'ouest de La Havane, dans le vieux bungalow qu'elle a hérité d'un médecin américain, la famille Godinez s'active à barricader portes et fenêtres pour prévenir l'arrivée de l'ouragan Katherine. Sous le même toit sont réunies trois générations. Alors que le calme s'installe avant la tempête, le jeune Jafet, qui rêve de vivre aux Etats-Unis, prend le large à bord d'un radeau de fortune baptisé Le Mayflower. Impuissante, la petite Valeria assiste au départ de celui qui préfère fuir le régime cubain plutôt que le cyclone. et qui deviendra " le navigateur endormi". Dans ce vieux bungalow se concentre toute l'histoire du pays : l'esclavage, la guerre contre l'Espagne, la dictature de Batista, l'ouragan révolutionnaire, la tragédie des balseros... Excellent conteur, Estévez fait de ses personnages les symboles de l'histoire et de la culture cubaines, et éclaire le présent à la lumière du passé.
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 9h. 43min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 34376
Résumé:La Havane. Hiver 1989. Le lieutenant Mario Conde est chargé d'enquêter sur la mystérieuse disparition du directeur d'une grande entreprise. Rafael Morin était étudiant avec Mario Conde, il était beau, brillant, et il a épousé Tamara, le grand amour de Mario. Le lieutenant Conde s'engage dans une double recherche sur son passé et sur le disparu. Dans ce premier roman de la tétralogie Les Quatre Saisons, Leonardo Padura présente ses personnages : le Vieux, commissaire et grand fumeur de cigares, Carlos El Flaco, l'ami d'enfance, vétéran des guerres d'Angola cloué dans son fauteuil roulant, Josefina la cuisinière qui crée des banquets avec rien, et tout le petit monde d'un quartier populaire de La Havane autour de Mario Conde, le flic amateur de rhum et de littérature, le représentant de la génération "cachée", celle dont la lucidité mesure cruellement les échecs des utopies
Durée : 13h. 21min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 34084
Résumé:E n 1861, sur la côte ouest de l'Afrique, une jeune fille est arrachée à son foyer pour être emportée par un monde inconnu... En 1882, dans un village de l'Espagne profonde, un terrible sortilège poursuit Juanca et toutes les femmes de sa famille... En 1919., un couple de jeunes mariés, chassé de Canton par les Japonais et la guerre, vit une série d'événements surprenants... Les destins de leurs descendants se noueront à Cuba... En 1998, à Miami, pour fuir une vie de solitude et d'ennui, Cecilia, jeune journaliste cubaine exilée, se réfugie, nuit après nuit, dans un bar musical où attend Amalia, une vieille et mystérieuse femme, exilée elle aussi : " J'aimerais savoir qui vous attendez, chaque soir. Vous m'avez parlé d'une Espagnole qui voit des lutins, d'une famille chinoise réchappée d'un massacre, d'une fille d'esclave finissant dans une maison close... Je crois que dans tout ça, vous avez négligé votre propre histoire. " " - Loin de là, affirma doucement Amalia, loin de là. Le lien, il vient maintenant... "
Durée : 22h. 34min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 33758
Résumé:Cette oeuvre nous décrit Cuba sous la domination espagnole, de 1812 à 1831. L'auteur met en lumière le phénomène de l'esclavage qu'il utilise comme point de départ pour englober toute la société qui repose sur ce système. A partir de la relation amoureuse entre une mulâtre affranchie et un Blanc fortuné, avec tous les préjugés raciaux que cette relation implique à l'époque, Villaverde nous livre le roman historique le plus important de la littérature cubaine
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 7h. 31min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 33380
Résumé:En quelques mots, on y est. Cuba, La Havane, comme un regret sans fond, comme la musique d'un vieux boléro. Un doigt de rhum Carta Blanca (quand il en reste), soleil de plomb, solitude. Magie des décors qui n'ont pas besoin de description, ou si peu. Les héros de Padura sont des tendres ; ils se heurtent à la société, au destin, au temps qui passe ; à ce désir qu'ont les choses, souvent, d'arriver contre notre gré, sans nous consulter. Ainsi les toits qui s'effondrent, les pénuries de rhum, le départ intempestif d'êtres aimés. On trouve de tout dans ce recueil de nouvelles, amours bêtement gâchées, soldat en fin de mission à Luanda, archange noir, nuits torrides, jeunes gens désoeuvrés, fonctionnaires désabusés, souvenirs cuisants... On trouve surtout le sel des romans de Leonardo Padura, sa marque de fabrique : l'humanité qui irradie à chaque ligne, la nostalgie des vies qu'on ne vit pas, et l'art suprême de nous plonger dans une île qu'on emporte toujours avec soi.
