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Recherche par mot-clé: Génocide rwandais

5 résultats.

Lu par : Denis Astagneau
Durée : 2h. 46min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 77631
Résumé:Trente ans après le génocide au Rwanda, Magnifique Umiciowari hésite à subir une intervention chirurgicale qui panserait ses blessures de guerre. Elle écrit alors à son mari le récit qui l'a conduite des collines rwandaises au lac Léman.
Lu par : Anik Friederich
Durée : 12h. 54min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 31350
Résumé:Au printemps 1994, un massacre programmé décima, avec une rapidité stupéfiante, la République du Rwanda. Avec des moyens rudimentaires (à la machette, principalement), près d'un million de personnes furent exécutées en à peine cent jours, sur une population initiale de sept millions et demi d'habitants. Envoyé sur place comme reporter par le New Yorker, un an après le drame, Philip Gourevitch s'est fait l'historien dramaturge de ce génocide perpétré par les Hutu contre les Tutsi. C'est à travers des centaines de témoignages, comme autant de fables édifiantes, et donc par la voix des Rwandais eux-mêmes qu'il révèle peu à peu la mécanique fatale, mise en place à l'époque coloniale, dont résultent ces conflits ethniques. Pièce par pièce, il démonte cette " fabrique du génocide ".
Lu par : Henriette Kunzli
Durée : 9h. 44min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 12598
Résumé:En octobre 2000, Jean Hatzfeld, grand reporter à Libération avait publié un recueil de témoignages bouleversants des rescapés Tutsis du génocide qui s'est déroulé au Rwanda entre avril et mai 1994. Génocide au cours duquel au moins 500 000 Tutsis ont été massacrés sauvagement à la machette par les Hutus. Pour ce nouveau livre, Jean Hatzfeld a eu la possibilité de rencontrer les tueurs des marais, emprisonnés dans le pénitencier de Rilinai près de Nyamata, une bourgade rwandaise.
Lu par : Alain Maillard
Durée : 6h. 9min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 15456
Résumé:Un matin brûlant de mai 2003, une file de prisonniers franchit les portes du pénitencier de Rilima, en chantant des alléluias. Ces anciens tueurs rwandais viennent d'être libérés, à la surprise de tous, notamment des rescapés qui les regardent s'installer à nouveau sur leurs parcelles, à Nyamata et sur les collines de Kibungo ou Kanzenze. Que peuvent désormais se dire Pio et Eugénie, le chasseur et le gibier à l'époque des tueries dans la forêt de Kayumba, lorsqu'ils se croisent sur le chemin ? Comment Berthe et le vieil Ignace peuvent-ils se parler au marché puisque toute vérité est trop risquante ? Quels sont les maléfices qui les frappent ? De quelle façon partager Dieu, la Primus, la justice, l'équipe de foot ? Et revivre avec la mort et les morts ? Que ramène-t-on de là-bas ? « Moi aussi je me sens menacée de marcher derrière la destinée qui m'était proposée. De quoi ? Je ne sais le dire. Une personne, si son esprit a acquiescé à sa fin, si elle s'est vue ne plus survivre à une étape, si elle s'est regardée vide en son for intérieur, elle ne l'oublie pas. Au fond, si son âme l'a abandonné un petit moment, c'est très délicat pour elle de retrouver une existence. » Ce livre suit "Dans le nu de la vie. Récits des marais rwandais" et "Une saison de machettes".
Durée : 6h. 16min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 21807
Résumé:Au cours de longs séjours dans une bourgade du Rwanda, Jean Hatzfeld a tissé des liens de confiance avec des rescapés Tutsis du génocide et les a convaincu de sortir de leur silence. Dans un langage simple, parfois poétique ou philosophique, ils ont accepté de raconter ce qu'ils ont vécus. Ces récits d'enfants, de femmes et d'hommes sont saisissants. Dans leur singularité, ils atteignent, à force d'authenticité, une portée universelle. On ne les oublie plus. " On mourait coupé à la machette comme des chèvres au marché. On ressemblait à des animaux et eux ils avaient pris l'habitude de nous voir comme des animaux. En vérité, ce sont eux qui étaient devenus des animaux, pire que des animaux de la brousse parce qu'ils ne savaient plus pourquoi ils tuaient. "