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 8h. 28min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 33338
Résumé:" Voilà l'histoire : une prof de lycée, vingt-quatre ans, militante de la Jeunesse communiste, célibataire. On l'a tuée, asphyxiée avec une serviette." Mario Conde écoute le commissaire d'un air las. Sale affaire. Pour la résoudre, il lui faut garder la tête froide. Ce qui est loin d'être facile quand son coeur s'enflamme pour une saxophoniste rousse qui va compliquer bien des choses... [source: 4ème de couverture]
Lu par : Serge Cantero
Durée : 2h. 36min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 33126
Résumé:Le quartier chinois de La Havane ne manque ni de saveur ni d'exotisme : un corps y est retrouvé pendu, amputé d'un doigt, deux flèches incisées sur la poitrine... Le lieutenant Mario Conde, revolver à la ceinture et bouteille de rhum à la main, s'immisce parmi les immigrés asiatiques, répond à leurs sourires énigmatiques et cherche le mobile du crime : argent, rituel religieux, drogue ? " C'était un assassinat étrange, pimenté de certains ingrédients exotiques. "
Lu par : Madiana Roy
Durée : 16h. 28min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 33114
Résumé:Ces récits dessinent une mosaïque qui capture de manière saisissante une réalité complexe. Les Cubains forment un peuple divisé, mais uni dans l'attente. Ce volume réunit 27 textes dans l'ordre chronologique de naissance des écrivains et prouve que malgré l'exil et la diaspora, le credo de leurs auteurs est vérifié : il n'y a qu'une littérature cubaine. [Source : 4ème de couverture]
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 2h. 38min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 32876
Résumé:Livre échangé sous le manteau, longtemps introuvable dans sa langue d'origine, Mon ange a été instrumentalisé par les Cubains des deux rives aux fins de le réduire à un sommaire règlement de comptes. L'histoire de sa publication serait simplement romanesque, si son contenu n'était dramatiquement testamentaire. Un écrivain qui a fui le régime carcéral insulaire refuse la reddition sans condition à la sphère étriquée des " triomphateurs " qui l'attendent à Miami. Il est interné par sa famille " américaine " dans un boarding home, asile prisé qui recueille des inadaptés de toute engeance. Les grilles se referment sur lui et en lui, seul dans un univers hallucinant où l'on ne peut que souffrir et faire souffrir. C'est ici qu'il faut vivre, et pour toujours, sans espérance ni pitié ; pour personne. Le faut-il vraiment ? Reinaldo Arenas et Carlos Victoria célèbrent dans leurs œuvres Guillermo Rosales, l'ami génial et fou qui s'est donné la mort. [Source : 4ème de couverture]
Lu par : Serge Cantero
Durée : 1h. 59min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 32869
Résumé:Un trentenaire désabusé traîne son spleen à La Havane, entre son bureau et le Malecón... L'espoir se fait rare, la vie est un disque rayé. Rhum, salsa, tabac, et parfois un détour chez la Russe du neuvième étage. Il fait une chaleur criminelle et la révolution semble s'être oubliée au milieu du gué. Seule la mer, au loin, promet encore quelque chose... Canek Sánchez Guevara, petit-fils du Che, fait vibrer Cuba comme jamais : le désenchantement s'écrit dans une langue intense, hypnotique, et la crise des balsas est prétexte à un formidable hymne à la liberté. [Source : Site de l'éditeur]
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 18h. 29min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 32746
Résumé:Fernando revient passer un mois à La Havane, après dix-huit ans d'exil, pour trouver le mystérieux manuscrit autobiographique du grand poète José María Heredia, auquel il a consacré sa thèse. Il souhaite aussi tirer au clair les circonstances qui l'ont contraint à l'exil. Qui l'a trahi ? A la mélancolie du retour de l'exilé se superposent le journal de Heredia, alors que Cuba luttait pour son indépendance, ainsi que les réflexions de son fils, franc-maçon, vers 1920. Peu à peu émergent des parallélismes surprenants dans la vie des trois hommes, comme si, à travers les siècles, l'histoire de Cuba marquait d'un sceau fatal les destins individuels. Leonardo Padura confirme ici, au-delà du roman noir, son talent d'écrivain. Il nous emmène à la fois dans un voyage aux origines de la conscience nationale cubaine à travers la vie de son premier grand poète romantique, et au coeur des questions que la situation actuelle impose à tous les habitants de l'île.
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 7h. 11min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 32575
Résumé:À La Havane, une petite fille aux yeux clairs et aux cheveux crépus négocie le difficile tournant de l'enfance à l'adolescence, dans une famille condamnée à la cohabitation par les conditions sociales du pays : un père, officier de toutes les guerres de la Révolution, une mère argentine droguée au tango, une tante amateur d'opéra, un oncle masseur et une grand-mère plaintive, gardienne de la morale. L'enfant va peu à peu découvrir que tout le fragile édifice familial ne tient que sur le mensonge, à commencer par ses origines à elle ; ses cheveux crépus lui font découvrir la faute cachée et inavouable de la grand-mère : un grand-père noir et très sympathique, puis l'homosexualité de l'oncle, la double vie du père... Celle qu'on a surnommée P'tit Mec fuit la famille pour les amis de son âge, fréquente les fêtes des années 80, les débats où l'on refait le monde, et goûte à la drogue, loin de l'apocalypse annoncée du système politique. Également étrangère à cet univers, tout aussi faux que celui de sa famille, l'adolescente cherche sa voie dans la solitude et le silence. Karla Suârez utilise une langue originale, moderne, directe et lucide, séduisante par son rythme expressif et sa concision. Ce premier roman construit autour de personnages attachants, loin des clichés, révèle des aspects inattendus de la Cuba actuelle.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 8h. 25min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 32546
Résumé:L'inspecteur Mario Conde est un peu perturbé : son chef est parti à la retraite, un cyclone menace La Havane, et il découvre que nombre de ses collègues sont corrompus...[source : 4ème de couverture]
Lu par : Jean Frey
Durée : 20h. 39min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 32523
Résumé:Somme culturelle qui rassemble tous les types urbains de La Havane nocturne et dépravée, ce livre est avant tout le roman du langage. Les trois tigres des Tropiques pas si tristes sont, en fait, quatre comme nos Mousquetaires : Silvestre l'écrivain, Arsenio Cué l'acteur, Codac le photographe et Eribo le joueur de bongo, qui gravitent autour d'un personnage emblématique, Bustrofedon -qui est aussi le boustrophédon, ou écriture grecque ancienne qui se lisait alternativement de gauche à droite et inversement-, que l'on ne perçoit pratiquement que comme une voix. Naturellement ce livre est aussi une histoire, ou plutôt un tissu d'histoires. Les débuts dans la vie de chacun des principaux personnages sont ainsi présentés comme autant de nouvelles indépendantes, mais tous ces personnages évoluent dans le même monde : La Havane d'avant la Révolution, métropole nocturne, monde trouble, humide, torride, déliquescent, clos sur lui-même, avec ses bars, ses night-clubs, et leur faune d'entraîneuses, de prostituées, d'homosexuels, de musiciens, de chanteuses -telle l'énorme et géniale Estrella, poignante Moby Dick de cette mer des Sargasses. Un même délire détruit les personnages de cette Babel.
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 10h. 45min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 31702
Résumé:Fray Servando Teresa de Mier, le personnage central du roman a tout vu, tout connu, lui qui est passé par les geôles les plus infectes de la planète, est indestructible. Il doit survivre pour nous faire de l'anti-histoire. Il a rencontré Simon Bolivar et nous livre une version tout à fait imaginaire de la vie du libertador ; il s'est trouvé dans la chambre de Mme de Staël et a dû, en bon moine, refuser ses avances. Il a en outre visité les « trois pays de l'amour » où, malgré lui, il est tombé dans un lac de liquide séminal. Le monde hallucinant est une œuvre picaresque qui ose.